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slow joe and the ginger accident - Sunny side up - par sucrepop
L'histoire est belle, de celle qui fait tourner les rotatives. Un chanteur indien quasi septuagénaire, passablement écorné par la vie, croise le chemin d'un musicien français qui flashe sur la voix, enregistre des maquettes qu'il travaille retourné en France et évidement le tout fini sur le bureau d'un directeur artistique qui signe le conte de fée et roule ma poule, si avec ça on embarque pas la si difficile gente journalistique ... Vraie, fausse ou enjolivée, peu importe, à l'arrivé, un disque. Et fois d'un vieux fan de Morrison, nous tenons là le meilleur album des Doors depuis LA Woman, pas moins. Le blues, l'orgue obsédant, du Money Mama d'ouverture, le grand Jim en aurait fait un hit imparable. Du blues, il en fortement question ici, Second titre, Love Bug, vous n'entendez pas des échos de Love her madly en fond ? Le tout est modernisé certes, XXIème siècle oblige, mais le tout suinte de toute part l'ombre de Manzarek et sa bande. Une franche réussite, même si la voix du Joe n'égale pas en puissance, en aura celle du roi serpent. Just one touch voit le vieux Joe faire son Elvis, Brunette blonde ou le couplet Doors se trouve doté d'un refrain façon Who, fait office de succédané de qualité. sa reprise d'Edith Piaf est aussi désastreuse qu'Iggy Pop quand il chante en français, et quand il enfonce le clou des racines sixties avec Set the control for the heart of the sun - oui, du Pink Floyd - on à l'impression que Syd Barrett jouait sur Morrison Hotel. Monsieur Cédric de la Chapelle, je vous tire mon chapeau bien bas.
L'histoire est belle, de celle qui fait tourner les rotatives. Un chanteur indien quasi septuagénaire, passablement écorné par la vie, croise le chemin d'un musicien français qui flashe sur la voix, enregistre des maquettes qu'il travaille retourné en France et évidement le tout fini sur le bureau d'un directeur artistique qui signe le conte de fée et roule ma poule, si avec ça on embarque pas la si difficile gente journalistique ... Vraie, fausse ou enjolivée, peu importe, à l'arrivé, un disque. Et fois d'un vieux fan de Morrison, nous tenons là le meilleur album des Doors depuis LA Woman, pas moins. Le blues, l'orgue obsédant, du Money Mama d'ouverture, le grand Jim en aurait fait un hit imparable. Du blues, il en fortement question ici, Second titre, Love Bug, vous n'entendez pas des échos de Love her madly en fond ? Le tout est modernisé certes, XXIème siècle oblige, mais le tout suinte de toute part l'ombre de Manzarek et sa bande. Une franche réussite, même si la voix du Joe n'égale pas en puissance, en aura celle du roi serpent. Just one touch voit le vieux Joe faire son Elvis, Brunette blonde ou le couplet Doors se trouve doté d'un refrain façon Who, fait office de succédané de qualité. sa reprise d'Edith Piaf est aussi désastreuse qu'Iggy Pop quand il chante en français, et quand il enfonce le clou des racines sixties avec Set the control for the heart of the sun - oui, du Pink Floyd - on à l'impression que Syd Barrett jouait sur Morrison Hotel. Monsieur Cédric de la Chapelle, je vous tire mon chapeau bien bas.
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