Teitur - Let the dog drive home
Il faut reconnaître au moins une chose à
Teitur, c'est d'avoir réussi à placer sur la carte une région - Les iles Féroé - uniquement connue pour sa capacité à améliorer le goal average des équipes de foot la rencontrant
.4ème album studio du monsieur et j'avoue humblement être passé à côté des trois autres. Son étonnante participation à l'avant dernier album de
Nolwen Leroy, Le Cheshire Cat & moi étant sa seule carte de visite pour moi. La jolie mélodie du
Feel good d'ouverture accroche bien l'oreille, un son très doux, intimiste même, qui se révèle être le fil conducteur de l'album. Sur que c'est pas un nerveux le
Teitur et que le relatif isolement de son pays natal s'entend distinctement dans son disque. Une guitare acoustique, un discret quatuor à cordes, des orchestrations originales, une voix charmeuse et ça roule. Même sur des titres plus enlevés, type
Betty Hedges, c'est toujours la mélancolie qui l'emporte. Il y a même une batterie sur
You never leave L.A. c'est dire. L'album est accompagné d'un petit livret ou chaque titre est croqué dans un comic strip, plus d'un autre avec les paroles. Au final un musicien avec une réel univers, un poil trop introverti pour toucher le grand public, mais avec qui il faudra compter.
Teitur - Let the dog drive home
Il faut reconnaître au moins une chose à
Teitur, c'est d'avoir réussi à placer sur la carte une région - Les iles Féroé - uniquement connue pour sa capacité à améliorer le goal average des équipes de foot la rencontrant
.4ème album studio du monsieur et j'avoue humblement être passé à côté des trois autres. Son étonnante participation à l'avant dernier album de
Nolwen Leroy, Le Cheshire Cat & moi étant sa seule carte de visite pour moi. La jolie mélodie du
Feel good d'ouverture accroche bien l'oreille, un son très doux, intimiste même, qui se révèle être le fil conducteur de l'album. Sur que c'est pas un nerveux le
Teitur et que le relatif isolement de son pays natal s'entend distinctement dans son disque. Une guitare acoustique, un discret quatuor à cordes, des orchestrations originales, une voix charmeuse et ça roule. Même sur des titres plus enlevés, type
Betty Hedges, c'est toujours la mélancolie qui l'emporte. Il y a même une batterie sur
You never leave L.A. c'est dire. L'album est accompagné d'un petit livret ou chaque titre est croqué dans un comic strip, plus d'un autre avec les paroles. Au final un musicien avec une réel univers, un poil trop introverti pour toucher le grand public, mais avec qui il faudra compter.
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