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Sucrepop - Borla Michel
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Michel Borla

 

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Michel Borla, je ne sais plus trop si c'est lui qui m'a contacté ou si c'est moi qui suit tombé sur son site. Peu importe.
Ce dont je me souviens bien c'est que sa page biographie m'a plu. Le fond, la forme, du style, bref, ce n'est pas courant pour moi mais c'est sa prose qui m'a donné d'écouter la petite musique qui tourne derrière.
Même génération, donc influences communes je suppose, même si l'itinéraire qu'il trace est loin du mien, les groupes qu'il cite pas dans mon panthéon.

J'en fait donc une des mes news habituelles sur ma mensuelle, avec le titre Tuer le temps, qui est le titre de son album mais également un excellent morceau tout court.
Gentillement, il me propose de m'envoyer son album.

MichelBorla.jpg
C'est ce qui nous différencie, il a fait le pas de se faire son album, de s'offrir se grand plaisir.

L'album s'ouvre sur un arpège de guitares, après tout, c'est un peu de la faute de cet instrument si nous en sommes tous là.

Un timbre de voix un peu haut, celle ci doublée le plus souvent par une voix féminine, les influences avouées, CNSY, les Stones le folk teinté d'électricité ne sont pas si prégnantes, le côté produit à la maison n'est pas perceptible, ca sonne bien, calme et serein.

Je m'attendais à plus d'harmonies vocales, à un côté plus Eagles, America, Firefall alors que c'est l'atmosphère Cabrel qu'évoque plutot Michel.

Les compos sont racées, mélodiques, les orchestrations collent au sujet, les textes n'en sont pas pour autant négligés, petites histoires plutôt mélancoliques.

Au final, un album sans rien de révolutionaire, mais fait avec un plaisir communicatif, un album d'artisan, qui travaille par amour du métier, l'amateur au sens noble et premier du terme et qui nous livre 11 titres pour tuer le temps et qui y parviennent sans nous ennuyer une seconde.


pochetteBorla.jpg

 

  1. toutes tes villes
  2. invincible
  3. tuer le temps
  4. Cape Cod
  5. Sidonie dit
  6. je pars
  7. jour après jour
  8. quand tu n'es pas là
  9. solide et solitaire
  10. les belles images
  11. une chambre à soi

 


Date de création : 19/08/2007 @ 16:26
Dernière modification : 14/06/2008 @ 18:52
Catégorie : Notes de musique - Chroniques CD-B
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Réactions à cet article

Réaction n°2 

par inuksuk le 29/09/2009 @ 13:24
réaction coupée... on continue ! "Je ne commenterai pas son jeu à la guitare, ni son talent pour ruser, en soufflant dans l’appareil d’or------thodontie qu’il s’est accroché autour du cou. Ainsi que je l’ai écrit précédemment, je n’ai pas les compétences pour - et pardon d’avoir fait une tentative un peu plus haut. Mais je radoterai avec plaisir : le charme de cette musique et de ces textes continue à fonctionner. Alors, que l’on ait ou non consommé un dessert sucré recouvert de chantilly, on sort de table, et de ce lieu, avec beaucoup de douceur dans le cœur."  Cathie Fidler – le 26 septembre 2009.  

Réaction n°1 

par inuksuk le 29/09/2009 @ 13:20
À boire, à manger… Et à écouter                                                                                                                                     Cette fois-ci le cadre choisi par Michel Borla et ses musiciens, Primo Francoia et Antoine Hansberger, pour leur concert de septembre a été plus que convivial. La Trinquette, sur la Darse de Villefranche, est un de ces endroits où l’on sent résonner et tinter autre chose que les euros. On y entre en passant par un coin salon, décoré ce soir-là de toiles aux formes et couleurs africaines chaleureuses ; puis on aperçoit un petit espace lecture, envahi de livres - autant de nourritures spirituelles qui vous mettent en appétit, avant le stade suivant : la découverte de la salle à manger. On se demande tout de même en arrivant s’il s’agit d’un lieu privé ou d’une cantine : des tables familiales attendent des convives venus en bandes organisées. D’un côté des profs d’anglais, de l’autre des profs d’EPS. (C’est tout ce que j’ai retenu, les autres étant naturellement des pièces rapportées, ou pire, leur descendance !) – mais en fait, il s’agit d’un restaurant - ouvert à tous, donc ! Le climat est créé avec un savoir faire parfait. D’abord laisser à chacun le temps d’arriver, de s’installer, d’échanger nouvelles et potins, et surtout, de commander de quoi se sustenter. La carte est variée et attirante et le choix difficile. J’en ai même vu un se trouver si désemparé qu’il en a oublié de commander son entrée. À moins que ce ne soit la responsabilité du choix du vin qui ne l’ait perturbé ? La patience des hôtes est remarquable. Ils sont imperturbables face au rythme lent d’une soirée qui se met en place de façon bien peu traditionnelle. Ils s’activent calmement, ils renseignent en souriant, et prennent les commandes avant de s’éclipser tout près dans la cuisine que l’on voit depuis la salle.   Ensuite les musiciens savent donner à chacun cette sensation si agréable du plaisir des retrouvailles. Quand on voit la froideur de tant de réunions, l’accueil si impersonnel de certains, on se réjouit de se savoir, et de se voir, bienvenu. Bon, je vous l’accorde, on ne va pas jeter les « clients », mais là, il y a autre chose qu’une caisse enregistreuse.   Une fois les verres remplis et vidés, « la trinquette » achevée, (et tant pis si c’est une voile, je ne résiste pas à l’allusion !) les premiers plats appréciés, enfin rassasiés on est disponible pour ce qui nous a amenés là pour commencer.   Vouiiii !!!! Michel Borla, il va chanter !  Nouveau sur le podium, à l’accompagner à la guitare électrique, à la mandoline, et au banjo (mon instrument favori) : Antoine Hansberger. Un médiator entre les dents, un anneau dans l’oreille, une allure de gentil camionneur, il illumine les mélodies de ses sonorités métalliques, jouant presto avec l’ombre et la lumière. Le reflet d’un lampion, derrière lui, fait écho à celui qui est sur la mer, dans la chanson ; et ses doigts, légers sur les cordes, sont précis comme des scalpels. Son intro au banjo, presque une impro, un vrai cadeau. De l’autre côté de Michel Borla, aux percussions, un élégant charmeur de serpents - Primo Francoia. Le geste ample, généreux, l’air complice, les yeux plissés comme si son âme souriait, il s’éclate tout seul en harmonie. Il met en valeur et vole la vedette tout à la fois. Il se met à chanter, en espagnol, et on est bluffé. Il nous aimanterait le regard et nous scotcherait les tympans – mais quand même, on le lâche pour Borla, et pour boire les paroles de ses hymnes d’écorché. Voilà, pour faire court, ce que je préfère chez Michel Borla, c’est sa capacité à créer avec chaque chanson un petit univers à la fois intime et universel. Une couleur différente à chaque fois, un coup sombre, un coup claire. Un cocon tissé de révolte, de patience ; de contradictions. Comment, on ose dire apprécier l’absence de celle qu’on aime ? C’est pour mieux réclamer son retour. Quoi, on rejette, avec Claire Legendre, les Anges de la Baie ? mais on ne saurait plus s’en passer, à présent, pas plus que des voyages que l’on prétend redouter. Il fait peut-être noir dans son tunnel, à Michel, mais il nous éclaire la route de ses belles images. Je suis persuadée que nous sommes nombreux à nous retrouver totalement dans ce flou des sentiments…. Je ne commenterai pas son jeu à la guitare, ni son talent pour ruser, en soufflant dans l’appareil d’or

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