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The Beach Boys - That's Why God Made the Radio  -  par Sucrepop

The_Beach_Boys.jpgLargement plus de 3 siècles à eux 5. Pas d'albums depuis plus de 20 ans, ils se sont brouillés, déchirés en justice, deux sont décédés, les infos annonçant un Brian Wilson ayant retrouvé toutes ses facultés faisant régulièrement surface sans qu'il y ait personne pour y croire. Ils ont raté plus d'albums et de titres qu'il n'est permis à un artiste, se sont souvent perdus, rarement trouvés, bref personne pour croire que cette réunion pour fêter les 50 années d'existence du groupe puisse avoir une autre raison d'être que d'empocher une dernière fois un pactole. Pour faire plus authentique, ils ont été jusqu'à convoquer David Marks, guitariste entre 1962 et 1963. Et puis il y a le disque. et là ... Voilà que les Beach Boys se mettent à faire un disque des Beach Boys, celui que les fans attendaient. Plongée dans les sixties, retour à la case départ. Oh, bien sur, pas de Pets sounds ici, Good vibrations ou Caroline no ne sont pas au rendez-vous. Mais tout de même, leur meilleur album depuis une éternité et demi. D'entrée de jeu, a capella, juste pour rappeler qui sont les patrons,  Think about the day. Et j'entends Laurent Voulzy sangloter d'ici. A peine 1'30 au compteur et ils frappent au coeur. Et d'enchaîner sur le titre qui donne son nom à l'album That's why God made the radio. Direction American Graffiti, le rêve américain, un pur moment de magie. Quelque soi celui qui prenne le lead vocal, ç'est la chair de poule assurée. Shelter, Daybreak over the ocean auraient pu se trouver sur n'importe quel album de l'époque bénie ou ils étaient les seuls à même de faier la nique aux Beatles. From there to back again renoue avec les chefs d'oeuvre façon In my room et le disque se termine sur une plage signée, évidement, Brian Wilson, Summer's gone, composée je cite, pour être l'ultime chanson de l'ultime disque des Beach Boys. Un point final à la hauteur de la légende, le bruit des vagues pour se séparer définitivement. L'été est de retour.

The_Beach_Boys.jpgLargement plus de 3 siècles à eux 5. Pas d'albums depuis plus de 20 ans, ils se sont brouillés, déchirés en justice, deux sont décédés, les infos annonçant un Brian Wilson ayant retrouvé toutes ses facultés faisant régulièrement surface sans qu'il y ait personne pour y croire. Ils ont raté plus d'albums et de titres qu'il n'est permis à un artiste, se sont souvent perdus, rarement trouvés, bref personne pour croire que cette réunion pour fêter les 50 années d'existence du groupe puisse avoir une autre raison d'être que d'empocher une dernière fois un pactole. Pour faire plus authentique, ils ont été jusqu'à convoquer David Marks, guitariste entre 1962 et 1963. Et puis il y a le disque. et là ... Voilà que les Beach Boys se mettent à faire un disque des Beach Boys, celui que les fans attendaient. Plongée dans les sixties, retour à la case départ. Oh, bien sur, pas de Pets sounds ici, Good vibrations ou Caroline no ne sont pas au rendez-vous. Mais tout de même, leur meilleur album depuis une éternité et demi. D'entrée de jeu, a capella, juste pour rappeler qui sont les patrons,  Think about the day. Et j'entends Laurent Voulzy sangloter d'ici. A peine 1'30 au compteur et ils frappent au coeur. Et d'enchaîner sur le titre qui donne son nom à l'album That's why God made the radio. Direction American Graffiti, le rêve américain, un pur moment de magie. Quelque soi celui qui prenne le lead vocal, ç'est la chair de poule assurée. Shelter, Daybreak over the ocean auraient pu se trouver sur n'importe quel album de l'époque bénie ou ils étaient les seuls à même de faier la nique aux Beatles. From there to back again renoue avec les chefs d'oeuvre façon In my room et le disque se termine sur une plage signée, évidement, Brian Wilson, Summer's gone, composée je cite, pour être l'ultime chanson de l'ultime disque des Beach Boys. Un point final à la hauteur de la légende, le bruit des vagues pour se séparer définitivement. L'été est de retour.

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Publié le 03/06/2012 @ 18:37   Tous les billets   Prévisualiser...   Imprimer...   Haut


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