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The Rebels of Tijuana -La bourgeoise - par Sucrepop
Compteur bloqué dans les sixties, période garage, entre la mythique compil Nuggets et un Ductronc (Jacques), bref du rock millésimé que nous propose ce sextet. les deux premiers EP, chroniqués dans ces mêmes pages, avaient fait leur petit effet, le passage au format LP leur va bien au teint. Passée l'intro, Johnny Marr déboule sous forme de single ravageur, harmonica façon Antoine et ses problèmes, jerk endiablé comme à la belle époque. Bleu abandonne un temps le côté garage pour une pop sixties moins typée, nouvel intermède pour un blues façons Car Hiss by my window des Doors, intitulé Mauvais trip child ou l'harmonica frappe à nouveau. Complètement stone, guitare Fuzz au vent, d'inspiration Kinks continue d'ancrer le tout dans les années 60 quand La chimère vient rompre la belle unité, tirant plus vers les Aphrodites' child. I'm leaving my way, seul morceau en anglais est paradoxalement celui ou l'inspiration anglo-saxonne est la moins prégnante. Rupture complète de style avec le titre qui donne son nom à l'album, La bourgeoise, plus Gainsbourg, tu meurs, un sax en solo en arrière plan, une voix qui parle sur quelques harmonies, étonnant car décalé. Nazz, intermède mouillée, précède le sauvage Les Cryptones, face B d'un quelconque ? and the mysterians. Dr Gonzo mixe Le titre précédent avec la bourgeoise, moitié anglais moitié français, bel hybride. 13ème titre et nouvel ovni, Gigolo, banjo sur du Dutronc, intermède instrumental avec Sa majesté, enchaînant sur Stax !, hit en puissance, l'album se ferme sur la seconde partie de la bourgeoise, ou l'ensemble du voyage musical est passé en revue, point final orgasmique à un bel album.
Compteur bloqué dans les sixties, période garage, entre la mythique compil Nuggets et un Ductronc (Jacques), bref du rock millésimé que nous propose ce sextet. les deux premiers EP, chroniqués dans ces mêmes pages, avaient fait leur petit effet, le passage au format LP leur va bien au teint. Passée l'intro, Johnny Marr déboule sous forme de single ravageur, harmonica façon Antoine et ses problèmes, jerk endiablé comme à la belle époque. Bleu abandonne un temps le côté garage pour une pop sixties moins typée, nouvel intermède pour un blues façons Car Hiss by my window des Doors, intitulé Mauvais trip child ou l'harmonica frappe à nouveau. Complètement stone, guitare Fuzz au vent, d'inspiration Kinks continue d'ancrer le tout dans les années 60 quand La chimère vient rompre la belle unité, tirant plus vers les Aphrodites' child. I'm leaving my way, seul morceau en anglais est paradoxalement celui ou l'inspiration anglo-saxonne est la moins prégnante. Rupture complète de style avec le titre qui donne son nom à l'album, La bourgeoise, plus Gainsbourg, tu meurs, un sax en solo en arrière plan, une voix qui parle sur quelques harmonies, étonnant car décalé. Nazz, intermède mouillée, précède le sauvage Les Cryptones, face B d'un quelconque ? and the mysterians. Dr Gonzo mixe Le titre précédent avec la bourgeoise, moitié anglais moitié français, bel hybride. 13ème titre et nouvel ovni, Gigolo, banjo sur du Dutronc, intermède instrumental avec Sa majesté, enchaînant sur Stax !, hit en puissance, l'album se ferme sur la seconde partie de la bourgeoise, ou l'ensemble du voyage musical est passé en revue, point final orgasmique à un bel album.
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