My concubine - Une chaise pour Ted
My concubine était pour moi jusqu'à lors un groupe pop anglais underground. Allez savoir pourquoi

, puisque je découvre avec ce 3eme album que le duo chante en français et que tout est signé par un Monsieur
Eric Falce. Bref, mon inculture a frappé une fois de plus. Ce disque est donc comme le premier pour moi, j'y retrouve avec plaisir
Lizzy Ling, déjà chroniqué dans ces pages pour ces propres album et qui délaisse - momentanément ? - sa carrière solo pour ce fondre dans ce groupe. Un album ou les voix se répondent au fil des titres, c'est un peu, en France, Gainsbourg l'inventeur de la formule, difficile donc de faire l'impasse sur cette référence, surtout dans un style tirant sur la pop un peu sombre, ou des tueurs se baladent sur des comptines, une collection de barjots hantant les textes, une version de Bonnie and Clyde non romancée. Chaque titre est un mini clip , les histoires racontées sont quasi scénarisées, et on sent une forte culture - et inspiration - cinématographique derrière l'ensemble. La réalisation de
Yann Arnaud (Air, Jeanne Cherhal ...
) est efficace, inventive, et assez variée pour maintenir l'attention le long de ces 11 titres qui manquent tout de même un peu d'efficacité mélodique.
Le parfum, le titre d'ouverture est le 1er single choisi, moi , j'aurais plutôt misé sur
Pauvres mecs, ironique, désabusé et au potentiel radio plus patent, mais, ce n'est pas moi qui fait les choix ;o)
My concubine - Une chaise pour Ted
My concubine était pour moi jusqu'à lors un groupe pop anglais underground. Allez savoir pourquoi

, puisque je découvre avec ce 3eme album que le duo chante en français et que tout est signé par un Monsieur
Eric Falce. Bref, mon inculture a frappé une fois de plus. Ce disque est donc comme le premier pour moi, j'y retrouve avec plaisir
Lizzy Ling, déjà chroniqué dans ces pages pour ces propres album et qui délaisse - momentanément ? - sa carrière solo pour ce fondre dans ce groupe. Un album ou les voix se répondent au fil des titres, c'est un peu, en France, Gainsbourg l'inventeur de la formule, difficile donc de faire l'impasse sur cette référence, surtout dans un style tirant sur la pop un peu sombre, ou des tueurs se baladent sur des comptines, une collection de barjots hantant les textes, une version de Bonnie and Clyde non romancée. Chaque titre est un mini clip , les histoires racontées sont quasi scénarisées, et on sent une forte culture - et inspiration - cinématographique derrière l'ensemble. La réalisation de
Yann Arnaud (Air, Jeanne Cherhal ...
) est efficace, inventive, et assez variée pour maintenir l'attention le long de ces 11 titres qui manquent tout de même un peu d'efficacité mélodique.
Le parfum, le titre d'ouverture est le 1er single choisi, moi , j'aurais plutôt misé sur
Pauvres mecs, ironique, désabusé et au potentiel radio plus patent, mais, ce n'est pas moi qui fait les choix ;o)
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