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Septembre 2010 - PeurAvis aux artistes le 1er octobre cette page basculera de la page d'accueil à cette adresse (actuellement inactive) |
Après la collection de chansons limites dépressives de ces derniers mois
, je me suis dis que pour doper la rentrée un titre plus enjouée, voir dansant serait le bienvenu. Un Abba like quoi. Mais chassez le naturel il revient au galop, si la musique est de fait nettement plus enlevée, côté texte, le but n'est pas vraiment atteint, puisque c'est un catalogue de nos différentes angoisses auquel que je me suis livré . Donc en ce mois de septembre, Sucrepop vous fait Peur.
Pas mal de difficulté pour mettre en place la chose, les limites de mon ordi ayant été largement atteinte concomitante à un délai plus court du fait des congés font que le résultat n'est pas celui que j'espérais. Ceci dit, il n'est jamais à la hauteur de ce qui était prévu, je ne suis définitivement pas fait pour enregistrer des chansons ni les orchestrer; déjà les écrire ... . Julie est bien entendu aux commandes vocales, le reste du boucan étant mis en oeuvre par votre serviteur. Repos complet sur le front du ukulele, vacances obligent et hormis la version grille d'accord du titre du mois, sur cette page pas de nouveautés, reprises des hostilités le mois prochain. Très peu de d'albums reçus du côté de l'autoproduction, d'ou la part de plus en plus importante que prend la production commerciale "officielle" dans ces pages, ce n'est pas un choix éditorial, simplement le constat que moins de groupes me contactent pour que je parle un peu d'eux. Qu'importe l'aventure continue...
et bon anniversaire à ma maman
Quand Brian Wilson sort un album, il est disque du mois. Non négociable. Ceci posé, reste que les dernières livraisons du maître des voix manquaient un peu de souffle et d'inspiration. Qu'à cela ne tienne, le père Brian abandonne momentanément l'écriture pour se pencher sur l'orchestration, la ré-orchestration devrais-je écrire, d'un géant de la musique contemporaine américaine, Georges Gershwin. D'ou Brian Wilson reimagines Gerswhin,. Au menu les plus grands succès du new-yorkais revisité par le californien. et donc, Summertime, I've got a crush on you, I love you Porgy ... En bonus deux inédits, des titres inachevés par Georges et finalisés par Brian. le premier The Like In I Love You est le meilleur titre des Beach Boys depuis Good vibrations, des harmonies vocales à tomber, une mélodie divine, plus qu'une réussite. Le reste de l'album est du même tonneau. L'ensemble porte franchement la patte de l'homme de l'Ouest, et des morceaux comme They can't take that away from me ou l'instrumental I Got Plenty O' Nuttin' figureraient en bonne place sur Pets sounds. Pas un seul déchet, du grand art, Brian n'a pas perdu ni la main ni la voix, et cela fait plaisir à entendre. Indispensable. | ![]() |
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Une excellente nouvelle est la reformation du groupe Azure Ray, duo de dream pop qui fait parti de mes chouchous. Depuis Hodd on love en 2003, Maria Taylor et Orenda Fink la jouaient solo, sans grand succès il faut bien le dire. En prélude à un album annoncé pour mi septembre, Drawing down the moon, dont évidemment je reparlerais, un EP 3 titres, Don't leave my mind. On y retrouve tout ce qui fait le charme d'Azure Ray, des mélodies cotonneuses, câlines, des voix portées par un souffle, qui murmurent à votre oreille tout la tendresse du monde. L'analogie la plus proche de leur musique qui me vient à l'esprit, pour ceux qui n'ont pas encore eu la chance de la découvrir, est un celle d'un carré de chocolat au lait vous fondant doucement dans la bouche. Alors bien sur, tempérament énervé, passez votre chemin, tout n'est ici que luxe calme et volupté comme dirait Charles. Vivement l'album. |
Un tribute consacré à Electric Light Orchestra, je ne pouvais pas passer à côté. 12 titres regroupé sous le nom Scattered Light par des groupes fans originaires de 5 pays - USA - Grande Bretagne - Allemagne Australie et Hollande - qui, à partir d'une idée lancée sur un forum consacré à ELO il y a quatre ans, ont finalement mené au bout le projet. Le tout se double d'une bonne action puisque la totalité des gains générés par la vente de cet album (non dispo sous forme numérique à l'heure ou j'écris) iront à deux oeuvres caritatives la Material World Foundation et le Birmingham Children's Hospital. 3 grands classiques du groupe, Can't get it out of my head, Strange Magic et l'inévitable Mr Blue sky et , heureuse surprise, des titres moins connus, dans des versions tout aussi heureusement sensiblement différentes des originales. Un regret que la France et l'Espagne ne soient pas représentées puisque que Pablo Julie et moi même avions réalisé en janvier notre contribution avec Midnight Blue. Mais nous n'étions pas informé de ce projet alors. |
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Two times late est un très jeune groupe composé de très jeunes gens. Portant haut la bannière du rock, ils compensent une évidente et naturelle immaturité par une belle énergie et une envie palpable. c'est un peu brouillon (la qualité maquette y est pour beaucoup, certains titres du myspace sont même vraiment limite) mais qu'ils mettent la gomme comme sur Rock the paint out, choisissent de se faire une ballade façons Stones - A shaggy dog story - ou prennent l'option pop - My Pearl - ils font montrent d'une belle vitalité. Probablement encore un peu vert pour impressionner, ils sont sur le long chemin tant de fois parcouru de l'apprentissage rock & rollesque, reste à leur souhaiter de continuer à prendre du plaisir, le meilleur moyen d'en donner . |
Etre un groupe danois, choisir de s'appeler Cours lapin, avoir une chanteuse chantant en français avec un accent charmant, intituler une chanson Le Son d'un Escargot, ou Cache Cache, doter son premier album éponyme d'une photo qui ne révèle rien d'eux, autant de raisons de m'attirer plus surement que le miel un ours. Ce quatuor est parait il composé de compositeurs de musique de films déjà reconnus. L'album est tout aussi délicieusement surprenant et décalé que l'on pouvait le supposer. Une feinte naïveté entoure toute la production, un son, parfois minimaliste, aux lointains accents jazzy, des textes étranges, on pense parfois au Stranglers (Ma mélodie) ou à rien de connu, Cours lapin est vraiment un cas à part irrésistiblement attirant. | ![]() |
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Adolescent dans les années 80, amateur de rock, difficile de passer à côté d'eux. que 30 ans plus tard, ils soient toujours au rendez-vous avec une musique qui finalement n'a pas tant évolué que cela est déja remarquable, que le succès persiste à être au rendez-vous l'est encore plus. Iron Maiden nous revient donc avec son 15ème album, The final frontier. De l'habituelle dessin de couverture avec Eddie s'amusant de charmante façon au contenu de la galette bourrée de riffs lourds et de soli incandescents jusqu'à plus soif la panoplie du hard rocker des eighties est au complet. Un zeste de progressive - morceaux relativement long et complexes - pour deux volumes de Hard pur, la recette est connue et toujours aussi efficace. El Dorado le premier single ![]() |
Plus attendu que les canadiens d'Arcade Fire, difficile. Un succès critique & commercial, et une côte d'enfer. Bon, l'engouement médiatique les entourant m'a paru, comme la plupart du temps dans ce cas là, sans commune mesure avec les qualités, certes réelles, du groupe. The suburbs, 3ème du nom donc, me conforte dans mon opinion. Un disque plutôt bien foutu dans l'ensemble, quoiqu'un peu long à mon goût - 16 titres, pour un peu plus d'une heure de zic - probablement le plus immédiatement accessible de la trilogie, ce que l'on ne manquera pas de leur reprocher, le plus pop en somme, avec un titre lorgant même fortement sur le Heart of glass de Blondie Sprawl II (Mountains Beyond Mountains). Ils n'ont jamais été aussi rock, quasi punk, que sur Month of may, aussi proche de Lennon que sur Deep blue, exit l'emphase parfois pesante, la légèreté du titre éponyme ouvrant le disque donne le ton, un vrai bon disque de rock intelligent sans prétention. Une belle réussite, même si le manque de titres vraiment marquants est son point faible. | ![]() |
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Annaïck est la guitariste chanteuse du groupe qui porte son nom. Bien que frôlant les 10 ans d'âge si j'en crois leur biographie, pas trace d'un album sur leur site. Restons Pop étant leur credo, j'ai farfouillé un peu sur leur site pour voir un peu de quoi il en retournait. Quelques vidéos live au son youtubesque, si vous voyez ce que je veux dire ![]() |
C'est le couverture de l'album, façon Mamas & Papas qui m'a d'abord titillée la rétine, et donc fatalement ensuite, le conduit auditif. Ils sont 4, suédois, deux filles deux gars (ça vous rappelle quelque chose ?). se nomment les Lovestoned et proposent une musique assez éloignée des froidures habituellement associées à leurs pays. Le premier single, Rising girl, flirte outrageusement avec le reggae, idem pour I know nothing. ils semblent tous chanter lead à tour de rôle, un poil déroutant pour l'unicité de l'album. D'autres morceaux, tirent plus vers la pop (Always on the run, ma préférée). L'influence d'Ace of base est très perceptible, quoique leur musique soit moins ouvertement dance. Quoiqu'il en soit le disque s'écoute agréablement, les mélodies sont accrocheuses et si rien ici ne respire le génie, c'est bien foutu et c'est tout ce l'on demande. A noter une honnête reprise de Somewhere over the rainbow/ What a wonderful world, scie ukulelesque bien connue. | ![]() |
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Après le carton plein de son 1er album sous le non de Katy Perry (inclus le fantastique I kissed a girl), la voici de retour avec Teenage dream qui va probablement faire un même tabac. California gurls montre le chemin, pop disco enjouée, chantilly à tous les étages, le tout jusqu'à l'écoeurement. Le générique des producteurs, long comme le bras inclus tout ce qui compte aujourd'hui aux US catégorie pop pour adolescente. Ce disque n'est pas un album aux prétentions artistique, mais clairement commercial. Un pur produit marketting, efficace il va de soi, ou le but est de raffler le jackpott. Comme les gens derrière tout ceci ne sont pas des manches, ça devrait le faire, il y a assez de hits radio ici pour tenir jusqu'à l'année prochaine, même si aucun ne restera dans les mémoires, cela suffit pour alimenter la cash machine et c'est tout ce qui est demandé. |
The Secret Handshake est l'avatar choisi par Luis Dubuc, américain, pour véhiculer sa musique. Night & day, son nouvel album est une curiosité pour plusieurs raisons. Tout d'abord, alors que sa musique était à ce jour dans la mouvance électronique, le voici opérant un virage important puisque la soul, et Motown plus particulièrement est en ligne de mire de la partie Day,la version Night proposant un remix electro de 8 titres de la version Day, histoire de ne pas complètement décontenancer ses fans de la première heures. Là ou il opérait seul auparavant , assurant toutes les parties, il a cette fois eu recours à nombre de musiciens extérieurs. Résultat, un album pas si black que cela, et qui me fait surtout penser à un bel album d'Elvis Costello, Punch the clock. L'utilisation des cuivres, le timbre de voix même parfois le phrasé des chansons m'évoque une parenté peut être fortuite mais indéniable. C'est dans cette nouvelle mouvance en tout cas que je le préfère. | ![]() |
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Papy fait de la résistance. 73 ans aux fraises, Leonard Cohen, qui espérait légitiment profiter d'une retraite bien méritée, c'est fait escroquer par son manager - une tradition bien ancrée dans le milieu du rock - et voilà notre canadien obligé de reprendre son balluchon pour compenser le manque à gagner. Mise en place d'une tournée avec un prix des places frôlant le prohibitif, succès et évidement dans la foulée, album live, Song From the road le bien nommé. On y retrouve les plus grandes chansons du Léonard, Le partisan, Suzanne, Chelsea hotel et bien entendu Allelujah, sorti des limbes par Jeff Buckley. Voix bien campée dans les graves, un orgue Hammond, quelques choristes, une rythmique discrète, et emballé c'est pesé. L'avouerais - je ? Bien que peu fan de la musique du bonhomme, je dois bien avouer que ce disque est séduisant et que de multiples écoutes ne font naitre aucune lassitude. A en souhaiter qu'il continue à avoir besoin d'argent. |
Un petit mail me signalant l'existence d'un duo wordl/jazz, Lina and ... Je cours y butiner. Le site web est minimaliste et renvoi sur un myspace qui présente des chansons originales et un vers le duo Lina et Zan Zao, reprises de standards jazz version dépouillée - guitare voix - Leur version du classique de Nancy Sinatra Bang bang par exemple, est un petit bijou de délicatesse. Leurs compos sont légèrement plus étoffées, côté orchestration, tout en restant dans l'épure. La voix de la demoiselle Lina est ce qui fait tout le sel de ces chansons, tout en charme et en retenue, elle m'évoque, de loin en loin Eddie Reader (Remember Fairground Attraction ?). Reste à savoir si Lina and friends tiendront sur la longueur d'un album, un peu de patience nous permettra certainement de répondre à cette question. | ![]() |
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Après avoir annoncé un second album, Beneath it all se révèle être un EP 6 titres. Hey Monday, toujours drivé par Cassadee Pope a cette fois décidé d'inverser la recette d'Hold on tight et plutôt que de mettre un filet de pop dans leur punk rock, de privilégié la facette plus commerciale, ce qui n'est pas pour me déplaire. Les guitares continuent de raser de près mais le foutoir est nettement plus organisé. Certains regretteront l'énergie brute et juvénile, mais l'accentuation du côté power pop leur colle parfaitement au teint, et Wish you were here ou leur 1er single I don't wanna dance ont leur juste quota de fun et pourraient leur ouvrir plsu grande encore les portes de quelques radios bien intentionnées. |
Les 4 gus de Stereo Skyline sont présentés comme un groupe de powerpop. Stuck on repeat est leur premier album après 2 EP et d'incessant changement de personnel. A voir les photos des boys, ont pense plutôt à un boys band qu'à un groupe de rock. Mais il faut bien reconnaître à leurs chansons un charme certain. On est un peu loin de Dwight Twilley ou des Posies, mais A little more of us ou Hearbeat ont largement le potentiel radiophonique pour accrocher le haut des charts, et avec leurs belles gueules de petites frappes, les petites filles qui, comme on le sait, font et défont les succès, devraient en faire au moins un groupe à la mode le temps d'une saison. | ![]() |
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Lorsque sorti en 1984 le premier album de Lloyd cole & the commotions, Rattlesnake, succès critique et commercial ç la clef, on pouvait légitimement pensé que le bonhomme allait compter dans les années suivantes, à la manière d'un Costello par exemple. 25 ans ans et une douzaine d'albums plus tard, avec la sortie de cet album autoproduit, Broken record, force est de constater que le côté confidentiel à pris largement le pas. La quasi totalité de sa carrière solo m'a échappé, donc je n'y ferais pas de référence. Broken record a un code génétique chargé de country, discrète mais présente. banjo, mandoline, pedal steel, répondent présent à l'appel. Si le premier titre, Like a broken record, peut laisser croire à un disque nostalgique, voir triste, quelques morceaux plus enlevés contrebalance cette impression. Un album de la maturité, serein et détaché des contingences commerciales. Un beau disque. |
Un album live des Who en 2010, pourquoi pas, les deux membres survivants écumant toujours les salles avec, paraît-il, une belle vitalité. Perdu, ce double live est composé de classiques du groupe datant pour la première moitié de la période ou Keith Moon était encore de ce monde et pour la seconde pousse jusqu'à la dernière prestation avec John Entwistle - 2002 - et même in peu plus loin. On y retrouve la plupart des grands classique du groupe, de My generation à Who are you pour la période la plus productive. La plupart de ces versions live n'étaient disponible jusqu'à ce jour que via le fan club du groupe moyennant abonnement. Ce disque n"apporte ni n'enlève rien à la gloire du groupe, juste le plaisir de réécouter quelques pépites et d'éviter que le groupe ne sombre trop vite dans l'oubli, une leçon de rock à l'usage des jeunes générations. | ![]() |
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Intituler un album Sugarpills ne peut que titiller la curiosité d'un Sucrepop. Ce sont les Neo zélandais de Kids of 88 qui se retrouve donc dans la ligne de mire de mon Ipod. Duo electropop, ce premier album contient leurs 3 premiers singles, My House a fait un carton dans leur pays natal et il faut bien reconnaître qu'il est accrocheur quoique peu policé. Just alittle bit à le même potentiel et les pistes de danse peuvent se préparer à souffrir le disque est chargé de dynamite. Le nouveau Downtown me botte moins, Everybody knows tirerait mieux son épingle du jeu. Le tout n'est pas très inventif, et , à vrai dire, sur la longueur d'un album 10 titres ,je décroche en cours de route, mais sur une compil, un titre par ci par là, ça devrait faire l'affaire. |
100 Miles from Memphis le nouveau Sheryl Crow est marqué du sceau de la soul, ses premières amours. Deux reprises, I want you back des Jackson Five, clin d'oeil à Michael pour qui elle travailla comme choriste et une chouette version de Sign your name de Terence Trent d'Arby. ajoutez y un petit reggae avec en guest star rien moins que Keith Richards et un premier single enjoué, Summer loveh et vous tenez là une honnête petite galette. Rock pop et country sont rangés au placard le temps de ce disque et ma foi, cette mini révolution ne lui va pas si mal au teint. |
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Je reçois un mail de la chaîne youtube de Chewwinggum annonçant la mise en ligne d'un nouveau titre. La belle sait se faire rare, et je m'en vais écouter son choix, une reprise de Lady Antebellum, I need you now. Je ne connais ni le titre ni le groupe, mais sa version m'accroche fort, j'enquête donc, trouve l'album dont est issu ce titre, paru au début de l'année au USA et sorti récemment ici, et coup de foudre. Ce I need you now, chanté en duo est pur sucre, le type de ballade à l'américaine qui colle la chair de poule. Une mélodie imparable, un hit d'enfer, le slow de l'été si le mien n'était pas déjà fini. Hormis cela, le trio fait plutôt dans la country et le reste du disque, quoique fort honorable n'atteint jamais ce sommet. Un peu à la manière de Cock Robin ils sont deux à se partager les vocaux, et les autres titres mettent en valeur leurs qualités d'interprètes, le carton US est probablement en passe d'être réalisé ici. |
Rue d'la Flemme - Diane Tell - VF Boris Vian from Diane Tell on Vimeo.
Rendez vous le 1er octobre pour la suite des aventures de Sucrepop, Si vous souhaitez quelques lignes dans ces colonnes pour la sortie d'un album/EP ... il suffit de demander via le menu contact. Bonne vacances et à suivre ...
PS: Merci à tous les musiciens, internautes et autres surfeurs curieux, nos échanges me sont précieux .
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