Pas plus motivé que ça pour écouter le nouvel opus du gratteux de Genesis. Et c'eut été une belle bêtise de passer à côt car ce disque ce révèle est une des belles surprises de ce printemps. Exit les deux précédents chanteurs, l'un excusé pour cause de décès, l'autre poru album solo à préparer. Les deux nouveaux s’appellent Andrew Roachford, et Tim Howar et le moins que l'on puisse dire, c'est que le Mike sait recruter du high level. Pourquoi il a besoin de deux interprètes m'échappe un peu mais ceux là assurent grave. L'un des deux à une voix très proche de Paul Young - pas l’homonyme décédé, non l'autre, le Paul Young de Come back and stay ou Love of the common people, celui à la voix en soul massif des années 80. Et ce n'est probablement pas un hasard si tout cet album fleure bon cette période. Le Mike a rangé sa guitare, hormis The Road, le titre éponyme, ou il fait gémir sa 6 cordes, le reste du temps c'est plutôt les claviers qui dominent. Pour les amateurs de hits, en sus du titre pré cité, I don't do love ou It only hurts for a while - on pense presque à du Phil Collins sur celui là - devraient escalader les charts sans difficulté. Hunt you down a le même potentiel, bref de la fort bel ouvrage par un vieux routier du rock et un des albums les plus aguicheurs de ce début 2011
Mike and The Mechanics - The Road
Pas plus motivé que ça pour écouter le nouvel opus du gratteux de Genesis. Et c'eut été une belle bêtise de passer à côt car ce disque ce révèle est une des belles surprises de ce printemps. Exit les deux précédents chanteurs, l'un excusé pour cause de décès, l'autre poru album solo à préparer. Les deux nouveaux s’appellent Andrew Roachford, et Tim Howar et le moins que l'on puisse dire, c'est que le Mike sait recruter du high level. Pourquoi il a besoin de deux interprètes m'échappe un peu mais ceux là assurent grave. L'un des deux à une voix très proche de Paul Young - pas l’homonyme décédé, non l'autre, le Paul Young de Come back and stay ou Love of the common people, celui à la voix en soul massif des années 80. Et ce n'est probablement pas un hasard si tout cet album fleure bon cette période. Le Mike a rangé sa guitare, hormis The Road, le titre éponyme, ou il fait gémir sa 6 cordes, le reste du temps c'est plutôt les claviers qui dominent. Pour les amateurs de hits, en sus du titre pré cité, I don't do love ou It only hurts for a while - on pense presque à du Phil Collins sur celui là - devraient escalader les charts sans difficulté. Hunt you down a le même potentiel, bref de la fort bel ouvrage par un vieux routier du rock et un des albums les plus aguicheurs de ce début 2011