Charlélie Couture - Fort rêveur
Exilé à New-York depuis quelques années, c'est empreint de sonorités urbaines et américaines que nous revient cet artiste multifacette. Un son ancré dans le blues, mais un blues très loin des champs de coton, un blues de ville, nourri de boucles et de samples, de guitares slides et de rythmes binaires sur lequel le
Charlélie colle des textes parfois surprenant voir déconcertant. Sur
Le Phénix, morceau de 9 minutes, il joue les guides de Big Apple, sur d'autres il cède parfois à la facilité, son apparente nouvelle obsession animale étant un peu déprimante. La voix est égale à elle même, plus parlée que chantée et côté son la réalisation a été confié à Sean Flora, qui a déjà sévit avec succès avec
The Shins ou
Franz Ferdinand. Donc ça le fait. Reste que ce retour, en forme, de l'ex lorrain ne risque pas de susciter un engouement particulier, trop auto centré sur lui.
Charlélie Couture - Fort rêveur
Exilé à New-York depuis quelques années, c'est empreint de sonorités urbaines et américaines que nous revient cet artiste multifacette. Un son ancré dans le blues, mais un blues très loin des champs de coton, un blues de ville, nourri de boucles et de samples, de guitares slides et de rythmes binaires sur lequel le
Charlélie colle des textes parfois surprenant voir déconcertant. Sur
Le Phénix, morceau de 9 minutes, il joue les guides de Big Apple, sur d'autres il cède parfois à la facilité, son apparente nouvelle obsession animale étant un peu déprimante. La voix est égale à elle même, plus parlée que chantée et côté son la réalisation a été confié à Sean Flora, qui a déjà sévit avec succès avec
The Shins ou
Franz Ferdinand. Donc ça le fait. Reste que ce retour, en forme, de l'ex lorrain ne risque pas de susciter un engouement particulier, trop auto centré sur lui.
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