Iron & Wine - Kiss each other clean
L'engouement critique et commercial suite à la parution de ses deux précédents albums me semble toujours inexplicable. Des folksongs certainement de qualité mais pas plus, ni moins ,que tant d'autres. C'est donc un peu circonspect que je m'attelais à l'écoute du cru 2011. Et
Sam Beam me surprend. Voilà qu'il s'est mis en tête de réaliser un album pop. Des orchestrations plus fournies, des harmonies vocales, ballades, funk, jazz et country qui se télescopent dans un grand shaker pour proposer un kaleïdoscope musical. De coup,
Kiss each other clean est son disque le plus accessible, un réel effort, parfois un peu forcé, pour rendre sa musique radio compatible. Pas d'énorme single à l'horizon non plus, on n'est pas chez Mika, mais
Glad Man singing ou
Tree by the river on suffisamment de poids pour nous faire tendre l'oreille. Si cet hybride est la nouvelle direction prise par
Iron & Wine, je prend la même.
Iron & Wine - Kiss each other clean
L'engouement critique et commercial suite à la parution de ses deux précédents albums me semble toujours inexplicable. Des folksongs certainement de qualité mais pas plus, ni moins ,que tant d'autres. C'est donc un peu circonspect que je m'attelais à l'écoute du cru 2011. Et
Sam Beam me surprend. Voilà qu'il s'est mis en tête de réaliser un album pop. Des orchestrations plus fournies, des harmonies vocales, ballades, funk, jazz et country qui se télescopent dans un grand shaker pour proposer un kaleïdoscope musical. De coup,
Kiss each other clean est son disque le plus accessible, un réel effort, parfois un peu forcé, pour rendre sa musique radio compatible. Pas d'énorme single à l'horizon non plus, on n'est pas chez Mika, mais
Glad Man singing ou
Tree by the river on suffisamment de poids pour nous faire tendre l'oreille. Si cet hybride est la nouvelle direction prise par
Iron & Wine, je prend la même.
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