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Et tout ce bruit, il est fait avec quoi ?
Fin décembre 2006, une mise à jour s'imposait voici donc l'actuel matériel que j'utilise au quotidien pour tenter de vous enchanter les tympans.
Plus bas, le musée, les différents claviers qui constituèrent au fil tu temps le son des différents incarnations de Sucrepop et que vous retrouverez dans les plus anciens enregistrements.
Côté hardware, voici ce qui fait tourner actuellement (janvier 2007) le studio Sucrepop
Le coeur du sytème est informatique, évidemment. J'ai quitté mon vieux Pentium III en avril 2006
le nouveau est un AMD athlon 4200 double coeur- 1Go de ram - DD de 160Go. Ecran plat 17 pouces.
Côté son, le moteur est ma toute nouvelle acquisition le Line6 Toneport KB37.
Combinant rack d'effets, table de mixage puisque doté d'entrées micro guitare et basse et possédant un petit clavier, le tout dans un espace réduit, il répondait parfaitement à mon cahier des charges. Reste à voir maintenant ce que je vais pouvoir en tirer.
Comme il m'arrive parfois d'enregistrer le chant un micro Rode NT1
Mon plus gros défi. Cet excellent micro face à mes faibles compétences est un combat permanent pour arriver à enregistrer quelquechose de décent. Il est conseillé de ne pas être placé trop près d'un mur, allez essayer dans 4m².. Il capte le moindre pêt de mouche.
En écoute je travaille soit, le plus souvent au casque (un senheiser HD457) , soit sur des Fostex PM0.4, récemment arrivée et ça, ça change tout. Une écoute décente était probablement ce qui me faisait le plus défaut.
J'espère arriver à mixer un peu mieux avec.
Malgré tout, ce matériel allié à une incompétence complète en matière de traitement sonore, explique en grande partie mon incapacité à sonner autrement que comme une maquette des années 80 .
Pas nécessairement dans l'orde d'acquisition, que je ne me rapelle plus, mais tous choisis précautionneusement.
Pour ouvrir le bal, le légendaire DX7 de Yamaha
Impossible d'écouter de la musique des années 80 sans tomber sur les sons caractéristiques de ce synthé. Indispensable à l'époque, sa version virtuelle de chez Native est une belle réussite.
Le prophet 600 a longtemps été le fleuron de mon studio. Je me demande même encore pourquoi je l'ai vendu
Premier synthé doté de la technologie midi qui allait révolutionner la façon de faire de la musique, petite frère du Prophet V, un son bien à lui, très typé le vrai analogique. Nostalgie ou pas, je ne retrouve pas le son dans son équivalent logiciel.
Le casio CZ1 est resté longtemps mon clavier maître.
Il n'est pas rentré dans la grande histoire mais je reste persuadé que ce synthé était largement supérieur au DX7. Des sons assez diversifiés, plus pres de la synthèse FM que de l'analogique.
Ce sont les 3 seuls claviers que j'ai possédé, si on omet l'orgue sur lequel j'ai fais mes premiers pas de compositeurs dont je ne me rappelle pas la marque. mais je trouverais
Côté expander, pour agrandir ma palette sonore j'avais investi dans le Roland MKS 80.
Gros son analogique, la patate. Pourtant je n'en ai jamais tiré ce qu'il en était possible, je pense qu'il ne collait guère à mon style de musique.
Je n'avais revendu mon DX7 que pour me doter du Tx802
même technologie mais multitimbral, même si sa polyphonie était assez réduite. Pour quelqu'un jouant avec deux doigs comme moi, c'était l'idéal.
Couplé avec le Yamaha Fb01
dont, dans mes souvenirs, je ne me servais que pour assurer les sons de cocotte !!!
Côté batterie, avant de n'utiliser que le son midi de mon ordi, 3 boîtes à rythme défilèrent.
la célebrissime Tr 808
J'adorais sont son, son ergonomie, à l'aise avec, la revendre fut une erreur.
La drumtracks était pourtant une bonne machine, moins ludique, masi avec une diversité sonore plus importante
Nombre de mes titres furent pulser par elle.
Ma dernière BAR fut une yamaha, la RX5
Un son plus claquant plus aigu, plus "japonais". Je lai plus utilisé en tant qu'expandeur, piloté par mon atari 1400 qu'en programmation directe.
Voilà pour ce tour du propriétaire, j'ajouterais d'éventuels oublis dès que ma mémoire défaillante se réveillera.
J'ai basculé au tout informatique depuis un bail maintenant, sans regret pour le côté pratique et parce que je ne faisais et ne fait toujours pas de scène. Mais parfois, la nostalgie me reprend
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