Chris Norman - Time Traveller
Un faux air de
McCartney sur la pochette, mais une carrière moins brillante. Passé à la postérité par la grace d'une poignée de hits en tant que chanteur de
Smokie (Living next door to Alice, Don't play your rock and roll to me), la carrière solo de Monsieur Norman s'est trouvée nettement moins auréolée de succès en solo. Pourtant, la voix à ce truc qui fait qu'on reconnait les "vrais" chanteurs façon seventies. A priori, seule l'Allemagne à continué à lui faire les yeux doux. De mon côté, hormis ces réguliers retours sous l'étiquette Smokie, rien à signaler. La publication de cet album composé d'une douzaine de reprises piochées dans un répertoire allant des années 60 aux années 90, justifiant ainsi son titre, ne pouvait que m'attirer, le bonhomme m'étant sympathique (la nostalgie ?) et ses choix plutôt bien pensés. Il ouvre avec le
Get it on de
T.Rex, surprend avec une inattendue reprise des
Supremes -
Be my baby- ou ses cordes vocales râpent juste ce qu'il faut, il s'attaque à du
Genesis
I Can't dance, du
Mike Olfield - Moonlight Shadow - le tout toujours traité façon glam rock seventies. Moi je suis plutôt client de ce type d'aventures, même si à l'évidence, c'est un peu facile. A noter tout de même le dernier morceau, une reprise piano voix et violoncelle de de
Wake me up when september ends absolument superbe. Rien d'indispensable donc, mais 46' bien utilisées.
Chris Norman - Time Traveller
Un faux air de
McCartney sur la pochette, mais une carrière moins brillante. Passé à la postérité par la grace d'une poignée de hits en tant que chanteur de
Smokie (Living next door to Alice, Don't play your rock and roll to me), la carrière solo de Monsieur Norman s'est trouvée nettement moins auréolée de succès en solo. Pourtant, la voix à ce truc qui fait qu'on reconnait les "vrais" chanteurs façon seventies. A priori, seule l'Allemagne à continué à lui faire les yeux doux. De mon côté, hormis ces réguliers retours sous l'étiquette Smokie, rien à signaler. La publication de cet album composé d'une douzaine de reprises piochées dans un répertoire allant des années 60 aux années 90, justifiant ainsi son titre, ne pouvait que m'attirer, le bonhomme m'étant sympathique (la nostalgie ?) et ses choix plutôt bien pensés. Il ouvre avec le
Get it on de
T.Rex, surprend avec une inattendue reprise des
Supremes -
Be my baby- ou ses cordes vocales râpent juste ce qu'il faut, il s'attaque à du
Genesis
I Can't dance, du
Mike Olfield - Moonlight Shadow - le tout toujours traité façon glam rock seventies. Moi je suis plutôt client de ce type d'aventures, même si à l'évidence, c'est un peu facile. A noter tout de même le dernier morceau, une reprise piano voix et violoncelle de de
Wake me up when september ends absolument superbe. Rien d'indispensable donc, mais 46' bien utilisées.
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