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Sucrepop - Juillet -18 ans et un jour
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Juillet 2009 - 18 ans et un jour

GeorgeHarrison-ukulele.jpgLes vacances arrivent vitesse grand V, mais pas de repos pour Sucrepop mad. Cette période pré-estivale semble propice aux sorties d'albums, et de cette avalanche, j'ai sélectionné quelques pépites pour mieux vous les faire découvrir. Ont donc été chroniqué ce mois ci le premier album d'Amandine Bourgeois, 20m² , le nouvel opus d'Elvis Costello, Secret, profane & Sugarkane, le revenant Little Bob avec Time to blast, le sexagénaire Michel Delpech avec Sexa, un album dont j'avais succinctement parlé le mois dernier mais que j'ai eu envie de mieux vous présenter, Oldelaf et monsieur D avec Dernière chance d'être disque d'or, le 5eme album de Regina Spektor, partiellement produit par Jeff Lynne, intitulé Far et Let it roll, la dernière compilation de George Harrison (que j'ai peu apprécié et du coup je vous propose la mienne, Here comes the George smile. Ana Pankratoff a réussi à me faire sortir de ma cave pour aller la voir en concert au China Club.
Côté ukulele de la force, quelques grilles d'accords ont été ajouté à la collection. Vous pourrez maintenant vous faire la voix et les doigts sur pas moins de sept titres supplémentaires, un  Joe Dassin avec Salut les amoureux, pour les plus petits un Walt Disney extrait du livre de la jungle,  Il en faut peu pour être heureux, un ttire festif, Sinsemilia et Tout le bonheur du monde, encore un Michel Polnareff, Holidays, un slow spécial sixties, les Moody Blues et leur fameux Nights in white satin, un titre surtout connu en Europe dans sa version Marianne FaithfullThe Ballad of Lucy Jordan et pour finir un bon vieux hit seventies, Smokie et leur Living next door to Alice.
Le titre de juillet abandonne le piano du mois dernier pour laisser la place à la guitare acoustique guitares et au ukulele. Julie est toujours aux commandes pour les vocaux. Côté texte l'inspiration est à chercher du côté du She's leaving home des Beatles, une jeune adulte quittant subrepticement la maison de ces parents pour mener sa vie. Rendez vous sur la page Dix huit ans et un jour pour lire le texte et l'écouter, voir la chanter puisque comme toujours la version karaoke est fournie ou la jouer les accords étant également mis à disposition.
Mais abordons maintenant l'actualité musicale de ce mois ci, juste avant, n'oubliez pas le 4 juillet Paris Uke Fest, l'incontournable rendez vous des amateurs de ukulele.
Côté pop francophone, enfin créée par des français, parce que côté texte on reste en territoire anglo-saxon, le truc à la mode du moment c'est Revolver dont je parle juste après. Et bien que le trio profite de la hype en cours car déboule Oslo Swan qui va te leur mettre une sacrée raclée. Donc Dreamin, 1er album de deux inconnus au bataillon qui livrent un album tout en fraicheur et, surtout en efficacité. Comme ne pas se faire happer par leur ritournelle pop, Doesn't matter what u say et ces lalala fondant. La voix est un pur bonheur, les arrangements, entre un zeste de synthés eighties pour la touche electro et les guitares acoustiques sans compter les cordes à profusion, en font un délice. Une reprise de Cure, Boys don't cry, magique, arriverait presque à me faire apprécier la bande à Robert Smith, c'est vous dire la teneur de l'exploit. Celle des Smiths m'enthousiasme moins mais leurs compos sont à la hauteur de leur référence (Little sister, Dreamin' , Everlasting...). Vous tenez là votre cornet de glace de l'été. oslo_swan.jpg
revolver.jpg Hors donc, Revolver, le combo dont on parle de ce côté ci de la Manche. Un nom qui affiche clairement ses références, une pochette en demi-teinte qui lorgne également vers les scarabées ce qui fait pas mal de clins d'oeil pour être certain que nous comprenions bien. La structure pas banal du trio, voix, guitare, violoncelle interpelle, sachant qu'en sus de Liverpool, Henry Purcell figure en top de leurs influences, bien que la fusion pop et classique ait été source de nombreuses tentatives, la plupart du temps peu inspirées. Un doigt de Californie avec les inévitables Beach Boys, et ont à la panoplie complète du pop addict. Reste à savoir si l'habit fait le moine. Et ma foi oui. Sans le charme d'Oslo Swan, peut être parce qu'un peu trop millimétré, pas assez spontané, mais bien foutu quand même avec des orchestrations fort bien léchées. Un seul gros hit Get around town, d'inspiration Golden Gate Quartet (enfin je trouve), et plusieurs titres séduisants. Un léger reproche 34' seulement pour un premier album c'est court
Un été sans un titre de Laurent Voulzy ne serait pas un véritable été. Voici donc son nouveau single, Dans le vent qui va,  en duo avec Elsa Fourlon, une version "allongée" d'un titre qui figurait sur Recollection. Un poil répétitif, dans le même esprit que Jellybean mais avec ce son si caractéristique que je révère tant. C'est léger, les vocaux sont sublimes, comme d'hab, mais j'aurais tendance à dire que sur ce coup là il ne s'est pas cassé.  Et puis avant, les singles , les siens en tout cas, étaient prétextes à nous coller un inédit tout sauf chute de studio, et que là, pas de support physique, mp3 only et donc rien d'autre à ce mettre sous la dent. Bon, vaut mieux ça que rien, mais une vraie nouveauté, j'aurais bien aimé.  Voulzy.jpg
Bri_anne_michelle.jpg Cette jeune femme, Bri Anne Michelle,  a un joli minois mais pas seulement. Ce Suround Yourself est composé d'une musique fortement ancrée aux USA, entre country et pop rock, un timbre de voix, un peu nasal, qui m'évoque parfois Stevie Nicks ou Shania Twain, pas mal tout de même comme référence. La country domine assez largement ce premier album, dans le traitement donné aux compositions, mais les mélodies, d'esprit pop accrochent bien. A l'écoute, c'est l'Amérique profonde qui surgit et l'on est transporté directement au fin fond du Texas , même si c'est de Californie que vient la belle. Une chouette surprise.
Une femme mariée est le projet de Constance Petrelli qui a choisi la formule groupe pour mettre en avant sa musique (ou se mettre elle en arrière, au choix smile) . Pop glamour c'est le qualificatif qu'elle accole à cet album intitulé Les mauvais garçons, concrétisation luxe d'un premier EP paru en 2006.  Le nom du groupe est issue du film du même nom de 1964 de Jean-Luc Godard et, de fait, l'écriture des chansons est assez cinématographique, chacune racontant une petite histoire clippable en l'état. Si le côté glamour m'échappe un peu, l'album tire indéniablement plus vers la pop que la chanson française, la production de Duncan Roberts (Dictafone) n'y étant certainement pas pour rien. Quelques belles réussites comme le titre éponyme ou le très beau Dans les brumeuses montagnes d’Afghanistan, l'accrocheur Comme si je m'en foutais ou l'amoureux S'il fallait.  unefemmemariee.jpg
Anny_Celsi.jpg Je n'avais jamais entendu parlé d'Anny Celsi avant que l'on attire mon attention dessus. Dans la lignée Bangles, Go-Go's Astropuppees et autre acte pop féminin, elle tient bien sa place. Tangle Free world est son second album, il sort en juillet et je n'en connais que les deux titres mis à disposition sur son myspace. L'album est produit par Nelson Bragg, du groupe de Brian Wilson, ce qui devrait suffire comme caution pop et talent. Elle est de Los Angeles mais elle sera cet été en tournée en Angleterre, donc si vous trainez vos guêtres par là pendant vos vacances, voilà une bonne occasion d'utiliser vos livres.
Dans la famille Soup!, je veux le grand-père. Et voici Planète Love. le décès de Dan, du groupe Soup! a fait que ces proches s'impliquent pour exhumer ces différentes participations collaborations en sa mémoire. Chronologiquement, avant Soup! il y avait les Allumettes et avant les Allumettes, Planète Love. Voilà pour le contexte. Pour le contenu, c'est de la pop classe comme il savait si bien en concocter, ici avec Franck Tellier. Evidemment, le son sonne un peu maquette, d'abord parce que c'en est, et qu'ensuite nous sommes dans un lointain passé (91-95) . Mais plus qu'en germe on y trouve le sens pop qu'il conservera tout le long de sa courte vie.  Bientôt l'intégrale Soup! sur leur site.  planetlove.jpg
Nicole_Jane.jpg Allez, un petit coup de frisson. Ce trio anglais, Nicole Jane,  est composé de trois frères, et ils se sont spécialisés dans la musique vocale. Donc harmonies comme s'il en pleuvait, pour une musique typée R&B ou Motown. La difficulté dans ce style d'exercice est d'échapper au sirupeux et les trois titres disponibles (pas d'album à ma connaissance) sans toucher au génie, permettent d'envisager un futur rayonnant. Avec un compositeur inspiré, c'est un style qui pourrait décrocher la timbale.
Chloe-TV est le nouvel avatar de Thierry Volver (d'ou le TV du nom du groupe). Ou Thierry passe, la pop règne. La pop strictement d'obédience sixties, au pire seventies. Pure et dure. Ici un côté garage dans le son, lié à la production très roots, qui lorgne du coté des Dutronc ou Bijou. La voix de Chloe Seyres accentue encore l'idée d'un titre des Calamités retrouvé par mégarde. Bon, il n'y a pas souvent d'album à la clef derrière les projets de Thierry, mais je reste un fervent supporteur de ceux qui continuent inlassablement à porter la flamme pop en terre française.  Chloe_TV.jpg
Alkes-fradkin.jpg Bon, si je vous dis Plimsouls, Paul Collin's beat, Phil Seymour, la plupart d'entre vous penserons à des marques de céréales biggrin Alkes et Fradkind, dans les années 80, ont participé au mouvement de power pop qui a failli dominer le monde cool. Et comme je suis tombé sur ce site qui présente quelque unes de leur demo, et que cela reste toujours aussi jouissif, je n'ai pas résisté à vous coller un peu de ces vétérans. Mais vous pouvez tenter de dénicher les sus-cités, vous ne le regretterez pas.
Depuis quelques mois je ressors des tiroirs quelques groupes français qui n'ont peut être pas marqué l'hisoire du rock de manière indélébile, mais qui en ont fait partie. C'est Ici Paris qui en fait les frais ce mois ci. Nous sommes dans les années 80 et plutôt que l'option cold wave c'est plutôt vers les Cramps ou New york Dolls que le groupe se dirige. Un tantinet barré pour l'époque, tant dans le look que la musique, leurs chansons faussement naïves mais purement rock and roll peinent à entrainer l'adhésion. La chanteuse à la voix très sixties Marie Christine Alcaraz à beau twister les mots à qui mieux mieux, silence radio. et comme tant d'autres, malgré un dernier baroud d'honneur, exit les Ici Paris. Un chouette résumé de leur carrière sur cette page. iciparis.jpg
SSG.jpg Un groupe qui se renvendique des Beatles, Cheap trick et ELO entre autres, ne peut qu'avoir frapper à la bonne porte. voici donc le Steve Sizemore Group (SSG) de Lexington, Kentucky, USA. Et ma foi, les petits gars balancent une sacré bonne dose de pop dans leur rock & roll. Côté chant déjà, ce Steve Sizemore se pose là. très Cheap Trick effectivement, et quand on sait le culte que je voue à Robin Zander, le compliment n'est pas mince. L'album, Beautiful dust semble en préparation,  j'en reparlerais donc dans ces pages, car ce SSG est l'un des groupes les plus prometteurs que j'ai entendu depuis des lustres dans ce style de rock FM américain.
Un rock plus cru, moins apprêté, c'est Am, (allez savoir pourquoi leur myspace s'appelle j'tentends sourire confused Originaires de Valence, deux gars deux filles, chant et basse pour ces dames, un son très démo, entre rock et quelques réminiscences punk. Ils sont une foultitude à faire une musique finalement assez proche et c'est de ce bouillonnement que sortiront les groupes de demain. Am est jeune, difficile de savoir s'ils auront les moyens de faire entendre leurs voix, mais à raison d'une maquette par an depuis 2006, malgré de fréquent changement de line up, on ne peut pas leur reprocher leur manque de persévérance. Alors à suivre ... ?  AM.jpg
Robin_Stine.jpg Changement complet d'univers. Robin Stine propose un album, Daydream, qui est mon coup de coeur du moment. Sur une base délicatement jazzy, une voix délicieusement bluesy, que des compos originales qui sonnent comme autant de classique. Assez proche finalement, sinon dans la forme au moins dans le fond,  du merveilleux premier album des Fairground Attraction, The first of a millions kisses. Le disque est en écoute sur le site de Magnatune, et si ce style de musique vous attire, vous devriez, comme moi, craquer.
Une petite nouvelle qui débarque Elodie Ruillier. Son album, Affranchie, a la particularité d'être moitié anglais (elle a passé quelques années à New-york) moitié français et d'ailleurs le titre qui ouvre le disque, En anglais explique ce non choix. Second point notable, la plupart des titres ont été arrangé et joué par Franck Sitbon qui office habituellement comme pianiste dans le groupe de la nouvelle star. La demoiselle co-signe la quasi totalité des titres, signe de son implication . Côté voix, bonne pioche, l'Elodie en à sous la semelle, et quand elle met la gomme, ca décoiffe. Très soul, ma préférence va pour ses titres en anglais  ou elle semble plus à l'aise. Pour la musique, c'est la production qui pèche à mon goût. C'est bien joué, évidemment, mais il y manque ce supplément d'âme, l'ensemble sonne un peu formaté, trop lisse, dommage, il ne manquait pas grand chose.  elodieRuillier.jpg
Bell_Boy.jpg Le groupe confused Répond à l'improbable nom de Bell Boy and radio free Europe, rien que ça. Dans les faits, ça ressemble plutôt à un projet solo, et si vous avez déjà écoutez les Who (rassurez moi, dites moi oui) vous ne serez pas dépaysé. Ce frenchy là, qui qu'il soit,  à plus de talent dans son petit doigt que la plupart des groupes qui trainent sur la toile. Certes, pour ma part, un filet de pop supplémentaire ne serait pas pour me déplaire, reste qu'on a là un vrai univers, une démarche claire, précise et efficace (Incarnation a quand même tout du parfait single). Bon, il ne reste plus grand monde pour signer les gens qui sont talentueux, mais si d'aventure un label survivant lit ces lignes, qui laisse trainer ses oreilles sur le site sus-cité, il ne le regrettera pas.
Il s'appelle Berger, mais lui c'est Christophe pas Michel. Lui c'est la guitare là ou l'autre était piano. Il écrit pour Jully dont j'ai parlé le mois dernier.Mais il écrit aussi pour lui et làou la jeune toulousaine était presque exclusivement swing, son univers à lui s'ouvre un peu vers d'autres horizons si j'en crois son dernier titre, Sous le ciel de Marianne (dont la ligne de basse m'évoque justement furieusement le Berger Michel et son laissez passer les rêves). Cette facette plus rock va bien au teint de notre auteur compositeur interprète qui prépare un premier album. Avec celui de Jully je suis impatient d'entendre le résultat. Christophe_Berger.jpg
grace.jpg Elle s'appelle Grace, et même si c'est facile, elle a effectivement été touché par elle. un folk teinté de world music et vice versa, un peu de musique blanche dans beaucoup de noire, elle passe tout ça au shaker Grace et l'on obtient ce délicieux cocktail, Hall of mirrors. je ne sais pas d'ou sort cette demoiselle, qui écrit les chansons (elle ?) , qui sont les musiciens, le réalisateur, peu d'infos sur les deux sites myspace et le site officiel d'Universal semble être en carafe. En tout cas la France semble l'avoir prise sous son aile, en attendant de l'adopter. Vite le disque !
Tout juste formé - fin 2008 - The collective est un groupe anglais de 6 membres, uniquement d'illustres inconnus, dont la pièce maîtresse est Gianpiero, alis Gian, l'auteur compositeur interprète de l'ensemble des titres. Too many people, dans le registre pop, ou Half myself dans celui de la ballade démontrent que le Gian en question a bien assimilé ses leçons d'écriture et qu'il faudra compter avec lui si les petits cochons ne le mangent pas.  The_collective.jpg
eko.jpg Ce qui est sympa avec les enregistrements réalisés par Totem production, c'est que j'y découvre des trucs que, de moi même, je n'aurais probablement jamais été écouter. Cette fois, je vous présente Eko un duo essentiellement - exclusivement ? - acoustique (ukulele, guitare, percussions) composé d'Amaury et Diana. Définitivement enraciné dans le folk, mais pas un folk dévoyé, celui en prise directe avec leurs racines. Quasi folklorique avec un titre comme Tom Bombadil 'song, plus soul avec Sun's coming home, plus classiquement folk avec les harmonies vocales de Nouveau monde, et toujours à l'esprit l'envie de de jouer de façon naturelle, dépouillée, presque à nu, vrai tout simplement Eko c'est le commerce équitable appliqué à la musique.
Son premier album avait pour nom Sans sucre s'il vous plait. Elle m'a fait beaucoup de peine cry. La voici de retour avec Le grand jeu, 14 titres qu'elle signe du haut de ses 25 ans.Pauline  Paris est son nom, et effectivement paname s'entend dans sa musique. Via Piaf, un peu, dans les thèmes abordés façons chanson réaliste, même si la musique a entre temps pris 50 ans de rock dans les gencives et que donc cela s'entend dans le grand jeu qu'elle nous propose. Diversité dans les différentes orchestrations, même si le courant chanson française reste la dominante, et, comme pour tous les représentants de ce type de musique, soin particulier apporté aux textes sont les axes majeurs de cet album.    PaulineParis.jpg
matthieuchedid.jpg Mathieu Chedid et moi on est fâché. Enfin surtout moi avec lui. Jusqu'à aujourd'hui, j'avais un peu de mal avec sa musique, sa voix surtout. Je n'accrochais pas. Le soldat Rose d'abord (merci papa) et le dernier album de Vanessi Spradrap, Dyvinidylle (particuièrement Chet Baker d'ailleurs) m'avaient un peu réconcilié avec lui. Après quasi 7 ans d'interruption Clark Kent redevient Superman, pardon Mathieu Chedid redevient M. Et ne voila t'y pas que Le roi des ombres, single annonçant l'album Mister Mystère prévu à la rentrée est tout à fait bon, et même plus. Le clip est carrément démoniaque, bref M aura finit par m'avoir. Si l'album est du même calibre, ça va faire mal.
 Panda Transport est composé de Thierry Holweck, made in France et plus connu dans le monde de la musique sous le pseudo de Severin24 (enfin plus connu, façon de parler) et la chanteuse Kathy Compton - made in the USA. Ces deux là font dans l'electro pop made in qualité. L'album Plush Mechanique est sorti il y a plus d'un an maintenant, et si je ne m'en fait l'écho qu'aujourd'hui, c'est faute de l'avoir su à temps. Reste que ces deux là font dans l'addictif, que la demoiselle de son côté fait aussi de fort jolies choses en solo sous son propre nom (sa page) et que j'attends de pied ferme la suite des évènements.   Panda_transport.jpg
pollys_scattergood.jpg Au premier abord j'ai pensé à Hazel O' Connor, a cause du timbre de voix de l'intro d'Untitled 27. Puis à Kate Bush (pourtant un tout autre univers) en fait c'est simplement Polly Scattergood et son premier album éponyme. La musique qu'elle propose oscille entre voix de petite fille et vocaux déjantés à la Kate Bush période the Dreaming (la plus passionnante). sa musique est "spéciale", indubitablement, tout en restant accessible. Un peu comme Regina Spektor, son empreinte est marquée sur toutes ses chansons, une signature, qui a défaut d'être à coup sur celle du talent, est celle d'une vraie personnalité.
Attention, voilà du lourd. Chahla est le nom de la jeune femme qui a remporté la première session 2009 des audit talents award. Un tiers pop, un tiers orient, un tiers textes sacrément bien foutu (écoutez moi cette sublime Lettre à Marianne) et on obtient là un cocktail détonnant. Comme elle a l'intelligence de savoir s'entourer, ses morceaux sonnent grave, comme quoi on peut faire des trucs qui groovent un peu et qui flirtent avec le funk, et pas qu'un peu ,et néanmoins figurer dans ces pages. L'album qui finira par arriver et un bel avenir lui est promis.  chahla.jpg
Furs.jpg Ah putain ! Avoir encore 18 ans et croire encore au pouvoir du rock et à son énergie. The Furs, quatuor qui office du côté de Vanne a cet enthousiasme. C'est jeune, ça défouraille à tout va, mélangeant un tas d'influences à peine digérées pour en faire leur propre identité. C'est le facette rock qui l'emporte largement sur toute autre, c'est bourré de dynamite, ne cherche pas à (ré)inventer quoique ce soit, on balance la sauce et point barre. Une musique faite pour être joué sur scène.
Ce doit être la première artiste malaysienne à figurer sur Sucrepop. LE fan de ukulele que je suis avait repérer cette jeune femme (23 ans) sur youtube il y a quelques mois sous le nom KokoCaïna wink. Je n'ai pas immédiatement fait le rapprochement quand Pierre m'a parlé de Zee Avi. Et puis au timbre de voix, magnifique, quelques sonorités de 4 cordes plus tard, j'étais conquis. Un bien bel album qu'elle nous propose. Sa parution sur le label de Jack Johnson,  Brushfire Records, est la garantie d'un doux moment, très mélodique, et c'est le cas. Même sir le ukulele vous sort par les oreilles, il est loin d'être omniprésent et ses chansons valent que vous lui prêtiez un peu d'attention.   Zeeavi.jpg
Treik.jpg Treik Deeperheit, musicien franco-libanais oeuvre comme tant d'entre nous dans le one man band. Il m'a envoyé son dernier album en date (parution du prochain en octobre 2009) Day Of Fabulous And Revolutionary Machine, histoire de voir ce que j'en pensais. La pop est plutôt absente de sa palette, ou plutôt elle est là, en filigranne, et lui s'obstine à la dissimuler. Beaucoup de sons saturés, que ce soit guitares voix ou sample de batterie, Treik n'aime pas quand ça sonne naturel, il trafique un max. Inititalement joueur de violon, cet instrument fait de régulière incursion au sein des compos ce qui donne une couleur bien spécifique à sa musique. Pas trop de mélodies faciles auquelles se raccrocher, Virtual movie machine par exemple est passée à la tronçonneuse pour éviter d'être trop commerciale. Au final un disque à coup sur surprenant, conseillé à ceux qui aime quand ça rape (j'ai pas écrit rap hein ! tongue) entre les oreilles
Et puis bien entendu, difficile de faire l'impasse sur la disparition de Michael Jackson et la vague d'émotion qu'elle a soulevé. Que certains ont trouvé disproportionné, après tout ce n'était qu'un chanteur ! mad Alors bien sur, le personnage raide barré, les plus que suspicions sur sa sexualité, je ne vous fais l'article, des tombereaux de documents retraçant sa vie, son oeuvre sont dispo sur le net. Reste qu'en une poignée d'albums, finalement assez peu nombreux en solo, il a forgé une grande partie du son la pop d'aujourd'hui.  C'est en 1979 que j'ai accroché au wagon, (essentiellement du fait de la participation de Mc Cartney qui lui avait donné la ballade Girlfriend). les Jackson 5 (hormis le superbe Blame it on the boogie) je n'ai jamais été client. ensuite, à moins d'habiter une autre planète, impossible de couper à Thriller. On y retrouve Sir Paul pour, de loin, le titre le plus faible du disque, et le rock mélangé au funk qui feront le carton que l'on connait. Puis Bad, mon album préféré de Bambi, ensuite j'ai un peu - beaucoup - décroché, et si on excepte Black or White j'ai ne pas suivi le peu de disque qu'i la sortie, la désaffection - relative -du grand public étant parallèle. Voilà, salut l'artiste tongue
Le clip

Tous les artistes de cette page peuvent être écouté sur le radioblog de Sucrepop, certes, mais la plupart sont également diffusés sur la webradio de Radio+ (en fait uniquement les autoproduits/indépendants).

Bonne écoute, rendez-vous le 1er août, dans une probable version allégée, vacances obligent,  avec d'autres petites notes de musiques.
Merci à tous les musiciens, internautes et autres surfeurs curieux, nos échanges me sont précieux .
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Date de création : 04/07/2009 @ 11:17
Dernière modification : 29/09/2009 @ 22:47
Catégorie : - Editoriaux-2009
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