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Exit Corriya, bienvenue à Passagère. Au détour d'une phrase, elle annonce comme si de rien n'était qu'un nouvel album est en route dont l'extrait proposé serait le dernier morceau. Pour pouvoir le donner met en exergue tout le talent de cette Suisse d'adoption, ou sa voix toujours aussi ensorcelante est emmitoufflée dans un duffle coat de cordes moelleuses, c'est juste beau, ca s'écoute les yeux fermés et nous emmène loin. Et dire qu'un album complet de cet acabit est sur les rails. merci Coco. |
Une demande amicale sur myspace, comme d'hab j'écoute et ça le fait. Ca le fait même bien. Un duo originaire de Dijon, Le cri des rêves, avec les Prefab Sprout parmi son top amis et les Beatles au mur de son home studio ne pouvait que m'interpeller. Un pop folk tendance acoustique ou Barbara, la jolie voix (et pas que la voix) accroche l'oeil et l'oreille accompagnée de Laurent, pour une musique aux accents américain. Un album semble être tout frais éclos. Ils en font de jolis cris leur rêves. |
C'est avec le tubesque Tu me suis ? que Geno m'a harponné. Son nouveau site, complètement refondu, vous propose son album co-écrit avec Pascal Gomez. Tendance variété rock comme l'on dit aujourd'hui, entre Calogero et Obispo. Il chante bien, les compos tournent toutes seules et les arrangements sont dans l'air du temps, et comme il n'y a pas de mal à se faire du bien, n'hésitez pas à le suivre vous aussi. |
3 ans depuis son dernier album. Juste un petit single à se mettre sous la dent l'année dernière et voici Christophe Pochon (et ses sangliers rieurs) notre hèlvète préféré qui fait son comeback avec Ca s'explique pas, 3eme album. Comme on ne change pas une recette qui plait, on l'améliore, nous restons dans l'univers qu'il a fait sien, des textes doux-amer, avec deux doigts d'amour, une bonne dose d'humour, une rasade de rythmes latins, un zeste d'accordéon. A l'image de la pochette, vous sortez de l'écoute avec la pêche et le sourire aux lèvres. Pourquoi ? Ca ne s'explique pas ! |
Un paquet d'albums sort ces temps ci. Dur de faire une sélection dans tout ce que je reçois ou découvre par moi même. Jinxx à plusieurs atouts. C'est une fille (+1), elle joue du ukulele (+5) et elle écrit des textes parfois coquins mais toujours plein d'humour (++) comme celui qui donne son nom à son 5 titres, Indiscrète. Même si elle signe paroles et musique, elle travaille avec un comparse pianiste Martin Mey pour les orchestrations. Ne les manquez pas sur scène ou le duo doit donner sa pleine (dé)mesure. |
Que direz vous d'un bon vieux rock des familles, tendance garage. Les Small ties nous viennent de Lyon et proposent un retour à rock basique et diablement efficace. Un trio électrique et électrisant, descendant des Kinks/Who pour les glorieux ainés. Les petites cravates (en hommages aux mods ?) n'ont pas à rougir de la concurrence anglo-saxonne et tiennent fièrement leur rang. Ca pétarade du feu de dieu, balance la sauce comme il faut et devrait faire se pâmer les petites anglaises et les petites françaises. le rock, c'est quand même sacrément fun ! |
Plus calmes, plus atmosphériques mais tout aussi anglo saxon dans leur influences, Smoke Fish, un single deux titres sous la ceinture, déboule de Brest. Ils renvendiquent une filiation Bowie/Pavements/Pixies, pas si perceptible que cela sauf eut être dans certaines inflexions de la voix. Muse ou Coldplay si vous avez besoin d'étiquettes sont dans la ligne de mire. Faut voir ce que donnent ces quatres là sur la durée d'un album, mais la graine plantée semble pouvoir donner un bel arbre. |
Arti Gussy est le pseudo de Thierry Margan, songwriter dans son coin et dont j'aurais pu (j'aurais du ) écrire certaines des lignes composant sa présentation . Pas d'album à priori, juste des chansons dispo sur son site, entre mélancolie et electro déjantée, un monde d'univers différents sous le même chapeau. |
Un sept titres m'a été proposé par le quatuor Fairchild. Ils affichent une proximité avec des groupes type Eels, Mum ou encore Venus, groupes dont je ne connais pas une traitre note. Pas grave car la musique de Fairchild se suffit à elle même. Portées par la voix d'Alix, ou les claviers tiennent une place non négligeable, les compos ont pour une bonne part un fort pouvoir attractif, J, Blue clouds ou le single Memories s'installent en nous sans grande difficulté, distillant une atmosphère rêveuse et brumeuse. Un beau départ pour ces grenoblois. |
Ca démarre sur un rythme de batterie à la Eat to the Beat de Blondie. Basse vrombissante, guitares incisives et la voix de la chanteuse, voici Blizzar B. C'est officiellement pop rock, officieusement punk pop, Blondie peut être mais première période, pré Heart of glass. C'est pêchu, énergétique, moins ouvertement commercial qu'un Superbus, ce Royal Spleen fait, en douze titres dynamites, le tour de la question. Manque peut être un gros single pour faire la différence. Un regret, cette pochette, pas du tout à l'image de la musique qu'elle contient. | e |
Un album qui m'a vraiment plus ce mois ci, celui de Taliesin. Quelques compos franchement bien gaulées (I know, Lazy day), leur univers oscille entre pop et trip hop, Morcheeba en toile de fond, mais loin d'être un pâle ersatz, Taliesin apporte sa propre personnalité, incarnée par son excellente chanteuse, Marion Thomas, et mariant électronique et acoustique de fort belles façons. N'empêche que j'aurais bien aimé une version de I know traitée façon Tamla Motown, Style Diana Ross and the Supremes qui aurait collé parfaitement avec l'ambiance de ce titre. |
Lui, il fait fort. Usthiax, c'est son nom, dépose son coeur Bleu Palpitant sur nos platines. Ses parrains, Charlelie Couture dont il reprend un titre et Rodolphe Buger qui réalise (somptueusement) l'album. Pourtant c'est plus un à Cabrel qu'il me fait penser. Une voix grave, bien timbrée, des guitares lumineuses, un son énorme, des textes recherchés, littéraires devrais je écrire, mais simples, équation si complexe à résoudre, pas une faute de goût dans ce disque attachant, évident mais pas facile, comme on pourrait le dire d'une femme que l'on n'a pas le plaisir de séduire. Bref une présence peu ordinaire pour quelqu'un qui à la carrure pour devenir l'un des grands de demain, pas moins. |
C'est le hasard qui m'a (re) mis sur la piste de Still Square. Quand leur unique album est sorti, en 1985 sous le nom de Square, je bossais avec leur bassiste d'alors Vincent Lemoigne (Vincent, si tu me lis ...). Je les ai vue en répétition, ils avaient un guitariste de haut niveau et un chanteur hurleur excellent dans ce type de musique alors populaire, le hard et dont je reste persuadé qu'il n'a pas d'équivalent encore aujourd'hui en France. L'album m'avait vraiment botté, alliant hard et mélodie, un peu, toute proportion gardée, à la manière du Rainbow de Ritchie Blackmore, le vynil est encore en ma possession. C'est en cherchant Vincent que j'ai vu que, devenu Still Square, ils avaient repris du service. Si vous aimez ce type de musique, ils furent une référence en France, même si le succès ne fut jamais au rendez-vous. |
Puisque nous sommes dans la rubrique hard, restons y avec le tout nouvel album d'AC DC, Black ice. 8 ans depuis leur dernier album. On prend les même et on recommence. Pas un iota d'évolution dans leur musique, ou blues et rock and roll font bon ménage depuis plusieurs décennies, ce n'est pas avec eux que l'on risque l'incursion dans le rap ou le hip-hop. Rythmes binaires éprouvés, Brian Johnson et sa voix d'écorché vif, Angus Young qui justifie à lui seul formule le ridicule ne tue pas, AC DC est de retour, fait du AC DC, le fait bien, et que demande le peuple. |
Changement complet d'univers. Mam'zelle Bip et Franck Perolle ont alliés leur talent pour un album basé sur le concept une voix une guitare,acoustique la guitare. Lui est le style de musicien avec 10 doigs à chaque main. A vous dégouter de la 6 cordes, sans esbrouffe, en se renouvellant à chaque titre, il assure une rythmique swingante, car j'ai omis de le dire, c'est vers le jazzy que lorgne le duo. Pendant que lui tricote, la Mam'zelle pose ses mélodies et ses textes ou le thème des relations humaines est omniprésent. Ca scat un peu, ca balance toujours, c'est frais, et l'on sent une réelle complicité entre les deux. |
Un éditorial Sucrepop sans bossa, ça n'existe pas. C'est un brésilien émigré à Toulouse, Paulo Costa que j'ai décidé de vous présenter (merci Coco). Son dernier album, intitulé Salvador, en hommage à notre Henri national, n'est que douceur, une reprise en portugais du célébrissime ode à la ville rose Toulouse de Claude Nougaro en introduction. De la pure bossa comme peu aujourd'hui en produise, un régal pour les oreilles, ou sa voix chaleureuse, ses compositions racées, ses accords subtils font merveilles. Indémmodable ! |
Comme je ne quitte pas si facilement ce type de musique, voici Valerie Louzia. Le 26 novembre au Favela chic, à Paris, sera lancé son album, Brazil confidential. J'ai déjà évoqué son disque précédemment, une musique jazz lounge moelleuse, aux influences sud américaine évidentes, un plaisir que de l'entendre dérouler ses mélodies sur le confortable tapis sonore déroulé par Arnaud Gauthier. |
C'est un lien sur le site de Laurent Dutrey qui m'a mis la puce à l'oreille, pour changer des bonbons . 2 albums dont je ne sais rien, un nouveau à paraitre en novembre, Les regrets atomiques. Mais ce qui est en écoute sur le myspace de Stephane Mondino est alléchant. Une pop dans l'air du temps, très mélodique, une voix haut perchée, il cite Balavoine comme influence, God only knows comme chanson fétiche, tout cela forme un fort faisceau de présomption qui me laisse à penser que l'animal va nous sortir un album mémorable. |
Je sais, cela peut paraitre étrange d'apprécier une musique comme celle de Megamoog. Appellez ça nostalgie (mes tous premiers enregistrements début 80 sonnaient pareil, un jour je les mettrais en ligne), mais ce son cheap m'attire. Pop minimaliste qu'ils disent. Un casiotone en guise de boite à ryhme et de son de synthés, une voix murmurant une ébauche de mélodie dessus, plus low fi pas possible, mais j'aime. Elles n'ont aucun fans sauf leur parent disent elles, je revendique d'être sur la liste. |
Leur superbe premier album est encore tiède que déjà ils nous sortent un nouveau titre inédit. J'aime les groupes qui en veulent et ne se reposent pas sur leurs lauriers. Un bon titre de plus à l'actif des Portalis, et pourtant ils n'en manquent pas. Sans atteindre les sommets de leur disque comme My revolution ou Leave the ground, ce titre vaut mieux qu'une simple chute de studio et démontre, s'il en était besoin, que contrairement à beaucoup, ils n'ont pas jeté toutes leurs cartouches avec le rideau de douche. |
Je ne sais pas trop ce qui a pu les décider à opter pour un nom d'autoroute mais A13 va vous toucher-couler à coup sur. La voix déjà, qui colle des frissons dès les premières secondes. Soul, vibrante, brûlante, la chanteuse anglaise d'origine à la méchante classe. L'album Hidden rendez-vous est tout juste sorti des presses, pas entendu encore, mais les compos présentent sur myspace donnent plus que l'eau à la bouche. La video présentant le groupe est dispo ici par exemple. Vous pouvez prendre la route avec A13 sans regret, ils vous emmeneront loin. |
Vous reprendrez bien une petite dose de rock ? Second sex avec ce premier album Petite mort va se faire un plaisir de vous satisfaire. Des guitares, de l'énergie juvénile (18 ans au compteur en moyenne) à revendre, un son moderne tout en respectant la lettre du rock séminal. Des riffs, des mélodies, du power pop, une dégaine de petites frappes, New York Dolls du XXIeme siècle, très mode, ils ont beaucoup d'atouts pour faire un carton, reste à faire la part entre l'attitude et le talent, à eux de démontrer qu'ils ne sont pas simplement la hype du moment. En 16 titres qui vous giclent à la figurent, ils devraient vous en convaincre. |
le label Pop only Knows m'a envoyé le disque d'un de ses artistes, Eleanor L Vault. L'album s'appelle Instrumental music, et défini ainsi son contenu. Bon, quand il n'y a pas de voix, j'ai du mal à trouver mes repères, c'est un style que je n'écoute guère, ici, l'orchestration est minimaliste, quoique la diversité des instruments utilisés soit importante, nombre de morceaux tournent autour des 2 minutes, et le tout est, comment dire, reposant voilà c'est ça, reposant. Je me suis endormi en l'écoutant, non pas par lassitude ou ennui mais comme bercé. pas exactement ce que j'attends de la musique en générale, mais pas désagréable non plus, au contraire. |
Un sur qui je n'aurais pas parié un kopeck, c'est Daniel Powter. écrasé par le succès du single Bad day, dur de s'en remettre. 3 ans d'absence ou il dit lui même avoir sombré dans drogues et alcools, pour réapparaitre avec ce Under the Radar de belle facture. Mieux que ça même. Pas, à priori de mega hit cette fois, mais un album d'un niveau supérieur au précédent, ou la guitare joue enfin à part égale avec le piano, avec un sens de la mélodie remarquable, un album qu'Elton ne serait pas peu fier de sortir pour vous situer et le niveau et le type de musique. Une belle réussite. |
Comment qualifier la musique du duo Autour du temps et leur album intitulé ADT001/1. C'est sous influence jazz, à l'évidence, et c'est un domaine que je ne maitrise pas. Je dirais un zeste de Nougaro pour le timbre et le phrasé de la voix et pour le gros boulot sur les textes. Des musiciens de haut niveau à l'évidence, pour une musique à part, exigeante sans être absconce. Vous qui fréquentez ces pages pour leurs couleurs pop, si vous aimez être surpris, ces glissements temporels pourraient vous surprendre. |
Habituellement, quand je parle de Malin, il s'agit de Malin Plaisir, mais un petit Malin a gentiment décidé d'annexer le début du patronyme pour nous proposer de la chanson d'obédience rock. Second album, je ne connais pas le premier, l'ensemble des titres est quasi parlé, dans un talk over à la Gainsbourg, les textes sont en prise directe avec le quotidien, caustiques et satyriques, la première écoute m'avait un peu laissé sur ma faim et finalement, on prend vite goût à ses ritournelles efficaces. Mefiez vous, ce Malin n'est pas si gentil qu'il y parait. |