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Sucrepop - Paul Mc Cartney - Memory Almost Full
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Lucy, Racquel and me

Le nouvel album est en écoute et téléchargement gratuit ici.

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Memory J’y ai cru.
Franchement, j’y ai cru.
En partie parce que je souhaitais le croire, évidement, comme souvent, mais aussi parce que les prémices laissaient augurer un grand cru.

Donc, juste avant ces 65 ans, Sir Paul Mc Cartney se fend d’un nouvel album, le 21ème si je ne m’abuse, à peine 2 ans depuis le précédent, Chaos …, encensé par la critique, échec commercial et que personnellement j’avais trouvé mou et peu intéressant. Le nouvel album, Memory Almost Full, est en réalité composé pour bonne part de titres enregistrés avant Chaos. De la à dire que ce sont les laissés pour compte qui réapparaissent aujourd’hui …

Mais ne boudons pas notre plaisir, en route pour une visite commentée, à défaut d’être guidée, des 13 chansons composant l’album.
A titre indicatif, pour apprécier chaque nouveau titre de Mc Cartney, je me demande si celui ci pourrait figurer dan un futur best-of. Amoureux de mélodies et de titres au potentiel tubesques, à défaut d’en être, ce que j’attends d’un auteur compositeur de ce calibre, à tort ou à raison, c’est qu’il soit à la hauteur de ce qu’il fut, l’époque bénie des Wings par exemple, ou ses disques étaient truffés de hits mémorables et ou la quasi-totalité des titres aurait pu faire un single sans rougir.
Ce n’est probablement pas le point de vue que lui-même a sur sa production, mais c’est l’attente qui est la mienne et l’éclairage sous lequel je juge ce disque (et les autres que je chronique).

L’album s’ouvre sur le second titre à avoir été diffusé et le 1er single, Dance tonight. Basé sur une tournerie à la mandoline, qui confère un son original à l’ensemble, c’est un titre qui accroche bien, rien d’exceptionnel, mais qui fait correctement son office d’attrape tympan. Le clip, réalisé par Michael Gondry, vaut plus par sa technologie que par son scénario. Un reproche que ses détracteurs ne manqueront pas de faire, le texte est d’une rare nullité, personne, en français, n’oserait signer de telles paroles. Mais un chouette titre.

Second titre mais premier diffusé, faut suivre, Ever present past.
P… ! Un vrai hit, un machin qui pourrait marcher ! Depuis combien de temps le Macca ne nous avait il gratifié d’un single qui en soit réellement un ? D’un truc qu’on se surprend à fredonner impromptuement dans la journée, d’un truc qui aurait pu faire un 45t (remember ?).
C’est pop, ça balance, les trompettes de Baby you’re a rich man sont convoquées, en moins de 6 minutes et en deux titres, il explose les compteurs. Aurait on affaire à un Mc Cartney inspiré ?

See your sunshine. Déjà le 3ème, le temps passe vite quand on aime. Une ligne de basse inspirée qui porte clairement sa patte, des chœurs, je ne raffole pas de ce titre, qui n’amène pas grand-chose, mais ne retire rien non plus ;o)
Pas du mauvais Paul, pas du grand non plus, allez, suivante.

MemoryOnly Mama knows. Une intro de cordes (que l’on retrouvera en outro) très Eleanor Rigby, clin d’œil à Georges Martin ? intro qui laisse place à un rock de facture classique, qui aurait pu trouver sa place sur back to the Egg, ou il nous démontre que côté voix, en studio du moins, il assure toujours grave. Totalement dispensable, mais nette progression par rapport à Chaos qui manquait cruellement d’énergie. Là on sent la vie, ça pulse, ça remue. Pas un hit pas une daube bon plus.

You tell me. Une ballade, la première. Aux premières écoutes, je n’accrochais guère. En m’imprégnant plus de l’album, elle a finalement son charme. C’est du classique Mc Cartney, comme on en trouve sur la plupart de ses disques. Il manque le petit truc magique qui ferait décoller l’ensemble mais ça le fait bien tout de même.

Mister Bellamy. Un titre étonnant. Comme une juxtaposition de petits bouts de mélodie, d’inspiration 10CC je trouve. En tout cas, une belle réussite, ou il parvient à surprendre. Bizarrement, au deux tiers du titre, alors que l’on vient à peine de se faire hameçonner de la plus belle manière, il termine sur une partie instrumentale trop longue à mon goût (quoique le titre au total ne dépasse pas 3’40’’). Bref un parfum d’inachevé ici, un coïtus interromptus musical.

Gratitude. Pour ma part, un faux pas. Un texte aussi insipide que possible, pour une musique inintéressante également. En bonus oui, au milieu d’un l’album, non. Rien à sauver, une chute de Chaos ? ;o)

Vintage clothes. Un truc qui part bien, un couplet bien tourné qui abouti sur un refrain décalé, j’attends que le morceau décolle, et bien non. Et malgré tout, un charme certain se dégage de ce titre. Plusieurs ruptures de rythme qui donne une certaine richesse au morceau qui bascule dans

That was me. Parce que j’ai oublié de le préciser, M emory Almost Full était annoncé comprenant une suite à la Abbey Road, enchaînant 5 titres. That was me et sa basse omniprésente en sont donc la seconde partie. La transition se fait en douceur, on change là totalement d’atmosphère, du Mc Cartney millésimé, entre rock et pop, un titre qui porte sa marque de fabrique, qui me fait penser à RAM.. et l’on glisse dans

Feet in the clouds. Bon, un truc un peu folk, avec une basse toujours aussi lumineuse. Je ne suis pas fan, un beau travail sur les harmonies vocales dans le pont, un peu de clavecin, allez celui là je le placerais période Hope of deliverance
Memory
House of Wax. Sur celui là je sauve la voix et le formidable solo de guitare. C’est le titre le plus long de l’album, 5’00, et le temps se traîne. Pas de surprise dans la production d’un tel titre, il est coutumier du fait, et je n’accroche jamais. Bon, à la dixième écoute, je ne le zappe pas encore, ce qui est un signe, mais pas pour moi.

End of the End. Le moment fort de l’album. Le moment émotion aussi. Où il évoque clairement sa propre mort, et donne les consignes sur la conduite à tenir ;o) un peu comme Partit avant les miens de Daniel Balavoine. Accord de piano et cordes, mélodie dont il a le secret, pourquoi donc a t’il fallu qu’il se lance dans un solo sifflé ? Moi, j’entends mélodie sifflotée, et je pense à Jealous Guy de l’autre géant, et là, il n’y a pas photo, Paul ne sait pas siffler ;o) Ca reste une belle chanson qui aurait joliment clôturé ce disque.

C’était sans compter sans l’abominable Nod Your head, fatal treizième titre. D’un autre côté, on en prend seulement pour 1’55. Limite pour une face B, à l’époque ou elles existaient encore, si l’on excepte la voix de Paul ou il démontre qu’il sait encore s’arracher, elle ne vaut pas tripette.

Alors finalement cet album ? Une heureuse surprise, même si les promesses annoncées par Ever present past n’ont pas été tenu. Indéniablement son meilleur album depuis des lustres, il reste loin néanmoins des standards qu’il a lui-même établi. Mais à 65 ans, après quasi 50 ans de chansons composées, je souhaite à la concurrence de faire aussi bien. La voix est toujours aussi souple et expressive, les lignes de basses absolument somptueuses (qui compose de telles lignes sur de la pop ?) et l’énergie semble être revenue, fini la guimauve mollassonne (c’est moi qui écrit ça ??) de ses précédents opus Almost Full, certes, mais pas totally.

Le clip de Dance Tonight



La track list

  1. Dance Tonight
  2. Ever Present Past
  3. See Your Sunshine
  4. Only Mama Knows
  5. You Tell Me
  6. Mister Bellamy
  7. Gratitude
  8. Vintage Clothes
  9. That Was Me
  10. Feet In The Clouds
  11. House Of Wax
  12. End of the End
  13. Nod Your Head

Date de création : 07/07/2007 @ 13:06
Dernière modification : 14/06/2008 @ 18:55
Catégorie : - Chroniques CD-C
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