Anna Calvi
Bon, le truc du moment, si vous aimez le rock, c'est le premier album de cette jeune femme. Et vas y que je t’encense un peu partout, la révélation anglaise, et que je t'en passe. Alors moi, of course je teste. Et franchement, pas de quoi se la mettre au court bouillon. Peut être est ce sur scène que le phénomène explose vraiment mais ce premier disque me laisse carrément sur ma faim. Pas un mauvais disque non plus, ne me faite pas dire ce que je n'ai pas écris, mais de l'ordinaire, sans plus. Une Voix qui assure, certes, mais le côté épique des chansons me passe au dessus des oreilles et je cherche encore une mélodie, un refrain auquel je puisse me raccrocher - allez je veux bien concéder
Suzanne and I, mais pas plus. Il y a, indéniablement, une vraie personnalité derrière ces 10 titres, simplement, quoiqu'il soit loin d'être hermétique cet univers ne me parle pas.
First we kiss par exemple, frôle la popsong made in Motown, du moins dans ces trente premières secondes, mais sans le petit supplément d'âme qui fait la différence. Au final un album pas inintéressant mais qui ne laissera pas son empreinte, quoique les chroniqueurs en disent.
Anna Calvi
Bon, le truc du moment, si vous aimez le rock, c'est le premier album de cette jeune femme. Et vas y que je t’encense un peu partout, la révélation anglaise, et que je t'en passe. Alors moi, of course je teste. Et franchement, pas de quoi se la mettre au court bouillon. Peut être est ce sur scène que le phénomène explose vraiment mais ce premier disque me laisse carrément sur ma faim. Pas un mauvais disque non plus, ne me faite pas dire ce que je n'ai pas écris, mais de l'ordinaire, sans plus. Une Voix qui assure, certes, mais le côté épique des chansons me passe au dessus des oreilles et je cherche encore une mélodie, un refrain auquel je puisse me raccrocher - allez je veux bien concéder
Suzanne and I, mais pas plus. Il y a, indéniablement, une vraie personnalité derrière ces 10 titres, simplement, quoiqu'il soit loin d'être hermétique cet univers ne me parle pas.
First we kiss par exemple, frôle la popsong made in Motown, du moins dans ces trente premières secondes, mais sans le petit supplément d'âme qui fait la différence. Au final un album pas inintéressant mais qui ne laissera pas son empreinte, quoique les chroniqueurs en disent.
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