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Parution du 1er album d'A Loulia, Dévalise moi les paupières. Les textes sont à l'évidence le point d'ancrage de ce disque, et si l'optimisme n'y est pas de rigueur, c'est le moins que l'on puisse dire, la noirceur y est non pas compensée mais accompagnée par des atmosphères musicales assez disparates, sans que jamais l'ensemble ne perde de son unité. Le beau timbre de voix de Mélanie n'y est certes pas pour rien, et le plaisir d'interpréter ses textes est palpable. Moins pop que je ne m'y attendais, mais A Loulia sait marquer sa différence et force le respect. La chronique |
Une paire d'années que Meilue peaufine ses textes sur des musiques à couleur guitares électriques. Les cordes vocales du chanteur, son atout majeur, sont passées au papier de verre pour nous râper délicieusement les oreilles. Toi, qui ouvre l'album, est réminiscente de Pars, une chanson d'un autre grand chanteur à la voix éraillée, Jacques Higelin. La similitude s'arrête là. Meilue met ses textes en avant, souvent assez sombres, et le côté rock l'emporte largement sur le côté pop. On peut penser à Noir Désir, parfois, avec ces parfums de révolte qui flotte tout le long des 10 titres du disque. | ![]() |
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Second disque à paraitre début mars pour Anthony Fletcher, intitulé Paris. Son premier m'était resté quelque temps dans les oreilles, et le petit dernier prend le même chemin. Des popsongs efficaces (15 heures, Aquagym, Une case en moins ...) dans la lignée d'un Daho des premiers temps. Comme l'Etienne, Anthony n'est pas un grand chanteur mais il sait utiliser cette relative faiblesse au bénéfice de chansons que vous vous surprenez à siffloter au coin de la rue. Des arrangements ciselés font de ce disque un beau cadeau pour ce printemps. |
Un peu d'histoire. Avant Soup ! l'un de mes groupes chouchous il y avait les Allumettes. Et comme le talent ne s'use que si l'on ne s'en sert pas , Daniel prenait déjà bien garde d'utiliser le sien un max. Donc si la pop classieuse des premiers vous séduisait, nul doute que vous preniez feu derechef avec cette boite d'allumettes puisqu'ils puisent leur inspiration à la même source. C'est carrément bon et ne nous fait que regretter Daniel encore un peu plus. | ![]() |
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Jouant dans la même catégorie de groupes bourrés de talent au point d'en imploser, Victoria s'est enfin offert un myspace à titre posthume. Les quelques titres qui trainent dans les limbes du net indique clairement que nous tenions là du lourd. Cette pop là pouvait nous permettre d'affronter Albion sans rougir. Si c'est pas du gâchis ça. Parait que les membres officient dans de nouveaux groupes, ils sont ou ? On me cache tout on me dit rien ![]() |
Encore un rab de pop ? Jacques Delorenzi m'a contacté pour me proposer de participer à Sucrepop sur un titre. Gage de bon gout ![]() |
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Allez, les fêtes sont passées, mais pas le temps des cadeaux. Celui ci n'est pas de moi, je fais juste passer l'info Hors donc, pour Noël un avisé internaute (le webmaster de power pop criminals pour ne pas le nommer) décide de faire un cadeau à la communauté en compilant un double album regroupant des chansons influencées par les Beach Boys, plus particulièrement Brian Wilson et encore plus particulièrement le chef d'oeuvre qu'est God only Knows. pas loin de 50 titres (ah oui, quand même) célébrant tous le même rite. C'est très sucré, très très sucré même, jusqu'à l'overdose; mais dieu que c'est bon. D'obscurs groupes et quelques pointures, à ne manquer sous aucun prétexte (dispo au moment ou j'écris sur le site pré cité ou chez free) pas sur que cela dure alors précipitez vous (attention plus de 350Mo quand même). |
Puisque nous sommes dans les sixties, n'en bougeont pas. Au hasard de mes pérégrinations sur le net je tombe parfois sur des albums auquel je n'aurais pas pensé. Tel un France Gall datant de 1968. De France Gall, si je connais par coeur la discographie période Berger, hormis les tubes style Poupée de son, les sucettes et autre sacré Charlemagne, sa discographie adolescente m'échappe un peu. Comme un internaute avais mis à disposition ce disque, accompagnés de commentaires laudateurs, j'ai prêté une oreille. On lui faisait quand même chanter de sacrés conneries à la petite, et sa voix est même parfois carrément horripilante. Mais quelques perles surnagent, généralement signées Gainsbourg tel ce Nefertiti que je ne connaissais pas et que je vous laisse découvrir, kitchissime mais chouette quand même. | ![]() |
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Allez direction plein Est. Europe de l'Est pour être précis, en compagnie de Tziganesh'ti. Leur nom vous aura mis sur la voie, musiques issues de Roumanie, Russie, Hongrie et bien sûr klezmer sont au menu. Un album à paraitre, enregistré par Philippe Jasmin de Totem Production, gage de qualité, nous emmène dans des contrées certes très éloignée de la pop, mais qui toucheront à n'en point douter certains d'entre vous. Violon, accordeon, clarinette, un cymbaliste hors pair (cyril dupuy), bref des musiciens de haut niveau pour une musique exigeante et festive. |
Un joli minois, mais pas seulement, un joli filet de voix, mais pas uniquement, voici Natyca, comédienne, danseuse, chanteuse, auteur. Un album en préparation semble t'il, ses titres sur son myspace marchent sur le fil entre pop - Mc Allistair - et variété - Une nouvelle femme -. De quel côté va t'elle finalement tomber that's the question. J'ai peur que ce ne soit la seconde option qui l'emporte, Si c'est le cas, dommage, il y a le potentiel pour autre chose. Laissons lui le bénéfice du doute, à suivre donc ... (de toutes façons, quoiqu'elle chante, tant qu'elle garde ses couettes... ![]() |
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J'écoutais je ne sais quelle obscure radio dans ma voiture quand j'ai entendu une jolie bossa chantée par une jolie voix féminine. Sous le charme, je retiens les paroles du refrain, la plume et le plomb. Une recherche sur le net, et voici Ana Pankratoff sur Sucrepop. Son 1er disque est sortie fin 2007. Les autres titres ne sont pas d'inspiration bossa, mais restent dans un univers tout doux et intimiste un poil jazzy, un peu dans l'esprit du 1er Coralie Clement. La belle écrit ses musiques et délègue la conception de ses textes. Un heureuse découverte à qui je prédis un bel avenir.Hey, les maisons de disque, au lieu de m'envoyer des trucs de hip hop dont à l'évidence je ne parlerais jamais, c'est à des trucs comme cela qu'il faut penser. |
Une qui a une bonne partie de son avenir derrière c'est Patricia Kaas. Qu'elle sorte de bons ou de mauvais albums, tout le monde s'en tape un peu. Après quelques années d'absence, pour se ressourcer, elle nous fait son comeback avec une impressionnante couverture médiatique dont j'aurais aimé que la demoiselle dont je parle juste avant bénéficie. L'album s'intitule Kabaret et je m'attendais à un concept album sur ce thème qui colle à l'image qu'elle s'est donnée, et non, c'est un album ordinaire, sans fil conducteur. Evidemment elle a toujours cette impressionnante voix qui lui permet de chanter n'importe quoi. Le problème c'est que justement , elle chante n'importe quoi. Quand on est interprète, la seule priorité c'est de choisir des chansons. Melle Kaas semble avoir oublié qu'une chanson c'est, certes, un texte mais aussi une mélodie, ici toutes plus inodores, insipides et passe partout les unes que les autres. Ce n'est pas avec ce Kabaret qu'elle va se refaire une santé. | ![]() |
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Bon, refaisons nous une santé pop avec The Kavanaghs, un groupe argentin qui fait du power pop avec un aplomb et un enthousiasme qui emporte l'adhésion. Difficile de de ne pas entendre dans leurs singles là une bribe de Beatles, là un doigt de Badfinger ici une harmonie made in Beach Boys. Mais toutes ses influences sont digérées pour une pop qui à défaut d'être originale est très accrocheuse, et c'est bien tout ce qui est demandé à ce style. Un album est en route et promet d'être un très bon cru, on en reparle. |
Restons en pays hispanophone avec Julia Calatayud, Espagne.Ce qui m'a surpris dans ses compos, hormis le côté maquette prononcée, c'est l'éclectisme. Une première ballade acoustique laissait présager une autre de ces chanteuses romantiques qui pullulent sur le net, le second titre s'ouvre sur un riff et un beat agressif pour laisser place à un rock débridé ou la voix s'arrache carrément, le troisième balance une belle intro ou le piano se taille la part du lion, bref c'est jeune, décousu et ça fait plaisir à entendre. | ![]() |
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Lui (ou elle ?) a choisi le nom de son chien pour nom d'artiste. Tchoupi donc. Qui instinctivement me fait plutôt penser à une musique pour enfant. Perdu. Option new age, instrumental donc, symphonique dans sa conception parfois, l'album est dispo sur son site et moi qui ne suit pas fan de ce type de musique, j'ai beaucoup aimé Chrysalide par exemple. Un sens de l'orchestration et de la simplicité des compos que j'apprécie. |
Des chansons aux influences diverses, un peu jazz, un peu swing, un peu chanson, c'est la combinaison qu'offre Fabienne Sabatrie. Un peu de soleil dans la voix, son album, Breves rencontres, date de 2006 mais je ne le découvre qu'aujourd'hui. Les quelques titres disponibles sur le net ont un parfum latino, puisque enregistrés avec des musiciens argentins. | ![]() |
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Un piano et une voix ou l'on perçoit des intonations de Veronique Sanson, c'est Ju'L. Une technique pianistique issue du classique (Chopin, Satie ...) au service des mots. On pense à Barbara, évidemment, en plus de la Véro suscitée. Manque des mélodies plus mémorisables, plus efficaces pour pleinement convaincre. |
Un petit détour vers un vétéran. Un 1er album qui laissa tout le monde sur le cul, un second tout aussi exceptionnel, puis une rapide désaffection du public au fil des albums suivant, principalement du à des compos sans inspiration. Christopher Cross aura marqué les années 80 de son empreinte, grâce à des compositions lumineuses et sa voix haut perché, reconnaissable entre mille. Retour avec un album nommé Café Carlyle Sessions ou sont repris quelques unes de ses plus célèbres compositions (Arthur's theme, Sailing, Ride like the wind) et d'autres plus obscures le tout dans un format moins pop/rock et plus jazz. Avec cette voix et ses compos, difficile de rater son coup, ça sonne, c'est beau et une bonne introduction à son univers. Néanmoins, faute de nouveaux titres, je reste sur ma faim. | ![]() |
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Il a des guitares qui font rêver, avec lesquelles il fait de la musique dans plein de groupes en pensant qu'on ne va pas le reconnaitre. Mais qu'il soit Dans Aura, Nel & les Touristes, les Flying Torpedoes ou les Beatles, c'est toujours JeanMi Chapron qui carillonne. Alors comme il vient d'ouvrir son site à lui tout seul, je fais rien qu'à le dénoncer. Il m'envoie Je cherche, qui est une bonne chanson, et balance Je dérive sur le web qui est en est une excellente. Même que maintenant c'est lui qui chante et que ça le fait bien. |
Plutôt chiche d'infos le site web d'E-waste, ils sont 4, dont une chanteuse du tonnerre et un guitariste pas manchot, et font du rock. Pas du genre avec de la pop dedans. Non, non, du rock pur et dur, avec le zeste de blues qui colore bien. Actuellement en studio, ils ont eu la bonne idée de mettre en ligne leurs premiers vagissements. Rien qui va changer la face du monde, mais ce sont des groupes comme celui qui perpétuent la tradition et porte la bonne parole et qui font toujours plaisir à entendre. | ![]() |
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Déjà le cinquième album pour La grande Sophie, des vagues et des ruisseaux est son nom. Comme sur ces précédents albums il y a du bon et du dispensable sur ce disque. Plus folk, plus apaisé aussi peut être, elle aborde des styles un peu différents, un tango avec Pardonner, une valse avec la valse des adieux, un démarquage de Poulailler song de Souchon avec Dans le Show business, une très jolie reprise de Quand reviendras tu ? de Barbara. Quelques refrains bien tournés restent en tête (Celui de Ce jour, plombé malheureusement par les choeurs du couplet). Le single, Quelqu'un d'autre risque tout de même d'être bien esseulé. A noter la participation à la réalisation sur quelques titres d'Edith Fambuena qui est quand même l'une des plus douées dans le domaine. |
mARThelene, un nom particulier pour un groupe dont la composition laisse perplexe. 4 instrumentistes avec percussions, chant et violoncelle, tuba et harpe. Allez vous faire une place au soleil avec ça. Et pourtant le résultat est un premier album, Démons des anges dont les titres en écoute laissent deviner une heureuse surprise. Une couleur à part, difficile d'y échapper avec une telle instrumentation, mais qui séduit, en partie parce que la voix de Marthe-Hélène à ce petit grain qui fait la différence mais également parce que les morceaux sont attractifs | ![]() |