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Alice Cooper - Welcome 2 My Nightmare - par
sucrepop
Alice Cooper - Welcome 2 My Nightmare
Allons y pour du grand Alice. En prétexte, la suite de Welcome to my nightmare, enregistré 35 ans auparavant. Il reprend les zicos de l'époque, y ajoute quelques pointures comme l'immense Dick Wagner, le même producteur complice, Bob Ezrin (Pink Floyd, Peter Gabriel, Lou Reed) et en route pour 14 titres. Comme à son habitude, Alice aborde une foultitude de styles avec bonheur le plus souvent. I was made of you qui ouvre l'album est une power ballad au parfum de hit prononcé, il commence fort le bougre, Caffeine qui suit, option rock, guitares qui rapent, ok sans plus, A runaway train continue sur le même tempo, sans plus me convaincre. Last man on earth est l'une des franches réussites, un zeste jazzy, superbe, I'll bite your face off, le premier single extrait, lorgne du côté des Stones, efficace mais sans frisson. Arrivé au milieu du gué, l'Alice se plante en beauté avec Disco Bloodbath Boogie Fever, le morceau le plus faible de l'album sans conteste, uniquement sauvé par une vicieuse guitare solo qui cherche malgré tout à en découdre. Virage pop avec Ghouls Gone Wild, facile mais sympa, qui ouvre la porte à la ballade Something To Remember Me By. On sait que le Vincent excelle dans cette ambiance - Only women bleed, You and me, Poison, pour n'en nommer que quelques 'unes. sans atteindre ces sommets, il s'en tire avec les honneurs. Viens le cas What Baby wants. Sur le papier, ça fait peur, un duo avec la chanteuse rap/R&B Kesha. Attaque rythmique façon Michael Jackson, solo d'anthologie, le morceau dégage une sacré énergie, le refrain est imparable, et ce devrait être le gros carton. The underture qui ferme le cauchemar reprend les thèmes du vieil album pour en faire un medley instrumental inspiré, clin d'oeil appuyé à la genèse de Welcome 2. Des cauchemar de ce niveau, j'en rêve, l'un de ses tous meilleurs albums.
Alice Cooper - Welcome 2 My Nightmare
Allons y pour du grand Alice. En prétexte, la suite de Welcome to my nightmare, enregistré 35 ans auparavant. Il reprend les zicos de l'époque, y ajoute quelques pointures comme l'immense Dick Wagner, le même producteur complice, Bob Ezrin (Pink Floyd, Peter Gabriel, Lou Reed) et en route pour 14 titres. Comme à son habitude, Alice aborde une foultitude de styles avec bonheur le plus souvent. I was made of you qui ouvre l'album est une power ballad au parfum de hit prononcé, il commence fort le bougre, Caffeine qui suit, option rock, guitares qui rapent, ok sans plus, A runaway train continue sur le même tempo, sans plus me convaincre. Last man on earth est l'une des franches réussites, un zeste jazzy, superbe, I'll bite your face off, le premier single extrait, lorgne du côté des Stones, efficace mais sans frisson. Arrivé au milieu du gué, l'Alice se plante en beauté avec Disco Bloodbath Boogie Fever, le morceau le plus faible de l'album sans conteste, uniquement sauvé par une vicieuse guitare solo qui cherche malgré tout à en découdre. Virage pop avec Ghouls Gone Wild, facile mais sympa, qui ouvre la porte à la ballade Something To Remember Me By. On sait que le Vincent excelle dans cette ambiance - Only women bleed, You and me, Poison, pour n'en nommer que quelques 'unes. sans atteindre ces sommets, il s'en tire avec les honneurs. Viens le cas What Baby wants. Sur le papier, ça fait peur, un duo avec la chanteuse rap/R&B Kesha. Attaque rythmique façon Michael Jackson, solo d'anthologie, le morceau dégage une sacré énergie, le refrain est imparable, et ce devrait être le gros carton. The underture qui ferme le cauchemar reprend les thèmes du vieil album pour en faire un medley instrumental inspiré, clin d'oeil appuyé à la genèse de Welcome 2. Des cauchemar de ce niveau, j'en rêve, l'un de ses tous meilleurs albums.