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Sucrepop - Souchon est chanteur
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Souchon est chanteur

Au Casino de Paris le 22 octobre 2009

Concert_Souchon.jpg3ème rendez-vous pour moi avec Alain Souchon sur scène, ce qui en fait l’artiste que j’ai le plus vu, ce qui n’est pas bien compliqué faut dire, puisqu'il faut bien l’avouer, j’ai un peu de mal à sortir de ma grotte, la musique live ne m’apportant pas généralement le plaisir de l’écoute d’un disque (je sais, je ne suis pas normal)
Donc direction le Casino de Paris cette fois ci, lieu chargé d’histoire de spectacles s’il en est, qui était bourré à craquer. Pour l’anecdote,  j’ai dîné dans un petit restau japonais (correct) Sushi Japo rue de milan, à 50 mètres du Casino. Les musiciens de Souchon y sont entrés quelques minutes après moi pour s’installer à deux tables.Vue l’exiguïté du lieu, ils ne pouvaient pas, de toutes façons,  se trouver bien loin. Marrant de les entendre parler « boulot » comme vous et moi parlerions du notre biggrin.
Mais revenons au concert. Pas de première partie cette fois (c’était Rose la dernière fois que je l’ai vu, et franchement, bof) et avec à peine quelques minutes de retard sur l’horaire prévu (20h45) début des hostilités.
L’attachement d’ Alain Souchon au net est bien connu, et en clin d’œil et en intro, un florilège de vidéos issues de Youtube et consorts ou quelques illustres inconnus ont repris un de ses titres est diffusé. Puis un riff de guitare, celui d’On ne s’aime pas ouvre le bal. Souchon au centre de l’arène évidemment, chemise blanche et veste (qu’il abandonnera assez vite) au cœur d’une  formation réduite, style groupe de rock, 4 musiciens,  deux guitaristes/bassistes (en fonction des titres, ils échangeront leurs rôles) le grand Michel Yves Kochmann et Ludovic Bruni, un clavier et un batteur dont le nom m'échappe (et pas d'infos sur le net).
Pas de décor de scène, juste un bel habillage lumière, et c’est parti pour 2 heures (quand même) de show ou L’Alain revisite une bonne partie de son répertoire, zappant quelques albums au passage, dans des arrangements ni similaires ni trop éloignés de ceux que l’on connaît.
 Si ma mémoire ne me trahit pas, voici la liste des morceaux joués (pas dans l’ordre d’apparition, il aurait fallu que je note, et j’avais autre chose à faire, regarder et écouter) mais chronologiquement par rapport à sa discographie
La plus ancienne jouée est J’ai dix ans, présentée comme un souvenirs plus que comme une chanson.. Le second album passe à la trappe et J’ai perdu tout ce que j’aimais est la seule citation de Jamais Content, si j’excepte Allo maman Bobo et Y a d’la rumba dans l’air qu’il a fait reprendre en chœur au public 15 secondes.
Cruelle déception pour moi, pas l’ombre d’un extrait de Toto 30 ans, mon album favori de La Souche.
Rame est mis à l’honneur puisque en sus du morceau d’ouverture déjà cité, c’est le titre éponyme qui clôturera le concert, belle version avec juste une guitare électrique et Alain au départ (plus le public of course) , rejoint ensuite par les 3 autres musiciens pour le canon final. Magique. Evidemment, le public reprendra à plein poumon le refrain pour qu’Alain vienne saluer une dernière fois (2 rappels en tout)
L’album On avance fournit Saute en l’air, C’est comme vous voulez est disqualifié (sniff, et La ballade de Jim ? frown). Ultra Souchon_2.jpgmoderne solitude donne son quand J’serais KO en version karaoke le texte défilant derrière Alain, celui-ci n’ayant plus qu’à se laisser porter par le public, trop content de pouvoir chanter avec lui, voir à sa place. L’album C’est déjà ça malgré son grand âge, est le grand gagnant du spectacle, c’est également probablement son plus gros succès commercial, en plaçant rien mois que 5 titres, Foule sentimentale (karaokeïsée également), C’est déjà ça, Sous les jupes de filles, Les regrets et  L’amour à la machine.
Cinq titres également pour Au ras des pâquerettes, que j’avais jugé quelconque à sa sortie, et dont les textes, dans ce contexte, prennent leur dimension, même si musicalement, je persiste à les trouver un ton en dessous. Rive gauche, Pardon, Le baiser, Caterpillar et Petit tas tombé. La vie Théodore était un disque médiocre hormis le sublime Et si en plus y a personne, et c’est le titre qui est joué, même si sa réduction en version scène ne l’a pas convaincu. Pour terminer, 4 extraits du dernier album en date, Les saisons, Ecoutez d’où ma peine vient, Elle danse et Parachute doré. S’y ajoute Somerset Maugham et la vie ne vaut rien, jamais parues sur un album hors best of. Pas d’inédits, pas de reprises, dommage.

Côté son, ce n’était pas top, enfin pas cata non plus, n’exagérons rien, mettons que c’aurait pu être mieux. Pas faute aux musiciens, excellents de bout en bout, mais un bourdonnement intermittent, un grésillement dans le micro parfois, des graves un peu accentués par moment, bref une qualité d’écoute moins bonne que prévue, et pourtant c’est le grand Andy Scott qui était aux manettes.
J’ai trouvé Souchon moins prolixe que d’habitude entre les chansons. J’aime bien ses apartés, son humour décalé, sa manière de raconter les choses. Là hormis deux « sketchs » sur les filles à queue de cheval et sur son « appropriation » de Laurent Voulzy, il a été peu disert. Voulzy justement. Quelques jours auparavant, il avait été invité surprise de ce même spectacle, j’espérais secrètement, non, ouvertement, que j’aurais la chance avec moi. Raté. Si j’y ai cru lors de sa digression sur Lolo star, je suis resté sur ma faim, tant pis.
Au final, un bon concert, ou le public, conquis d’avance, lui à fait ovation sur ovation. Avec la qualité du matériel musical engrangé depuis plus de 30 ans, difficile de se rater. Ce n’est pas une bête de scène, on n’en sort pas transfiguré si tant est que cela puisse arriver, mais il y met de l’énergie, de l’envie, ne parait pas une seconde blasé et nous en donne pour notre argent. Ses textes « politiques » (C’est déjà ça, Elle danse, Parachute doré…) prennent une dimension particulière et la résonance avec le public n’en est que plus palpable.
Prochain rendez-vous, 2010 j’espère, avec le tant attendu album de duos avec son complice Voulzy et qui sait, une tournée commune, le rêve quoi.tongue


Souchon_3.jpg


Date de création : 23/10/2009 @ 22:31
Dernière modification : 25/10/2009 @ 11:19
Catégorie : - Chroniques CD-Concerts
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