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Billets du 04/12/2011
Laurent Voulzy - Lys and love  -  par sucrepop

Laurent_Voulzy.jpgLaurent Voulzy - Lys and love

Des artistes dont j'attends les albums avec autant d'impatience, il y a en a combien ? trois, quatre ? Mc Cartney, Jeff Lynne, encore plus rare que Voulzy, Berger, mais cela n'arrivera plus ... Bref tout ça pour vous dire que ce Lys& Love, 5ème album de chansons originales sous son nom  en quasi quarante ans, était attendu de pied ferme. Jeanne, le single sorti il y a quelques semaines m'avait enchanté, l'album, annoncé comme d'inspiration franco-anglaise, le meilleur des deux mondes, plus une touche de concept moyen-âge, avait tout pour me séduire, bref il arrive, silence tout le monde, j'éteins les lumières et hop, c'est parti pour un voyage en apnée. D'ou je remonte, sinon déçu, comment dire ... si déçu. L'impression que la forme a été privilégié sur le fond. D'ou ré écoute, puis re ré écoute, etc, histoire de trouver la clef, de ne pas rester dehors, alors que je lis tous mes camarades des gens d'avril qui donnent l'impression d'être tous séduit. Et voici, après une bonne douzaine de passages sur mon Mp3, attentifs ou non, dans différentes conditions, mon tour du propriétaire.

Le tableau : Sur un accord de synthé répété ad nauseam, le maître des lieux parle. Nous sommes plus là devant un prologue qu'une réelle chanson, le décor est dressé, le fil conducteur de l'album est posé, ne reste plus qu'à le suivre.

Jeanne: La grande chanson de l'album, la plus efficace, commercialement, la plus facile aussi, certainement, portée par de somptueux arrangements de cordes enregistrés à Abbey Road - je serais d'ailleurs curieux de connaître la part qui revient à Franck Eulry, co-réalisateur de l'album. Les paroles, simples, sont d'Alain Souchon. Une mélodie qui entre vite en tête, bref du Voulzy quoi.

Glastonbury ; Des oiseaux, le galop d'un cheval, des corbeaux, une basse derrière une nappe de synthé, du Voulzy façon Caché derrière. Il chante en anglais, le titre est un peu - beaucoup - répétitif, près de 6'30 tout de même, sans énorme variation, clairement plus ambiance que popsong.

En regardant vers le pays de France : Sur un vers de Charles d’Orléans, qui remonte aux années 1400 Laurent dresse une chanson ou il est prisonnier d'amour. Alternant anglais et français,, rejoint par son amie Nolwenn Leroy dans les choeurs, on y entend les premiers accords de guitares. L'orchestration hésite entre pop et réminiscence moyennageuse, bref en plein dans la thématique. Aucune chance d'en faire un single efficace mais la patte du maestro est omniprésente. 

Blackdown : Comme son titre le laisse deviner, anglais à fond, quasi mantra dans sa manière d'utiliser la répétition, les oiseaux restent en tâche de fond et le morceau est tout à fait ordinaire.

C'était déjà toi : Un single potentiel, le copain Alain une nouvelle fois derrière le texte, confirmant, s'il en tait besoin, que leur association fait des merveilles. Ce n'est pas une immense chanson, mais elle a indéniablement ce petit truc qui séduit, on y entend des échos de l'album Bopper en larmes, d'autres de Caché derrière, le type de chanson qu'il ne pourrait renier, les synthés continuent de dominer les débats, les choeurs répondent en anglais aux vers en français, un itre qui pourrait peut être fonctionner de l'autre côté de la Manche, son actuelle terre d'adoption.

 Ma seule amour. Ou Charles d'Orléans est une nouvelle fois mis à contribution. Il y a une certaine émotion à s'imaginer ce personnage, décédé il y a tant d'années retrouver un peu vie par la magie de la musique. L'épine dorsale de ce titre ce sont les choeurs,  immenses, imposant aussi beaux que peuvent l'être les voix se mêlant. Roger Daltrey (oui, celui des Who) en guest star en tant que choriste de luxe. Bon, peut être que réduit à l'os, guitare/voix, la magie s'estomperait, mais en l'état, ça le fait. Il aurait été question d'album complet avec le Roger. Je doute que cela se fasse mais ...

Our song. claviers toujours - Laurent, ou as tu rangé tes guitares ? -  façon Korgis Everybody's got to learn sometimes, ou s'invite une comptine, Vlà bon vent, et quelques arpèges de guitares. Orchestralement, c'est beau, la montée de cordes est redoutable, Pas de l'inoubliable single, mais au coeur d'un disque, un morceau travaillé, recherché qui donne de la profondeur.

Le ciel et la terre ; Retour des choeurs, quasi mystique cette fois, la messe est proche  - après tout nous sommes au ciel - Titre quasi instrumental, un seul vers étiré ad libitum,  ou les synthétiseurs s'allient avec le classicisme des voix. M'évoque parfois l'Alan Parsons project, pas nécessairement dans ces heures les plus brillantes. L'idée initiale de Laurent état parait il de faire un disque de techno, un reliquat ?

La nuit ; Pur ovni. non pas musicalement, c'est signé Souchon/Voulzy à 100% mais dans le cadre de ce disque. C'est un titre guitare voix typique de notre Lolo star, qui détonne complètement dans le cadre de ce disque. J'ai lu ici et là, des comparaison avec Blackbird dès qui vous savez ou Jenny Wren de Sir Paul. J'aurais bien aimé que le titre soit de ce niveau, et bien que ce soit un chouette titre, il ne rivalise pas avec ceux ci.

La 9ème croisade : Le titre qui fait couler de l'encre. Pas son ampleur, plus de 14', son ambition, le titre à part qui fait d'un bon album un grand disque. Bon, moi, je m'y ennuie. L'occident s'y mélange avec l'orient, instruments issus des deux mondes, chants en arabe, choeurs façon grégorien, Après une intro de 3 minutes, place à l'Arabie, Ok, cela montre l'ouverture d'esprit de Mr Voulzy, soit, mais, faute probablement d'être familier avec ce style de musique qui s'assimile pour moi, à tort certes, à du folklore, je décroche vite. La pop me manque. retour des choeurs, puis, arrivée à la moitié du chemin, retour des cordes, les aller retour entre ces deux visions étant de plus en plus fréquentes jusqu'à ce fondre.  Le message Love is everywhere en point d'orgue. All you need is love m'allait mieux. je vais vite zapper ce titre sur ce disque.

J'aime l'amour : 12ème et dernier titre. synthé toujours, c'est son album ou les guitares sont les moins présentes même si ici, on les entends égrener la mélodie, une voix chargée d'effets, un titre assez lent qui s'éteint doucement. La répétition une fois encore en modèle mélodique 

Près d'une heure de musique, de ces 5 albums le plus déconcertant, le moins facile d'accès car moins de chansons populaires, radiophoniques, une mise en son toujours exceptionnelle, on devine l'énorme travail derrière ces deux ans de boulots. Reste que pour moi, basique amateur de popsong éternelles, ces 10 ans d'attente me laisse un peu sur ma faim, j'aurais souhaité que ce disque soit chargé de plus de hits, que les futurs best-of de notre Bopper soient abreuvés à cette source. Je doute qu'il en soit ainsi. Un beau disque dans sa discographie, mais qui ne surclasse pas les précédents 

Publié le 04/12/2011 @ 18:55  - aucun commentaire - aucun commentaire - Voir? Ajouter le vôtre ?   Prévisualiser...   Imprimer...   Haut
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