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Sucrepop - Juillet- Va (Je suis là)
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Lucy, Racquel and me

Le nouvel album est en écoute et téléchargement gratuit ici.

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Juillet 2010 - Va (Je suis là)

Avis aux artistes le 1er juin cette page basculera de la page d'accueil à cette adresse (actuellement inactive)

Et c'est parti pour une sélection pré-estivale. Le mois dernier; j'étais à la peine pour élire le disque du mois, trop de prétendants potentiels (pour rappel, grand vainqueur Emmanuel Weil). Ce mois ci, de bons disques, certes, mais rien qui se détache vraiment , 
Eyes in the sky - http://kutuharju.vuodatus.net/blog/1368919/an-eye-in-the-sky/qui fasse la différence. Nous verrons un peu plus loin qu'aux USA, l'été se porte blues, que la pop a toujours ses adeptes un peu partout dans le monde et qu'en francophonie, les cépages chansons murissent avec l'été mais que je doute que nous ayons affaire à de grands crus, quelques titres gouleyants certes, mais d'ivresse en vue, point.
Et ce n'est pas ma sucrerie de ce mois ci qui remontera le moral des troupes, puisque le quasi mystique Va (Je suis là) est le titre exhumé et totalement revisité par la grâce de Regis Delbroucq. En effet, la petite entreprise Sucrepop respectant à la lettre la législation du travail, congés de maternité et congés pas payés smile Julie est en ouacances forcées mais méritées et reprendra du service pour les 5 prochaines sucreries. Régis donc, avec qui je n'avais pas collaboré depuis le début du XXIèeme siècle et qui m'a fait le grand plaisir de reprendre un morceau que j'avais enregistré (ici) en effaçant l'ardoise et partant de zéro. Ma version plus pop, contre balançait le texte ou en gros je donne la parole à personne décédée qui s'adresse à quelqu'un de cher qu'elle a laissé sur terre. Régis, avec le talent qu'on lui connaît, en a fait une version plus habitée et nettement plus en phase musicalement. Rendez-vous sur cette page pour juger du résultat. Cette version est dédiée  à Christine, Elodie et Adeline qui ont perdu leur mari et père récemment. 
6 grilles d'accords pour Ukulele s'ajoutent à la centaine d'autres (la collUKEction). Deux Michel Delpech, Les divorcés et Chez Laurette, un Stones, Paint it black, une nouveauté, Zaz et son Je veux, la sublime chanson d'Henri Salvador, Jardin d'hiver et un titre des sixties, Le pénitencier de Johnny Hallyday ou The House of the rising sun des Animals, suivant que vous penchiez pour l'anglais ou le français.
Branchez vos enceintes cliquez sur ce radioblog et suivez le guide pour une petite moisson de pépites sonores .

Choisir comme nom de groupe Flipsong pourrait laisser supposer que ce trio joue de la musique flippante (ou est fan d'un dauphin téléviséwink), que nenni. Flipsong fait de la pop comme on respire, naturellement. The world is yours tonight, qui ouvre leur 1er EP et leur meilleur titre haut la main,  résume parfaitement la situation. Un violoncelle plaintif et mélancolique, une voix haut perchée très anglaise, absence de basse batterie qui précipite le son du groupe dans les bras d'une pop totalement acoustique et aux accents fatalement folk. Aucune chance de danser cet été sur cet opus qui porte en lui plus de fog londonnien que de brume de chaleur estivale, parfait accompagnement d'un mois de novembre couleur gris souris, les chances que le bleu aoûtien qui nous attend se marie dans nos MP3 respectifs avec ces quatres délicates ritournelles sont faibles. Mais vous tenez là votre bande son de cet automne. Disque interessant, mauvais timing. Flipsong.jpg
Eloine_Song.jpg Le précédent single d'Eloïne song avait des tonalités passéïstes, visuellement au moins. Le petit nouveau, Coeur polystyrène, doté d'une photo issue des 45tours du plus profond des années 80 creuse le sillon. Le familier (pour les ancêtres)  bruit d'un diamant sur le vinyl  ouvre d'ailleurs le morceau. La mélodie est plutôt bien  balancée, la voix toujours sous le sceau de Vanessa Paradis émergeant de l'adolescence, sans que cela soit gênant d'ailleurs. Chanson de pluie, la face B est tout aussi efficace, pas le gros hit d'été mais laisse augurer d'un album à venir (en cours de réalisation) surement charmant. La direction électro pop qu'annonce le communiqué de presse m'échappe un peu, on est là dans de l'honnête chanson de variété, dans l'air du temps et bien réalisée et c'est déjà pas mal. Sur la longueur d'un album il sera plus facile de mesurer la capacité à imposer une vraie personnalité.
Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis. Les frères Godfrey et Skye ont tenté leur chance chacun de leur côté pour se rendre à l'évidence, ensemble leur musique a une âme, séparément, ils font du Canada dry, le son, la couleur de Morcheeba sont là, mais ce n'est pas du Morcheeba. Après 7 ans d'errance, rabibochage et sortie de Blood like lemonade qui me réconcilie avec le groupe. L'album est présenté comme la suite de Big Calm, et de fait on y retrouve la même veine, c'est dire si la plupart des  compos sont cette fois au niveau. La voix de Skye épouse parfaitement les contours de la musique des frérots, les pièce du puzzle s'assemblent à merveille et le trip-hop tout en douceur qui est leur marque de fabrique retrouve ses lettres de noblesses. Si l'album n'est pas exempt de faiblesses, Even though ou le titre éponyme entre autres contiennent assez  de phéromone pour vous attirer irrésistiblement.   Morcheeba.jpg
 tcaro-emerald.jpg Cherchez pas, vous ne trouverez pas cet album, Deleted scenes from the cutting room floor en France avant la rentrée. Premier album d'une jeune hollandaise dont je ne me risquerais pas à écorcher le nom et qui ce fait connaître sous le pseudo de Caro Emerald. Et  bijou il y a bien. Cet album est un régal. Direction les années 50, le mambo et le cha-cha, bref une musique les deux pieds plongés dans le groove latino, mais celui de la douceur, foin de samba, pas une once de bossa, mais un disque muy caliente qui a déjà explosé tous les compteurs dans le pays d'origine  de la miss et pour lequel je prédis un carton similaire chez nous tellement il est accrocheur et décalé et c'est ce décalage qui le rend si attachant. Quand à savoir pourquoi le marketing a décider de lancer cette bombe après la période estivale alors qu'il est manifestement fait pour enchanter les pistes aoûtiennes, mystère. Si vous ne  saviez quel perle offrir à l'homme / la femme de votre vie, essayez cette émeraude, la déclaration d'amour sera évidente
Un premier album littéralement écrasé par le succès d'un seul titre (Allo le monde), alors qu'il recelait d'autres charmantes pépites, voici Pauline qui nous revient avec La vie du bon côté, son nouvel album. et cette fois il est plus équilibré - ou en tout cas ne devrait pas être  déséquilibré par un gros hit, - même si celui ci regorge de chair à hit parade. En préambule, le point le plus gênant, la voix. Cette jolie demoiselle n'y peut probablement rien, mais il est impossible de l'écouter sans penser que l'on a affaire au nouveau Zazie. Même timbre, même intonation, moins électro pop d'accord mais dans les mêmes eaux tout de même, look relativement proche, troublant. Surtout que Zazie n'est pas retiré des voitures. Donc La vie du bon côté est un bon Zazie, les 3 premiers morceaux, Tous les jours, Music pop et le titre éponyme très pop rock sont mêmes redoutablement efficaces. Ensuite Pauline calme le jeu, ce que je regrette car l'énergie lui va bien. Seule Laisser passer, un peu plus loin, renoue avec cette veine. Au final mieux qu'un succédané, un disque qui confirme qu'il va falloir compter avec elle et que son premier hit n'était pas un coup de chance .   Pauline.jpg
Sscissorsisters.jpg Si la pochette de ce nouvel album de Scissors sisters m'évoque surtout une couverture de Têtu, wink ce n'est pas un hasard La réputation du sens de la fête du milieu gay n'est plus à faire et cet album est clairement un appel a remuer son popotin (au sens danse du terme voyons) Ce Night work devrait enflammer les dancing floor de Paris à New-york en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire. Un titre éponyme dont les harmonies du refrain évoquent furieusement un ABBA perdu, en passant par le premier single Fire with fire, missile à destination de la tête des charts en passant par le très Bee Gees Any wich way, il y a là largement de quoi pimenter les chaudes nuits d'été pour trainer jusqu'à l'aube Si la glorieuse  période disco de la fin des années 70 au début des années 80 laisse en vous des relents de nostalgie, ressortez les boules à facettes les platforms boots et les paillettes, la fête et l'insouciance sont de retour.

17 ans en gros que Steve Miller n'a pas sorti d'albums. sa dernière livraison date de 1993 et hormis une participation active au Flaming Pie de Paul Mc Cartney, disparition des radars. Pourtant le bonhomme figure en bonne place dans mon panthéon perso, puisque hormis son superbe greatest hits d'anthologie (1974-1978), deux de ces albums m'avaient scotché à leur sortie, le très pop Abracadabra (qui a mal vieilli, plombé par les synthés eighties) et le jazzy et en solo Born 2 B blue qui reste l'un de mes disques favoris. Bingo, le cru 2010 est dans le même esprit , sauf que de jazz il n'est pas question, mais de blues oui. De bon vieux blues des familles, que des reprises donc,  revitalisées par cet exceptionnel guitariste sans oublier sa voix si reconnaissable. Au menu du BB king ou du Jimmie Vaughan, Joe Satrinani en guest star qui a le bon goût de ne pas en faire des tonnes et un plaisir qui saute aux oreilles dans cette relecture de quelques classiques - et moins classiques - blues o thèque. Ca sonne, c'est frais, plein de vitalité, pour qui ne connaît rien au blues une excellente introduction, pour les aficionados, pas besoin de recommander ce disque, ils l'ont déjà. Steve_Miller.jpg
Tom_Petty_The_Heartbreakers.jpg Blues encore - quand j'écrivais en intro que l'été se portait Blues aux USA, avec le nouveau Tom Petty & the Heartbreakers, Mojo. Blues en tant que fil conducteur car si tous les morceaux, originaux cette fois, ne sont pas de purs blues, cf le reggae Don' pull me over, beaucoup en ont le code génétique. Le redoutable Good enough (quelles guitares !! ) ou le titre d'ouverture Jefferson Jericho Blues pour preuve. Alors bien sur, comme Tom le dit lui même, ces titres sont issues de jam et côté pop de la force et morceaux réellement écrits et construits, il va falloir patienter. Cet album a été conçu pour le live - d'ailleurs au USA il est en téléchargement gratuit pour tous acheteurs d'un billet de la tournée d'été, idée dont certains devraient s'inspirer de ce côté de l'Atlantique - et ça s'entend. C'est brut de décoffrage, pas léché pour un rond, même si le gros son est là tout de même. Perso le Tom Petty solo (cf Highway companion, son dernier opus de 2006, superbe) me va mieux au teint, particulièrement quand Jeff Lynne traine ses guêtres aux alentours, mais ce Mojo, sans déclencher un enthousiasme délirant assure tranquillement, et ce n'est déjà pas si courant.
Passe de trois pour Mister Blues avec Cindy Lauper qui déboule de je ne sais ou avec un Memphis Blues sous le bras, 11 reprises toutes bleues. Le moins que je puisse dire, c'est que je ne l'attendais pas sur ce terrain. A vrai dire je ne l'attendais sur aucun, elle ne c'est jamais vraiment remise du carton qu'elle fit dans les années 80 et j'avoue avoir totalement zappé sa carrière depuis. elle s'est ici entourée de quelques pointures, histoire probablement que ne puisse être mis en doute le côté roots de l'affaire, et donc BB King et Allen Toussaint pour ne citer que les deux plus emblématiques sont du voyage. verdict, de mon point de vue, ça ne le fait pas. Musicalement, ça colle des frissons partout, mais son timbre de voix n'est définitivement pas en adéquation avec ce type de musique. Cette petite voix aigüe n'est tout simplement pas de taille à rivaliser avec des classiques comme Romance in the dark ou  Rollin & tumblin ou d'ailleurs elle duettise avec Ann Peebles et ou l'on devine aisément qui sort vainqueur. L'album se clôt sur une reprise de Crossroad qui ne donne que  l'envie de se refaire la version de Cream. Nul doute qu'elle soit sincère dans sa démarche, juste la confirmation que la sincérité ne suffit pas Cindy_Lauper.jpg

Steelcox.jpg Retour en France pour y écouter Steelcox qui lui a définitivement laissé ses oreilles aux USA. Il ne m'a envoyé que quelques titres de son album cryVoleur de femmes, donc c'est une chronique partielle que je vous livre. A l'écoute, difficile d'éviter le parallèle avec Eddy Mitchell qui popularisa ici la country made in France. Elle repense à la West Coast pourrait tout à fait prétendre être un bonus track d'un album d'Eddy, l'atmosphère, l'ambiance, la voix crooner, tout y est. Mention spéciale à la guitare solo qui arrache juste ce qu'il faut. Voleur de femme qui donne son tire à l'album est dans ma même veine idem pour Je traverse l'Arizona plus Schmoll que Schmoll. Aux USA il y a pléthore de musiciens country, en avoir deux en France ne serait pas du luxe. Un bémol tout de même, la réalisation pêche un peu, autoproduction oblige je suppose, la batterie sonne un peu midi (faute de pochette ou de crédits, je ne saurais dire qui joue quoi) et donne donc à l'ensemble un petit côté cheap pas rédhibitoire pour autant mais qui tempère l'enthousiasme que ce type de musique pourrait déclencher. A recommander à tous ceux qui sont déçus par les derniers albums d'Eddy.

Bettye Lavette, jusqu'à ces derniers jours, je n'avais jamais entendu parler. Pourtant son premier single sorti à l'âge de 16 ans date de 1962 quand même. A vrai dire c'est le titre de son dernier disque Interpretations: The British Rock Songbook qui m'a interpellé. Je suis fan de reprises, vous le savez, et ne résiste pas à qui en propose une bonne série. Côté voix, Bettye est l'archétype de la voix black gorgée de soul et de blues. Impossible de s'y tromper, dès la première note, on sait de quelle école elle est (à vrai dire, elle fait partie des fondatrices de cette école vu son parcours). L'album s'ouvre sur une reprise de The Word des Beatles, proprement stupéfiante. Pas vraiment le titre le plus connu et le plus repris des fab fours qu'elle malaxe, ingurgite, régurgite, digère pour un funk blues soul des plus surprenant, à en douter de la signature d'origine. Fan de Liverpool elle l'est puisque pas moins de 3 autres titres sont au générique. Mais des titres issus des albums solo de George - Isn't it a pity méconnaissable - Maybe i'm amazed de Paul, mention bien et inattendu, It don't come easy de Ringo, ovni complet, même lui ne doit pas en revenir. Rien de John. Ajoutez à cela du Pink Floyd (si, si) du Led Zep, du Moody Blues de l'Etlon, et vous avez le topo. La plupart des titres sont repris, au sens premier du terme, au point de déconcerter parfois. Elle n'a pas menti, Interpretations est le terme exact  aBetty_Lavette.jpgt
divinecomedy.jpg Un gars fan d'Electric Light Orchestra ne peut m'être complètement indifférent. Ainsi en est il de Neil Hannon, seul maître à bord de The Divine Comedy dont le 9eme ou 10eme album vient de paraître, Bang goes the Knighthood. La musique de The Divine Comedy est aussi anglaise qu'un irlandais puisse le faire. Pop, évidemment ,décalée et surprenante, So british devrais je écrire. Je suppose que si Mr Bean faisait de la musique cet album lui ressemblerait beaucoup, humour pince sans rire, mélodie alambiquée, un poil surannée parfois mais toujours avec un sens affirmé du truc qui accroche et retient l'attention de l'auditeur. Alors kitsch oui,  indéniablement, mais pas vieillot, un disque qui sent le five o'clock tea.
C'est Pierre, doté de son envié et fameux détecteur de jolies filles qui m'a mis sur la piste de cette Joyce Jonathan. Petite jeunette (18 ans à tout casser) auteur compositeur interprète, elle emprunte la même voie que l'aujourd'hui célèbre Grégoire en passant par le site My major company pour produire son album. Le conte de fée continue, puisqu'elle contacte Louis Bertignac (oui, le Louis que le monde nous envie) pour réaliser l'album et que ce dernier accepte (et dire que nous sommes quasi voisin et que je n'ai même jamais osé lui faire écouter l'ombre d'un titre de Sucrepop). Bon, à vrai dire la première écoute m'a décontenancé et j'ai du tancer Pierre confused. Jolie certes mais un peu fadasse tout de même non ? et tête basse, penaud, les larmes aux yeux, tongue il a bien du en convenir. Hors j'ai ré écouté Sur mes gardes, plusieurs fois, et le charme a fini par opérer et j'ai compris ce qui avait pu séduire notre Téléphone man et les 486 internautes qui y sont allé de leur obole. C'est insidieux, mais réel, si on leur laisse le temps de grandir en vous ces chansons et cette voix finissent par faire partie de vous. Rien d'extraordinaire mais de quoi avoir envie de faire un bout de chemin avec.  joyce_jonathan.jpg
The_ready_set.jpg Quand je lis, quelque part sur le net, qu'un petit génie pop vient d'apparaitre, je saute bien entendu dans ma Sucremobile, et file voir ce qu'il en est. Cette fois c'est un one man band, Jordan Witzigreuter allias the Ready set qui a déclenché l'alerte. I'm Alive, I'm Dreaming est le titre de son mini album (8 morceaux). L'ouverture avec le single Love Like Woe est efficace à défaut d'être géniale, mini tube probable et la suite est dans le même style, claviers en veux tu en voilà, empilement de voix et de petits bout de mélodies collées les unes aux autres avec un talent certain mais une vacuité toute aussi certaine. Une sorte de Mika qui aurait omis d'être subtil. Un côté positif est que le tempo général est plutôt enlevé, l'ambiance optimiste,  difficile d'être déprimé en sortant de l'écoute, et à choisir pour les vacances se peut être une honnête bande son. Mais qui durera ce que dure les vacances. 
Le titre est clair, le shizo Alice Cooper fait du Alice, comprendre reprend 5 morceaux de son propre répertoire, de préférence des morceaux qui ont eu leurs heures de gloire, donc fatalement du début de sa carrière. J'ai toujours été fan de la vieille Alice et I'm 18 ou No more Mr Night Guy ont tourné plus souvent qu'à leur tour sur la platine vinyl de mon adolescence. On prend les même et on recommence, avec un son plus actuel, plus pêchu mais globalement sans réel innovation. Alors pourquoi ? Besoin de sous ? se faire connaître de la jeune génération ? Cette sortie précède celle d'un nouvel album d'inédits et est là pour préparer le terrain ? Peu importe, si Vincent Fournier vous était inconnu ces 5 titres vous mettront le pied à l'étrier.  Alice_Cooper.jpg
Donore.jpg Je viens à toi est le second album de Donoré, option chanson française, tendance acoustique. J'avais déjà brièvement évoqué son nom il y a 3 ans et c'est curieux de mesurer son évolution que j'ai lancé l'écoute de ces 11 titres. Bien, sans plus, et à vrai dire, hormis Soleil de Casa qui m'a tout de suite happé les tympans, le reste m'a laissé dubitatif. C'est indiscutablement bien réalisé, sa voix bien timbrée raconte des histoires banales pour le paraphraser, sur le quotidien, l'amour la vie d'un gars de 30 balais quoi et ma foi, il décrit tout cela plutôt bien. D'ou vient que je n'accroche pas à son univers, va savoir Charles ! Même après des écoutes répétées, rien à faire, ça se laisse écouter mais ne me convainc pas. Pas assez d'audace peut être pour sortir de la foultitude d'ACI qui savent écrire une bonne chanson. Au final Donoré est bien venu à moi, mais je n'étais pas là.
Quand on à ces jambes là, évidement qu'on les case sur la pochette de son premier album. Dont acte avec ce nouvel album d'un groupe que je découvre. Grace Potter (et ses Nocturnals) n'a pas de lien de parenté avec Harry, mais une voix à laquelle on peut trouver quelque chose de magique. C'est sur une reprise d'un titre de Fleetwood Mac que je l'ai découverte (Gold dust woman)  et de fait la racine de ses morceaux est ancrée profondément dans les seventies, un blues rock classique, au sens sans surprise,orgue et guitare,  porté par une voix de rockeuse à la Janis Joplin par moment, des influences prégnantes dont aucun morceau ne se défait tout à fait, morceaux aux quels il manque la petite étincelle mélodique qui fait la différence. Parce qu'on ne demande qu'à être emporté par la fougue de son groupe, on sent qu'il y a là largement de quoi affoler les compteurs, voix, plastique et style, les ingrédients sont là pour le blietzkrieg mais on reste en rade. Allez encore une petit effort, le prochain disque sera vraiment bon. Grace_Potter.jpg
Patxi.jpg Patxi aurait participé à la Starcac il y a un paquet d'années. Je dois bien avouer que je n'avais aucun souvenir de lui. Amour carabine serait son second album. Le premier n'a pas du faire beaucoup de vagues car jamais arrivé jusqu'à ma plage, et ces oublis systématiques, cette transparence sont probablement symptomatique du cas Patxi . L'album est agréable à écouter, avec quelques chansons qui accrochent sur l'instant  - Le répétitif La vie normale, à l'évidence ou le premier single le début du siècle - mais le tout manque cruellement de personnalité et disparait dans le rétroviseur dès l'écoute terminée. La voix n'est pas plus identifiable que cela et rien ne le distingue vraiment du magma des autres ACI dotés d'un peu de talent pour trousser une chanson. Exactement comme Donoré ci-dessus, ils font partie d'une génération d'artistes, comme il y en a toujours eu, de seconds couteaux qui font le terreau de la chanson française, avec un petit cercle de fidèles, mais qui ne laisseront pas d'autres traces à la surface de notre mère musicale.
C'est un article dans Paperblog - oui j'ai de saine lecture tongue - qui m'a donner envie de découvrir les Gold Motels et leur Summer house. On y parle de chanteuse, de pop, de hits, bref tout le barda qui m'attire autant que l'ours le miel. Son groupe précédent THS (The hush sound) m'est totalement inconnu et donc vraie découverte. Sans être aussi enthousiaste que mes petits camarades, force m'est de reconnaître que l'album recèle quelques ritournelles addictives, une pop enjouée, énergique, portée principalement par le couple basse/batterie. D'inspiration très sixties, fun et tout et tout, l'ombre de Blondie plane au dessus de tout ça - We're on the run pourrait être une chute de Dreaming - et nul doute que quelques radios californiennes se délectent de titre comme Safe in L.A, le meilleur titre de l'album à mon avis. Je ne sais pas si vous vous rappelez du tube de Katerina & the waves, Walking on sunshine, c'est très exactement dans cette mouvance qu'évolue Gold Motels.  Un album que cous ré écouterez dans 15 ans avec nostalgie en repensant à ce si bel été 2010 ou vous aviez rencontré ...
 
 gold_motel.jpg
The_Like.jpg Pop encore, pop toujours avec The Like qui demande qu'on les libère. Release me est parfaitement décrit par la photo de la pochette, girls band et sixties. Harmonies vocales, orgue façon bontempi, claquements de mains, titres sous les 3',   les codes sont respectés à la lettre, manque juste de meilleures chansons. Parce que les ingrédients ne suffisent pas à faire une bonne recette, la patte du chef est cruciale, et là, je reste un peu sur ma faim. L'album est très chouette, ne nous méprenons pas, quand on aime la pop, difficile de faire la fine bouche devant un tel hommage. Mais comparez, allez, à un best of des Suprèmes, The Like ne tiennent pas la route une seconde. Un seul Baby love rend quasi inutile tout cet album , un Where did our love go  ridiculise par avance toute tentative de refaire mieux ce qui est intouchable. un album à prendre comme un hommage au temps ou on savait écrire des chansons immortelles.  
Vous me connaissez maintenant, il suffit qu'un album fasse, ne serait ce qu'allusion, aux Beatles et hop, il faut que je me l'injecte dans le conduit auditif. Junkie je suis. et donc quand un disque prend pour titre Rubber Soulive, je cours chez mon dealer pour avoir ma dose. Et quand j'y découvre que Soulive est un trio funk jazz, 100% instrumental. je sens le bad trip venir. En fait de Rubber soul, c'est une virée dans le catalogue des scarabées auquel nous sommes conviés (Something, Drive My car, Revolution, in my life, When my guitar .... ) et comment dire. Sans mettre un instant en doute les probablement extraordinaires qualités techniques des protagonistes, l'écoute de ce disque me fait penser aux compils instrumentales que l'ont trouvait sur les marchés de ma jeunesse, style Marcel Troufignon et son orchestre joue Stone et Charden. Je dois être totalement hermétique mais on est quasi dans du balloche là.De la parfaite musique d'ascenseurs, fond sonore d'aéroport, bref un truc que l'on n'écoute pas, qu'on entend à peine. Si vous cherchez des bandes sons pour mettre derrière votre diaporama de vacances pour Mamie, topez là !   Soulive.jpg
Lena.jpg Elle est allemande, et depuis Nena et son 99 luftballons, je n'ai pas souvenirs d'une teutonne qui cartonne. Et en voici une qui raffle le grand prix de l'Eurovision, Lena Mayer Landrut, en chantant en anglais certes, mais quand même. 18 ans, et toutes ses dents, j'ai donc jeté une oreille sur son album, récemment paru,  My cassette player, la chanson Satellite, avec laquelle elle a remporté le concours, n'ayant pas les attributs kitsch généralement associés à ce concours. Et bien m'en a pris. Rien d'extraordinaire non, mais une poignée de titres bien foutus, comme le titre éponyme par exemple, une production très 2010, une pop dance, mais pas trop, très jeune,  comme l'artiste. Bien entendu, ses contributions artistiques, hormis le chant,  restent anecdotiques, et donc difficile de se prononcer sur un avenir radieux, mais juste ainsi, c'est déjà une heureuse surprise.
The drums, on en parle dans les Inrocks, on en parle un peu partout, c'est l'un des groupes à la mode. Garçons bronzés, surf, plage,  toute la liturgie californienne convoquée suite à un premier EP d'inspiration Beach Boys, dont d'ailleurs deux titres ont abouti sur ce premier album qui porte leur nom. Autant briser le suspens de suite, la bande à Brian peut dormir sur ses deux oreilles, aucun risque de voir leur couronne changer de main. Pour un Let's go surfing de bonne facture histoire d'entretenir le lien et un Down by the water qui louche désespérément vers In my room sans jamais s'en approcher de plus d'un parsec, le reste est plutôt convenu, soutenu par une boite à rythme exaspérante de platitude et une guitare très Shadows dans l'esprit au moins. Leurs petites vignettes sonores ne sont pas plus excitantes que celà, figées dans les années 80. Même pas un coup d'un soir c'est dire. The-Drums.jpg
chris_isaak.jpg Et une petit live aux allures de Best of pour Monsieur Chris Isaak. Live at the Fillmore. Les chansons prennent un peu de coffre, se musclent encore un peu plus pour faire le tour en 17 titres de la carrière du bonhomme. Enregistré en 2008, le dernier album, l'excellent Mr Lucky, paru en 2009 n'est pas représenté ici mais le gars a suffisamment de bons morceaux sous la ceinture pour assurer sans difficulté, se permettant même le luxe de faire l'impasse sur Blue Hôtel (mais pas Wicked game tout de même). Le côté beau gosse crooner est mis en retrait pour souligner le rocker, c'est un live tout de même, et la guitare et la rythmique peuvent s'exprimer tout leur saoûl. Un bon résumé de sa carrière qui ne vous dispense pas de l'acquisition de Mr Lucky.
Après un premier album qui lui attira un succès d'estime et un capital sympathie certain à défaut d'un succès commercial, Ludo Pin revient avec un EP 5 titres Le temps nous dira. Benedicte Schmidtt officie toujours à la réalisation, gage au moins de qualité sonore, la canadienne Ariane Moffat, décidément omniprésente,  co-signe un titre, Il est probable que, bref les fées se sont pencheée sur le berceau, comment se présente l'enfant. ? Je doute que les 5 chansons ne change la donne. C'est toujours bien foutu, avec un peut être plus cohérent plus unitaire que dans le premier album. Mais son univers ne touche pas à l'universel, il reste très replié sur lui même, sans être nombriliste, mais l'impression, fausse peut être, qu'il fait de la musique pour lui plus que pour les autres. Il conserve l'estime et la sympathie, pas plus, pas moins. Ludo_Pin.jpg
JACK_JOHNSON.jpg Juste avant l'été sortent sans surprise les albums qui ont vocation à vous accompagner pendant les journées de farniente tant attendues. et qui mieux que le surfeur Jack Johnson pour prétendre être le guide rêvé de ces instants. Des chansons au rythme doucement chaloupé, sans une once d'agressivité, dont l'écoute seule donne la furieuse envie d'épousseter les grains de sable qui se glissent dans nos cheveux. To the sea c'est un petit peu tout cela. Bon, les 14 titres manquent un peu d'originalité et la tenace impression qu'on a déjà entendu ces titres sur les albums précédents se fait souvent jour, mais reproche t'on au soleil de produire la même lumière tous les jours ? Ce disque est donc l'exact continuation du précédent qui était lui même ...  JJ a trouvé son style, s'y cantonne, et c'est justement tout ce qu'on lui demande. Rendez-vous l'été prochain.
Leur communiqué de presse commence avec ces mots: RANDOM MEMORI est un groupe aux racines solidement plantées dans le hard rock des années 70 (Led Zeppelin, Ange…) .D'apprendre que Ange faisait du hard-rock, ça m'a fait un choc smile. Les portes du Paradis, 1er opus de ce quartet n'ont pas grand chose à voir avec Ange, et pas beaucoup plus avec la bande à Jimmy Page, le blues n'étant pas leur principale influence,  mais avec le rock, là, il n'y a pas débat. Flirtant avec le hard sans en être tout à fait, les riffs sont saignants à souhait  Les guitares, compactes , acérées, cisaillent tout ce qui bouge, et le chant en français ne plombe pas l'ambiance, fait assez rare pour être souligné dans le style choisi.  Gros son, façon américaine type Green Day, ces quatre là ne rigolent pas quand ils balancent la sauce. Même quand ils s'essaient à un morceau plus pop comme avec Ridicule, et son violoncelle, ils tirent leur épingle du jeu,  même si cette inclusion déconcerte un peu dans le déluge de décibel qui entoure le titre.  Avec des groupes de ce calibre, le rock français, quoique quincagénaire, n'a pas à s'en faire, il a encore de belles années devant lui. Random_memori.jpg
Rafiya_Amazing.jpg Rafiya est une jeune artiste congolaise qui lance son premier 8 titres Amazing. Chanté pour moitié en français moitié en anglais, la même indécision se fait jour dans ses chansons. La soul d'Amazing, ou son très joli timbre de voix couplé à des belles guitares acoustiques font mouche, est contre balancé par du R&B tout à fait ordinaire. Ainsi Mario démarre plutôt mal avant de prendre quelques couleurs africaines bienvenues, et Silent Hearts flirte avec la grande variété américaine. Rafiya possède à l'évidence un vrai talent de chanteuse et quand les compos sont à la hauteur de ses capacités, c'est le feu d'artifice, sinon, juste un bouquet d'étincelles, ce qui est déjà mieux qu'un feu de paille. J'ai l'impression que la recherche du tube à tout prix à un peu mis en retrait ses qualités intrinsèques. Trouver le répertoire qui lui collera à la peau sera probablement la clef du succès, mais sa voix sur One of those days ne laisse aucun doute, une reine est née.
Des fois je me pose des questions. Je veux dire, je reçois pas mal de demandes pour écrire quelques lignes sur tel ou tel album. Normal, je chronique des albums. Mais bon. Sucrepop.!! Sucre & Pop. Me semble clair. Je parle d'autres trucs, à l'évidence, mais globalement, ma ligne éditoriale, si tant est qu'il y en ait une, est là. et Palace Inopia. dont je reçois 4 titres extraits de l'album Arms wide open. Titre le plus court 5'. Vous me direz ce n'est pas un critère musical. Certes. Mais si un peu quand même. Qu'est ce que je peux bien en dire ? C'est entre progressive et rock Emo, soniquement tip-top, les musiciens assurent gravent, le bouillonnement énergétique est patent, ça sent la montée de lave dans la cheminée, prêt à vous péter à la figure. Mais moi, je n'écoute pas ce type de zic, pas de référence. Par exemple, ils citent en influence OCEANSIZE, A PERFECT CIRCLE, THRICE, DREDG. je ne sais même pas de qui ils parlent !!.Putain, je suis vieux. cry Sur Cold rain, le chanteur hurle à s'en déchirer les cordes vocales mais moi, c'est Where did your love go par Diana Ross et les Supremes mon kif . Voyez le grand écart ?. Bon Palace Inopia, c'est surement bien. Non, Palace Inopia c'est bien ! J'ai bon ? Palace_Inopia.jpg
Aleks_The_large.jpg Le duo Aleks The large fait dans le boucan pardon le rock aussi. En version plus demo, comprendre moins produite, plus garage quoi. Alors qu'est ce qui distingue ces Aleks là des 3 zillions de groupes, de l'Australie à la Patagonie en passant par Bamako et Kinshasa (et ma cave) qui vouent un culte à la déesse musique. Ben rien. Juste des p'tits gars qui aiment le rock , et qui donc en jouent, et fatalement, dans le tas, il y en aura qui trouveront la formule magique qui accrochera les foules, l'alchimie subtile entre un public, des compos et une attitude. A vue de nez je dirais que c'est pas gagné pour eux, l'énergie, la jeunesse, la capacité d'écrire des morceaux corrects c'est l'apanage de beaucoup de monde et All  I want, Red Carpet ou Dusty ajoutent leur pierre à l'édifice mais ne changeront pas la face de celui ci, ce n'est d'ailleurs certainement pas le but de Lionel ou Daniel. Le rock c'est avant tout une affaire de plaisir, qu'ils en prennent, qu'ils le partagent, ce sera déjà beaucoup la planète rock se nourrit de cela.  

Un petit clip sympa pour terminer, qui va vous emmener faire une ballade entre l'inde et le Népal en compagnie de Severine, Fernand et leur ukulele . Severine est comédienne, réalisatrice, son dernier coup d'éclat, c'est son hilarante parodie de Michael Jackson qui a déclenché un sacré buzz sur la toile, Fernand peaufine son nouvel album Ode to William Blake prévu pour la rentrée Les deux font de temps à autres de grands voyages, ils ont tiré de leur dernier un clip basé sur une cover de  Don't worry be happy de Booby Mc Ferrin ou ils démontrent que la musique et le ukulele en particulier sont utiles pour rapprocher les hommes. Leur site pour en découvrir plus sur eux http://www.lezarts.info/


Rendez vous le 1er août pour la suite des aventures de Sucrepop, Si vous souhaitez quelques lignes dans ces colonnes pour la sortie d'un album/EP ... il suffit de demander via le menu contact. Bonne vacances et à suivre ...

PS: Merci à tous les musiciens, internautes et autres surfeurs curieux, nos échanges me sont précieux .
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Date de création : 27/06/2010 @ 12:14
Dernière modification : 24/07/2010 @ 10:24
Catégorie : - Editoriaux-2010
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