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Francis Cabrel - Vise le ciel - par Sucrepop
Que Cabrel finissent par se coleter avec la montagne Dylan n'a rien d'étonnant, pour qui suis le bonhomme depuis longtemps, cet amour n'a rien de secret et l'influence du Zim revendiquée et affirmée haut et fort. Et donc, longtemps après Hugues Auffray, premier passeur de la poésie du troubadour ricain, voilà notre homme tranquille qui y va de son hommage, panne d'inspiration pour ses propres chansons oblige. De mon côté, avant écoute, je suis partagé. La pléthorique discographie de Dylan recèle, de mon point de vue, bien plus de daubes que d'éclairs de génie, sa voix m'est la plupart du temps insupportable et je n'apprécie au mieux le bonhomme qu'interprété par d'autres - Byrds, Baez et consorts - ce qui du coup tombe bien. Ma maitrise de la langue anglaise m'empêche probablement d'apprécier toute la finesse de ses textes, on est clairement loin de la pop Beatles dans ce domaine. Monsieur Cabrel s'est attelé à la dure tâche d'adapter - et non de traduire, mission quasi impossible - la poésie du Bob et résultat, un album moins bon que ce à quoi il nous a habitué mais très correct néanmoins. Moins bon car la patte mélodique de Dylan reste tout de même l'un de ses points faibles et comme le bon goût a voulu qu'ici des titres très connus voisinent avec d'obscures chansons, il est aisé de s'apercevoir que, mélodiquement, ça ne casse pas trois pattes à un canard. Par contre voix et orchestration, son général de l'album, sont en droite ligne de ce que propose l'homme d'Astaford habituellement, confort Pullman à tous les étages. Côté textes, faut croire que je suis franchement allergique à l'écriture Dylanienne, même passée par le prisme de Cabrel. Une succession d'images qui ne me touche que rarement, confirmation que j'ai peu d'affinité avec cet artiste. Vise le ciel est le titre de ce disque, et, comme cela le laisse entendre, viser le ciel, c'est avoir de forte probabilité de ne rien toucher. Si l'on en croit Francis Cabrel, cet album aura au moins eu le mérite de le remettre sur les rails de l'inspiration, et, rien que pour cela, il est le bienvenu.
Que Cabrel finissent par se coleter avec la montagne Dylan n'a rien d'étonnant, pour qui suis le bonhomme depuis longtemps, cet amour n'a rien de secret et l'influence du Zim revendiquée et affirmée haut et fort. Et donc, longtemps après Hugues Auffray, premier passeur de la poésie du troubadour ricain, voilà notre homme tranquille qui y va de son hommage, panne d'inspiration pour ses propres chansons oblige. De mon côté, avant écoute, je suis partagé. La pléthorique discographie de Dylan recèle, de mon point de vue, bien plus de daubes que d'éclairs de génie, sa voix m'est la plupart du temps insupportable et je n'apprécie au mieux le bonhomme qu'interprété par d'autres - Byrds, Baez et consorts - ce qui du coup tombe bien. Ma maitrise de la langue anglaise m'empêche probablement d'apprécier toute la finesse de ses textes, on est clairement loin de la pop Beatles dans ce domaine. Monsieur Cabrel s'est attelé à la dure tâche d'adapter - et non de traduire, mission quasi impossible - la poésie du Bob et résultat, un album moins bon que ce à quoi il nous a habitué mais très correct néanmoins. Moins bon car la patte mélodique de Dylan reste tout de même l'un de ses points faibles et comme le bon goût a voulu qu'ici des titres très connus voisinent avec d'obscures chansons, il est aisé de s'apercevoir que, mélodiquement, ça ne casse pas trois pattes à un canard. Par contre voix et orchestration, son général de l'album, sont en droite ligne de ce que propose l'homme d'Astaford habituellement, confort Pullman à tous les étages. Côté textes, faut croire que je suis franchement allergique à l'écriture Dylanienne, même passée par le prisme de Cabrel. Une succession d'images qui ne me touche que rarement, confirmation que j'ai peu d'affinité avec cet artiste. Vise le ciel est le titre de ce disque, et, comme cela le laisse entendre, viser le ciel, c'est avoir de forte probabilité de ne rien toucher. Si l'on en croit Francis Cabrel, cet album aura au moins eu le mérite de le remettre sur les rails de l'inspiration, et, rien que pour cela, il est le bienvenu.
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