Phil Pace & Spike - Letters memory
Second album pour le marseillais
Phil Pace - pour le 1er c'est
par ici - qui abandonne le côté solitaire pour revenir épaulé d'un groupe,
Spike. Enregistré " à l'ancienne" comprendre sans grosse production mais plutôt live en studio, 15 heures d'enregistrements, 11 titre mis en boîte, 10 originaux et une reprise de
Johnny Cash, probablement son titre le plus connu,
I walk the line, l'album respire le calme et la sérénité. Méthode d'enregistrement, influences, âge moyen des participants, tout ceci devrait vous mettre sur la piste de ce que propose ce disque, un folk made in America mâtiné de pop.
Loveshine, par exemple le titre qui ouvre
Letters memory aurait tout d'une comptine pop ne serait cette production "à l'os". Le travail sur les mélodies est patent,
For a friend à tout d'un hit sixties oublié, et quand Phil et sa bande durcissent un peu le ton et salissent un peu leur son -
Oh Joker - on s'imagine écouter une face B oubliée des
Troggs. Pour ajouter au pouvoir d'attraction / séduction de ce disque, une guest star de luxe vient poser sa voix sur deux duos, Miss
Jil Caplan
en personne, pousse la sérénade sur
I won't go back, digne d'un Bono & Cher de la grande époque, ainsi que sur le plus bluesy
Confession song, lui offrant par la même un retour par la grande porte. Sans bruit, presque naturellement, Phil Pace affirme sa place dans notrepaysage musical sonore.
realisé par Quino Gonzalez.extrait de l'album "letters memory"
Phil Pace & Spike - Letters memory
Second album pour le marseillais
Phil Pace - pour le 1er c'est
par ici - qui abandonne le côté solitaire pour revenir épaulé d'un groupe,
Spike. Enregistré " à l'ancienne" comprendre sans grosse production mais plutôt live en studio, 15 heures d'enregistrements, 11 titre mis en boîte, 10 originaux et une reprise de
Johnny Cash, probablement son titre le plus connu,
I walk the line, l'album respire le calme et la sérénité. Méthode d'enregistrement, influences, âge moyen des participants, tout ceci devrait vous mettre sur la piste de ce que propose ce disque, un folk made in America mâtiné de pop.
Loveshine, par exemple le titre qui ouvre
Letters memory aurait tout d'une comptine pop ne serait cette production "à l'os". Le travail sur les mélodies est patent,
For a friend à tout d'un hit sixties oublié, et quand Phil et sa bande durcissent un peu le ton et salissent un peu leur son -
Oh Joker - on s'imagine écouter une face B oubliée des
Troggs. Pour ajouter au pouvoir d'attraction / séduction de ce disque, une guest star de luxe vient poser sa voix sur deux duos, Miss
Jil Caplan
en personne, pousse la sérénade sur
I won't go back, digne d'un Bono & Cher de la grande époque, ainsi que sur le plus bluesy
Confession song, lui offrant par la même un retour par la grande porte. Sans bruit, presque naturellement, Phil Pace affirme sa place dans notrepaysage musical sonore.
realisé par Quino Gonzalez.extrait de l'album "letters memory"
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