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Sucrepop - Septembre - Je m'ennuie
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Lucy, Racquel and me

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Septembre 2009 - Je m'ennuie

Elvis.jpgAvec la rentrée, reprise des hostilités côté sortie d'albums, et du coup quelques grosses cylindrées sortent du bois, ce qui a pour effet de faire basculer ce mois ci le ratio Autoproduits / Artistes signés dans le camp de ces derniers. Mais après tout il s'agit toujours de musique alors qu'importe.

Vacances obligent, même si j'ai joué quotidiennement du ukulele, ne serait ce que pour composer le titre de ce mois ci, j'ai mis un peu de côté la partie enregistrement de grilles, et seul deux morceaux viennent s'ajouter à la collUKEtion de grilles d'accords, un standard de la chanson française, San Francisco de Maxime Leforestier et, dans un tout autre style, l'ultime titre jamais enregistré par ABBA, The day before you came, dernier titre, mais, à mon avis, leur meilleur. Le mois prochain sera plus prolifique, promis juré !

Pour ce qui est du titre de ce mois ci, Je m'ennuie - sous-titré ma vie Bovary - j'ai tenté d'e jouer du contraste entre une musique plutôt enlevée, presque festive (pour autant qu'un morceau que j'écris puisse l'être wink et un texte dont le titre résume parfaitement le contenu, nettement plus dépressif. Une basse sautillante, quelques cuivres et toujours Julie aux commandes vocales pour parachever le tout et voilà le titre de septembre bouclé. Tout ça peut s'écouter sur la page dédiée que voici avec comme chaque fois la version karaoke et la grille d'accord couplée à une version ukulele, la version originale donc.

Issu de Champagne Ardenne, voici Mystery music. Le mystère, si mystère il y a, est plus dans ceux qui sont derrière la musique que la musique elle-même. Le site web officiel ou le myspace sont chiches d’informations à ce sujet. Reste que leur côté pop lounge est franchement bien foutu, que la chanteuse est au top, les compos ultra mélodiques et que c’est donc stupéfiant que je ne sois encore jamais tombé dessus. Amusante coïncidence ils utilisent le même moteur CMS que moi (Guppy), organisent leur site avec les compos années par années comme je le fais et proposent leur titre en libre téléchargement également, bref une démarche en tout point similaire. En tout cas le vrai coup de coeur de ce mois. Mystery.png
ottband.jpg L’OTT Band est un groupe anglais fondé par Tony Tarr, d’où le TT.  Le groupe est quasi un big band,  puisqu’ils ne sont pas loin d’une quinzaine quand ils sont au complet. L’album se nomme Love me, et oscille entre pop et reggae. Parfois proche d’UB 40 (le titre éponyme dans sa version vocal mix par exemple), par le côté reggae blanc mais doté d’une section de cuivres qui booste certains titres. Les chœurs féminins, parfois très présent, ajoutent une touche ma foi foi agréable, sans rien révolutionner, OTT Band vous fait passer un bon moment et vous ne devriez pas avoir de difficulté à répondre à sa demande d'amour.
Derrière un nom à coucher dehors, The Duckworth Lewis Method se cache un groupe irlandais composé de Neil Hannon membre de  The Divine Comedy et  Thomas Walsh de Pugwash, groupe qui m’est plus familier, ne serait ce que grâce à notre amour partagé de la musique d’Electric Light Orchestra. Ces deux là se sont donc accoquinés pour un concept album qui n’évoquera rien à la francophonie, puisque son thème unique en est le cricket confused Hormis cette so british particularité, on retrouve dans cet album éponyme toute la diversité de la pop anglo-saxonne. Plus qu’ELO c’est plutôt vers les Kinks période Village green preservation society que l’ambiance générale se situe. Un disque franchement réussi, très très anglais dans sa conception comme sa réalisation. Vous reprendrez bien une tasse de thé ?  The_Duckworth_Lewis_Method.jpg
NSA.jpg Mon petit tour estival dans le Var m’a permis d’y écouter quelques groupes du cru. Certains de reprises, et d’autres avec leur propres compos. NSA (Never Stay Alone) homonyme d’un groupe parisien d’electro house,  fait partie de ceux là. Ils sont jeunes (la moyenne d’âge doit se situer vers 16-17 ans), récemment formé, le groupe n’a pas un an, et font dans le punk rock metal, un coup en anglais, un coup en français, et ils y croient, ce qui est bien le moins. Bon, leurs sites web (skyblog ou myspace) piquent un peu les yeux, logo compris, les compos sont enregistrées avec un tel portable, vu le son, mais ça envoie et ne demande qu’a grandir. C’est de petits groupes comme ceux là que sortiront nos rockstars de demain. Longue vie à NSA donc. 
Toujours dans le même coin mais ayant dépassé la catégorie poussins, Terra., presque plus un concept qu’un groupe, Musique, littérature, jeu de rôle sont au programme,  Le site officiel a de la gueule - ils doivent avoir un graphiste du tonnerre dans leurs relations - mais en cours de refonte donc sans contenu, un forum entièrement protégé par mot de passe wink et un myspace qui, à l’exception d’un titre, ne propose que des extraits, bref, on frôle la parano. Bon, sinon, le son est là, un côté world music et festif plutôt bien foutu. Si Sinsemilia, Mickey 3D ou Matmatah sont votre tasse de thé, nul doute que Terra sache vous séduire.  Terra.jpg
chloe-mons.jpg Chloe Mons, actrice d’abord, chanteuse ensuite, est connue aujourd’hui pour avoir été Mme Bashung. Et elle nous propose son second disque, autoproduit, soulignons le, Par la rivière. Première chose qui frappe, la pochette, d’un vulgaire, assumé certes, mais rédhibitoire, pour moi en tout cas, qui ferait passer mes vieux Roxy music pour le parango de l'érotisme. Côté musique, comme feu son mari, madame ne fait pas dans le facile, le commercial. Et pourquoi pas ? sauf que là, le disque est plutôt barré, comme l’est d'ailleurs sa voix la plupart du temps mais alors franchement barré. Un zeste de country par là, un zeste d’indéfinissable par ici, un coup en anglais un coup en français, difficile pour un fan de pop de se raccrocher à quoi que ce soit. Pas une mélodie tenace, pas un beat accrocheur, rien.  Une chose est certaine, la preuve est faite que, contrairement à la grippe A, le talent n’est pas contagieux, Melle Mons ne l’a pas attrapé.
La fiancée (mais qui choisi ces pseudos ? cry) débarque sur vos platines avec un 1er Ep 4 titres écrits par elle et composé par Florent Marchet ou Edgar Ficat. Tendance acoustique très prononcée, avec un joli filet de voix où l’on perçoit moultes réminiscences (Françoise Hardy par exemple) et quelques harmonies vocales de toutes beautés (L’emploi du moi), elle est par ailleurs dotée d'un joli brun de plume. Plutôt que de se lancer dans l’aventure d’un album, son choix se porte sur la régulière parution de petites galettes, idée que j’apprécie et qui se prête bien à sa musique. Elle sont nombreuses les éternelles fiancées de la pop a tenter de se faire passer la bague au doigt,  savoir si celle-ci réussira son coup dépasse mes capacités divinatoires, mais elle a ses chances..  la_fiancee.jpg
Maurane.jpg Maurane nous revient avec un album dédié à Claude Nougaro, l’un de ses maîtres à chanter. Elle a eut le bon goût de ne pas choisir que des megas tubes du poète toulousain, mais de sortir du placard quelques titres moins courants. Alors certes, Armstrong, le jazz et la java et l’incongru Tu verras tu verras, incongru car torpillé par la présence de Calogero dont on se demande bien pourquoi, hormis commercialement parlant, il déboule ici. Leurs deux voix ne se marient guère et le tout sent le marketing à plein nez. Mais aussi Allée des brouillards, Rimes, Il y avait une ville, bijoux que je ne connaissais pas et qui rappellent quel grand auteur était Monsieur Claude. Maurane prouve une fois de plus qu’elle est l’une sinon LA chanteuse francophone la plus douée et ce depuis des lustres. Si seulement elle pouvait choisir ses chansons avec autant de soins pour ses albums de titres originaux.
Mindmovie – pseudo de Achim Wierschem - est un one man band qui nous vient d’Allemagne et qui sévit dans le style musique progressive, essentiellement instrumentale. C’est un projet solo, puisqu’il est par ailleurs membre du groupe Flamming Bess. C’est avant tout un impressionnant guitariste, avec un son très clair à la David Gilmour (l’influence du Pink Floyd est d’ailleurs flagrante). Les morceaux sont plutôt softs, teintés de nappes de synthés mais c’est évidement la guitare qui règne en maître. L’écoute de plusieurs morceaux consécutivement donne l’impression que le maître des lieux peine à se renouveler, une certaine similitude des morceaux ne manque pas de sauter aux oreilles, mais c’est sacrément bien foutu et ne lasse pas pour autant. Mindmovie.jpg
AllnightDynamite.jpg Ils sont du New Jersey, pays de Springsteen et Bonjovi, mais ont choisi une route moins purement rock and roll et plus dance et fun. Les jumeaux d'All Night Dynamite font preuve d’un sens indéniable du refrain accrocheur et du beat qui déhanche. Entre Daft punk pour les plus récents et Alphaville pour les grands ancêtres, donc synthés à fond les ballons, leur premier EP, Chiller, a beaucoup d’atouts pour séduire. Reste à persévérer sur un album complet, mais c'est déjà plus que prometteur.
Dans une veine similaire quoiqu’un un poil moins electronique, la nouvelle coqueluche made in France, Pony pony run run. Un second tube sous le bras, Hey you (après le Out of control de l'année dernière),  ce trio nantais marche sur les traces de Phoenix, mais avec un sens du hit encore plus  affirmé. Très eighties dans le son, même leur vidéo semble surgir du passé. Loin d’être des one hit wonder, l’album tient bien la route et les place en bonne position pour conquérir les hits internationaux avec ses riffs de synthés ébouriffant et ses rythmes special move your body. C’est tout le mal que l’on peut leur souhaiter. Ponyponyrunrun.jpg
Lilly_Allen.jpg Allez, pour le plaisir, un album qui date de 6 bons mois et à côté duquel j’étais passé. Lilly Allen et son It’s not me it’s you. Pendant mes vacances, le single Fuck you et son entêtante mélodie à fini par arriver jusqu’à moi. Quand je pense aux interdictions de passage radio pour des lyrics bien moins explicites qu’ont eut à subir, Beatles, Doors, Stones et autres rockers,  l’évolution des mœurs (ou leur décadence) est flagrante. Donc, cette jeune femme écrit des chansons piquantes (Not fair sur un amoureux qui est un mauvais coup au lit), alliée à des mélodies pop ou le piano prédomine largement. Ca n’atteint pas toujours des sommets, mais quand ça fait mouche, c’est royal. Et puis elle a repris du ELO, c'est un gage de bon goût.
Clouman m’a envoyé son second album, Clouman persiste, Noir & Blanc. En gros, on prend les mêmes et on recommence, l’expérience en plus. Clouman a tout de l’entreprise artisanale familiale. L’idée, transformer un rêve d’ado en réalité. Il suffit de s’en donner les moyens, il se les donne. Liez tout ça à une omniprésence sur le web (Clouman est partout, Myspace, Youtube, Dailymotion, Skyrock …) des clips, des interviews, un plan marketing digne d’une major, bref ne pas faire les choses à moitié, des remords pas de regrets, tel semble être son credo. Et le résultat ? Des styles musicaux très divers abordés, avec une nette progression sur le plan qualité sonore, expérience oblige, des textes plutôt sombres sur l’avenir de la planète (l’écologie est l’un de ses credos) et l’être humain en général, et les mêmes défauts que précédemment, une voix « ordinaire » pour des compos du même métal. Un album amateur, dans tous les sens du terme, on y sent l’amour et l’envie que lui et sa bande y ont mis, on y sent leurs limites aussi. Se faire plaisir était le but initial, pari gagné haut la main.  clouman.jpg
marc-lavoine-volume-10.jpg La passe de 10 pour Marc Lavoine qui avec ce Volume 10 revient avec ses premiers nouveaux titres depuis 4 ans. Moi je suis plutôt fan du bonhomme, tant de l’acteur que de l’auteur interprète. Il signe l’ensemble des textes, confiant les musiques à entre autres son vieux complice Fabrice Aboulker, Julien Clerc et Bertrand Burgalat qui semble omniprésent ces temps ci. Rue des Acacias qui ouvre l’album est un classique de Marc Lavoine, un single évident, probablement le titre le plus radiophonique, même si c’est La semaine prochaine qui a l’honneur d’être le premier extrait à être diffusé. Même Valerie Lemercier, qui pourtant m’a toujours déçue côté chant s’en tire plutôt biens dans son duo La grande amour. Je suis nettement plus réservé pour le second duo avec sa fille. Ca m’a toujours cassé les pieds qu’un artiste se croit obligé de nous balancer sa famille dans l’un de ses disques. Ce n’est pas que la petite chante mal, elle chante comme une enfant, pas comme une chanteuse. Mais c’est moi qui n’ai pas de cœur probablement. Au final, l’album est agréable, fourré aux jolies mélodies, aux textes forts bien écrits (un bémol pour celui qui ferme le disque, Je rêve de ton cul, dispensable) Les orchestrations, un peu bateau, gâchent un peu le plaisir, mais globalement ce Volume 10 est un très bon cru.
Pas de disque de Kiss depuis le siècle dernier. Et voici qu’un triple album, rien que ça,  est annoncé. Enfin triple, entendons nous, un album studio d’inédits, un de leur succès réenregistrés et un dvd live. Donc Paul Stanley et Gene Simmons, 11 après leur dernier opus nous font un come back avec le nommé Sonic Boom, agrémenté de deux musiciens. L’album est prévu début octobre et n’a filtré pour le moment qu’un premier single, Modern day Delilah. Bon, c’est du Kiss, hein, guitares basse batterie, point barre. Des morceaux comme celui là, ils en ont pondu des tonnes (qui a dit malheureusement ?) ni mauvais et surtout ni bon. Ce n’est pas à 60 ans que ces oiseaux vont changer mais après une décennie de disette, j’étais en droit d’espérer un excellent titre pour ouvrir les hostilités. Raté, pour le moment …  KISS-sonic_boom.jpg
W_houston.jpg Quittant enfin les pages people pour réinvestir celles consacrées à la musique, voici venir la diva Whitney Houston pour son premier album depuis 7 ans, I look to you. Une tripotée de noms sont au générique (Alicia Keys, R. Kelly, Diane Warren, Akon, David Foster …) et bof. C’est bien foutu, évidemment, la voix de Madame est toujours exceptionnelle, mais les compos, les gars, les compos ! Quittant la plupart du temps les rivages des slows qui firent sa réputation, c’est un album qu’aurait pu chanter Cher qu’elle nous propose. De la musique R&B au kilomètre histoire de tenter de conquérir radio et dance floor, sans grand hit qui aurait marqué son retour. Les amateurs de ce style de zic y trouveront certainement plus qu’à picoré, le disque n’est pas mauvais, n’exagérons rien, mais pas à la hauteur des possibilités de la dame.
Si les harmonies à la Beach boys ont le même effet sur vous que sur moi, avec l’album des Fleet Foxes, sorti l’année dernière mais que je ne découvre que ce mois ci, vous devriez être  aux anges. Il suffit de se laisser porter par les enchevêtrements de voix de Quiet house ou du sublime White winter hymnal pour être plongé dans un autre monde. Les Wondermints n’ont que rarement fait mieux fleet-foxes-lp.jpg

Une petite video issue de mon périple varois pour terminer, sous forme de copinage avec une de mes vieilles connaissances qui c'est lancé dans la diffusion de musique sur Youtube. Le voici donc propulsé en page d'accueil de Sucrepop pour l'aider, un peu, à faire connaitre sa musique, ce qui est tout de même le but principal de ce site.

Est il encore utile de le rappeler, tous les artistes de cette page peuvent être écoutés sur le radioblog de Sucrepop.

Bonne écoute, rendez-vous le 1er septembre, avec une probable avalanche de nouveautés en tout genres. Il y a, au minimum, la tant attendue intégrale Beatles remastérisée qui devrait faire son apparition et qui promet de faire couler beaucoup d'encre.
Merci à tous les musiciens, internautes et autres surfeurs curieux, nos échanges me sont précieux .
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Date de création : 31/08/2009 @ 19:35
Dernière modification : 31/08/2009 @ 19:44
Catégorie : - Editoriaux-2009
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