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Jil Caplan - Revue  -  par sucrepop

Jil_Caplan.jpgJil Caplan - Revue

Cette jeune femme fait partie de celles, rares, qui m'accompagnent depuis longtemps. J'ai suivi ses tours et détours, ses hauts - la trilogie avec Jay Alanski - et ses moins hauts, commercialement parlant,  globalement le reste, ses albums Innocents, et ses chansons qui ne l'étaient pas. J'ai assisté à la prise de contrôle des textes, l'évolution de son écriture, lecteur irrégulier mais fidèle de son blog, à l'étonnant retour de la collaboration avec maître Jay, en une délicate tentative de rallumer la magie, avec l'insuccès que l'on sait. Une participation sur l'album de Phil Pace pour amorcer un retour dans la lumière et c'est à elle d'y entrer. Et donc, c'est avec la fébrilité de l'amoureux que j'ai écouté ce Revue, sept titres, 7 reprises dont 3 d'elle même. Petit tour du propriétaire. C'est Jean-Christophe Urbain, bien connu des services de police pour être moins Innocent qu'il ne veut bien le dire qui s'est chargé des orchestrations et, tant qu'il y était, d'à peu près tout le boucan derrière la voix de Valentine. D'entrée, la marche est haute. Reprendre The river of no return, immortalisée par Marylin Monroe, nécessite soit une bonne dose d’inconscience soit une sacrée confiance en soi. Mais après tout, une chanson est faite pour être reprise, donc why not ? L'arrangement reste assez dépouillé, essentiellement acoustique, s'éloignant juste assez de l'original pour marquer la différence. Mais la puissance de l'imagerie associée à ce titre, les jambes de Marylin, sa voix grave, sa luminosité, la symbiose de l'ensemble qui rend la scène inoubliable fait, pour moi en tout cas, que jamais je n'arrive à occulter la version de Norma Jean. Second titre, seconde surprise, son choix s'est porté sur Mon vieux, tube seventies s'il en est, popularisé par Daniel Guichard,  titre au pathos tel qu'il tirerait des larmes à un croque-mort, estampillé variété à fond. Juste une grande chanson, qu'elle interprète avec sensibilité et émotion, sans sombrer dans la tentation de forcer le côté lacrymal. Allez savoir pourquoi, ce que tricote le Jean Christophe derrière m'évoque dans le fond comme dans la forme, le Petit Train d'Interlude. Une facette désuète qui somme toute colle parfaitement avec le propos nostalgique. Reprise ensuite de deux titres de son dernier album en date, Derrière la fenêtre et j'aime je déteste, comme pour redonner une chance à deux jolies chansons, probablement les deux meilleures de l'album, passées inaperçues, puis à la trappe de fait. Exit la touche electro, simplicité et efficacité. Si ce disque ne sert qu'à réhabiliter ces deux morceaux, ce serait déjà une bonne chose. J'aime je déteste prend une vraie dimension ici, ce dépouillement lui va bien au teint,  et comme elle glisse tout doucement dans une reprise d'un titre de Mc Cartney, période Wings, Bluebird, je fonds. Jil en fait une relecture assez simple, boite à rythme low fi, quelques choeurs, une bien belle guitare et emballé c'est pesé, droit au coeur. Sa reprise du Peggy Sue, de Buddy Holly est très roots, voir crade, son façon prise garage, ça sent l'instantané pris sur le vif. Cette Revue se clôt sur une reprise de son titre le plus connu, Tout ce qui nous sépare, extrait de la Charmeuse de Serpent.  La fiancée en a fait une version récemment, bien foutue d'ailleurs. Celle de Jil est très chouette aussi, elle lui colle évidement à la voix comme pas permis, et la guitare de Mr Urbain tresse un bel écrin à ce bijou. Bon, perso, j'aurais préféré une reprise moins évidente, du premier, et magique, premier album par exemple. Mais c'est pas moi le patron tongue. Au final, en apéritif pour un "vrai" nouvel album à venir, c'est une excellente manière de refaire connaissance avec Valentine. Vite, la suite ...

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Jil_Caplan.jpgJil Caplan - Revue

Cette jeune femme fait partie de celles, rares, qui m'accompagnent depuis longtemps. J'ai suivi ses tours et détours, ses hauts - la trilogie avec Jay Alanski - et ses moins hauts, commercialement parlant,  globalement le reste, ses albums Innocents, et ses chansons qui ne l'étaient pas. J'ai assisté à la prise de contrôle des textes, l'évolution de son écriture, lecteur irrégulier mais fidèle de son blog, à l'étonnant retour de la collaboration avec maître Jay, en une délicate tentative de rallumer la magie, avec l'insuccès que l'on sait. Une participation sur l'album de Phil Pace pour amorcer un retour dans la lumière et c'est à elle d'y entrer. Et donc, c'est avec la fébrilité de l'amoureux que j'ai écouté ce Revue, sept titres, 7 reprises dont 3 d'elle même. Petit tour du propriétaire. C'est Jean-Christophe Urbain, bien connu des services de police pour être moins Innocent qu'il ne veut bien le dire qui s'est chargé des orchestrations et, tant qu'il y était, d'à peu près tout le boucan derrière la voix de Valentine. D'entrée, la marche est haute. Reprendre The river of no return, immortalisée par Marylin Monroe, nécessite soit une bonne dose d’inconscience soit une sacrée confiance en soi. Mais après tout, une chanson est faite pour être reprise, donc why not ? L'arrangement reste assez dépouillé, essentiellement acoustique, s'éloignant juste assez de l'original pour marquer la différence. Mais la puissance de l'imagerie associée à ce titre, les jambes de Marylin, sa voix grave, sa luminosité, la symbiose de l'ensemble qui rend la scène inoubliable fait, pour moi en tout cas, que jamais je n'arrive à occulter la version de Norma Jean. Second titre, seconde surprise, son choix s'est porté sur Mon vieux, tube seventies s'il en est, popularisé par Daniel Guichard,  titre au pathos tel qu'il tirerait des larmes à un croque-mort, estampillé variété à fond. Juste une grande chanson, qu'elle interprète avec sensibilité et émotion, sans sombrer dans la tentation de forcer le côté lacrymal. Allez savoir pourquoi, ce que tricote le Jean Christophe derrière m'évoque dans le fond comme dans la forme, le Petit Train d'Interlude. Une facette désuète qui somme toute colle parfaitement avec le propos nostalgique. Reprise ensuite de deux titres de son dernier album en date, Derrière la fenêtre et j'aime je déteste, comme pour redonner une chance à deux jolies chansons, probablement les deux meilleures de l'album, passées inaperçues, puis à la trappe de fait. Exit la touche electro, simplicité et efficacité. Si ce disque ne sert qu'à réhabiliter ces deux morceaux, ce serait déjà une bonne chose. J'aime je déteste prend une vraie dimension ici, ce dépouillement lui va bien au teint,  et comme elle glisse tout doucement dans une reprise d'un titre de Mc Cartney, période Wings, Bluebird, je fonds. Jil en fait une relecture assez simple, boite à rythme low fi, quelques choeurs, une bien belle guitare et emballé c'est pesé, droit au coeur. Sa reprise du Peggy Sue, de Buddy Holly est très roots, voir crade, son façon prise garage, ça sent l'instantané pris sur le vif. Cette Revue se clôt sur une reprise de son titre le plus connu, Tout ce qui nous sépare, extrait de la Charmeuse de Serpent.  La fiancée en a fait une version récemment, bien foutue d'ailleurs. Celle de Jil est très chouette aussi, elle lui colle évidement à la voix comme pas permis, et la guitare de Mr Urbain tresse un bel écrin à ce bijou. Bon, perso, j'aurais préféré une reprise moins évidente, du premier, et magique, premier album par exemple. Mais c'est pas moi le patron tongue. Au final, en apéritif pour un "vrai" nouvel album à venir, c'est une excellente manière de refaire connaissance avec Valentine. Vite, la suite ...

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Publié le 17/04/2011 @ 19:16   Tous les billets   Prévisualiser...   Imprimer...   Haut


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