Claire Keim - Ou il pleuvra
De cette actrice jouant à son tour la carte chanson, je ne connaissais que le duo avec Marc Lavoine, prometteur au demeurant, et ses différentes participations aux Enfoirés ces dernières années, signe que le virus de la musique la titille déjà depuis un certain temps.
Ou il pleuvra, premier album solo, est la concrétisation de cette maladie.
Francis Cabrel en parrain, qui co-signe le titre éponyme,
Ours (Souchon connection) qui se fend du premier single, un peu comme si elle manquait de confiance en soi, elle qui signe les 8 autres titres dont certains bien plus efficaces et radiophoniques que cette ballade passe partout mais arrive nulle part. L'album est court, 10 titres seulement, pour à peine 30 minutes, la voix de Claire oscille entre
Clémence Lhomme (remember Blues Trottoir)
Elsa Lunghini ou
Vanessa Paradis, et manque un peu d'identité sur le marché encombré de la chanteuse pop/folk, même si à l'évidence elle assure le job. les compositions manquent un poil de mordant, peut être est-ce du à la réalisation un peu lisse du disque. Quelques bons morceaux à mettre à son crédit, en sus d'
Ou il pleuvra, meilleur titre à mon avis,
On sait c'quon perd par exemple, l'excellent
Mes silences ou
C'était mieux avant, bref les morceaux un peu plus up tempo.
Les textes doux amers ou les sentiments amoureux fondent l'essentiel du propos révèlent une facette plus personnelle de l'artiste, et en tout cas une vraie sensibilité et un réel talent d'écriture.
Claire Keim, jolie tête de façade mais pas uniquement, convainc sur la sincérité de sa démarche, issue d'une réelle envie et non d'une opportunité, et propose un album trop léger pour faire date, mais juste assez pour nous emmener promener un moment, ce qui n'est déjà pas si mal. Elle gagne le droit d'éveiller l'intérêt pour son second album et l'attente de ce que ces prestations scéniques pourraient donner comme dimension à sa musique.
Claire Keim - Ou il pleuvra
De cette actrice jouant à son tour la carte chanson, je ne connaissais que le duo avec Marc Lavoine, prometteur au demeurant, et ses différentes participations aux Enfoirés ces dernières années, signe que le virus de la musique la titille déjà depuis un certain temps.
Ou il pleuvra, premier album solo, est la concrétisation de cette maladie.
Francis Cabrel en parrain, qui co-signe le titre éponyme,
Ours (Souchon connection) qui se fend du premier single, un peu comme si elle manquait de confiance en soi, elle qui signe les 8 autres titres dont certains bien plus efficaces et radiophoniques que cette ballade passe partout mais arrive nulle part. L'album est court, 10 titres seulement, pour à peine 30 minutes, la voix de Claire oscille entre
Clémence Lhomme (remember Blues Trottoir)
Elsa Lunghini ou
Vanessa Paradis, et manque un peu d'identité sur le marché encombré de la chanteuse pop/folk, même si à l'évidence elle assure le job. les compositions manquent un poil de mordant, peut être est-ce du à la réalisation un peu lisse du disque. Quelques bons morceaux à mettre à son crédit, en sus d'
Ou il pleuvra, meilleur titre à mon avis,
On sait c'quon perd par exemple, l'excellent
Mes silences ou
C'était mieux avant, bref les morceaux un peu plus up tempo.
Les textes doux amers ou les sentiments amoureux fondent l'essentiel du propos révèlent une facette plus personnelle de l'artiste, et en tout cas une vraie sensibilité et un réel talent d'écriture.
Claire Keim, jolie tête de façade mais pas uniquement, convainc sur la sincérité de sa démarche, issue d'une réelle envie et non d'une opportunité, et propose un album trop léger pour faire date, mais juste assez pour nous emmener promener un moment, ce qui n'est déjà pas si mal. Elle gagne le droit d'éveiller l'intérêt pour son second album et l'attente de ce que ces prestations scéniques pourraient donner comme dimension à sa musique.
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