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9 albums seulement en près de 40 ans de bons et loyaux services, on ne peut pas dire que Miss Debbie et ses boys aient poussé à la consommation. -pour leur discographie, c'est par ici. Comme il y a tout de même beaucoup plus de médiocre que d'excellent, ou placer cet inattendu album ? Et bien contre toute attente, je le placerais en 3ème position, derrière l'intouchable Parallel lines bien entendu, mais juste après Eat to the beat. Il dépasse The Hunter d'une courte tête, car plus homogène, même s'il lui manque un grand titre à la English Boys. Pourtant ça démarrait mal. D-Day en intro augurait mal du reste de l'album, une batterie honnête , un gros synthé baveux, une voix méconnaissable, le titre redresse la barre en court de route, mais le carton rouge était proche d'entrée. What I heard, renoue avec le bon son, et ferait un chouette single, refrain efficace, la voix sans la moindre traces des 65 printemps au compteur, solo de guitare rageur, c'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes Mother premier single, garde la même direction, fière popsong, à noter que si madame signe les paroles, les musiques ne sont pas des membres historiques du groupe - dont il ne reste que Chris Stein, bien discret ici, et le batteur Clem Burke, toujours impressionnant - The end, the end nous emmène dans les eaux reggae de Tide is high, avec moins d'efficacité, certes, mais on l'y suit avec plaisir. C'est d'ailleurs un style ou Blondie se sent à l'aise puisque sur ce disque Girlie Girlie et Sunday Smile croisent dans le même domaine, sans génie, mais sans démériter non plus. Love does'nt frighten me poursuit la quête du single qui tue, et y arrive presque, Wipe off my sweat, mi espagnol mi anglais est trop putassier pour réussir son coup, en marchant sur les plates bandes d'une Shakira ou d'une Madonna décatie, mais sur les pistes de danse estivale, le carton est peut être à portée de main, Un titre totalement chanté - enfin façon bouillie - en français, Le bleu - avec un accordéon en intro , dommage car la mélodie de Chris Stein était sympa, et on termine avec China Shoes, sans rien de remarquable ni de désagréable. Au final, un album nettement supérieur à ce à quoi on pouvait s'attendre, qui n'ajoutera certes pas d'étoiles à la légende, mais au moins ne la ternira pas. En tout cas, une nouvelle preuve que les sexagénaires assurent toujours.
Blondie - Panic of girls
9 albums seulement en près de 40 ans de bons et loyaux services, on ne peut pas dire que Miss Debbie et ses boys aient poussé à la consommation. -pour leur discographie, c'est par ici. Comme il y a tout de même beaucoup plus de médiocre que d'excellent, ou placer cet inattendu album ? Et bien contre toute attente, je le placerais en 3ème position, derrière l'intouchable Parallel lines bien entendu, mais juste après Eat to the beat. Il dépasse The Hunter d'une courte tête, car plus homogène, même s'il lui manque un grand titre à la English Boys. Pourtant ça démarrait mal. D-Day en intro augurait mal du reste de l'album, une batterie honnête , un gros synthé baveux, une voix méconnaissable, le titre redresse la barre en court de route, mais le carton rouge était proche d'entrée. What I heard, renoue avec le bon son, et ferait un chouette single, refrain efficace, la voix sans la moindre traces des 65 printemps au compteur, solo de guitare rageur, c'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes Mother premier single, garde la même direction, fière popsong, à noter que si madame signe les paroles, les musiques ne sont pas des membres historiques du groupe - dont il ne reste que Chris Stein, bien discret ici, et le batteur Clem Burke, toujours impressionnant - The end, the end nous emmène dans les eaux reggae de Tide is high, avec moins d'efficacité, certes, mais on l'y suit avec plaisir. C'est d'ailleurs un style ou Blondie se sent à l'aise puisque sur ce disque Girlie Girlie et Sunday Smile croisent dans le même domaine, sans génie, mais sans démériter non plus. Love does'nt frighten me poursuit la quête du single qui tue, et y arrive presque, Wipe off my sweat, mi espagnol mi anglais est trop putassier pour réussir son coup, en marchant sur les plates bandes d'une Shakira ou d'une Madonna décatie, mais sur les pistes de danse estivale, le carton est peut être à portée de main, Un titre totalement chanté - enfin façon bouillie - en français, Le bleu - avec un accordéon en intro , dommage car la mélodie de Chris Stein était sympa, et on termine avec China Shoes, sans rien de remarquable ni de désagréable. Au final, un album nettement supérieur à ce à quoi on pouvait s'attendre, qui n'ajoutera certes pas d'étoiles à la légende, mais au moins ne la ternira pas. En tout cas, une nouvelle preuve que les sexagénaires assurent toujours.