Oh je marchais dans la rue, quand soudain je ne vis plus rien, transformée en oiseau, je volais là haut. Et je me sentais légère, transparente comme l'air, transformée en oiseau tout était si beau.
Les villes sous moi, coulaient comme un torrent tourmenté et violent. Les bruits citadins disparaissaient, fondus au firmament, et je restais libre, heureuse de vivre seule dans les cieux, seule avec les dieux.
Délivrée de toutes chaînes, libérée calme et sereine transformée en oiseau, je volais plus haut. L'horizon m'attirait et le printemps m'attendait transformée en oiseau rien n'était plus beau.
brumes fugaces, dans le soleil le monde s'efface au milieu du ciel tout s'évanouit, l'espace est grand, l'espace est infini je ferme les yeux, me laissant bercer par le vent au gré de ses voeux et enfin, je m'endors, ravie de mon sort.
Oh je volais dans les nues, quand soudain je ne vis plus rien transformée en humain, je n'y comprends rien se sentir lasse et lourde, et ces bruits qui me rendent sourdent transformée en humain, tel est mon destin.
Mais je garde au fond de moi, ces quelques instants là que j'avais vécu, l'oiseau soudain, que j'étais devenue quand, je m'sentais libre, heureuse de vivre seule dans les cieux, seule avec les dieux.
J'ai depuis des années cette idée de cingler vers d'autres horizons d'me tirer, d'me casser une envie qui ne fait qu'augmenter, empirer une envie qui me ronge et me fait délirer
Même les plus fortes chaînes je saurai les briser je suis vide de haine n'ai rien à regretter ce n'est pas un problème que de tout quitter car enfin je m'emmène ou je rêvais d'aller
Plus haut plus haut plus haut plus haut que les plus haut nuages plus haut, plus haut, si haut si haut que de ce voyage jamais je ne reviendrai et c'est ce qui me plaît
C'est pas que je sois mal ici mais je m'ennuie j'ai vue d'autres pays ailleurs c'est comme ici je lève les yeux au ciel vers l'espace infini je l’entends qui m'appelle, je m'envole vers lui
Plus haut plus haut plus haut plus haut que les plus haut nuages plus haut, plus haut, si haut si haut que de ce voyage jamais je ne reviendrais et c'est ce qui me plaît.
Auteurs : Laurent/Philippe Musique: Philippe Arrangements et réalisation: Atom
Quand dans ma tête résonnent, trop de mes chansons, quand par ma voix, c'est l'habitude qui s'époumonne, je me murmure tout bas jamais deux sans toi.
Et quand je me sens trahie, qu'une autre me semble vivre ma vie, quand mes passions passent à l'ennemie, quand même sur scène je m'ennuie, jamais deux sans lui.
Discrète alchimie entre mes mélodies et son prénom qui reste dans l'ombre, une simple addition, une équation dont tu es l'inconnue, le compte est bon. Secrète et noire magie qui m'allie à lui c'est mon alibi, la chanteuse a une vie privée aussi, jamais deux sans lui.
Quand mes souvenirs s'emmèlent, recouvrant d'un brouillard autrefois , quand mes désirs s'en mêlent et vogue ma mégalomania jamais deux sans toi.
Quand je pars le coeur battant, que je reviens le corps battu, quand je me rappelle trop souvent qu'un jour de moins c'est un jour de plus , jamais je sans tu.
Discrète alchimie entre mes mélodies et son prénom qui reste dans l'ombre, une simple addition, une équation dont tu es l'inconnue, le compte est bon. Secrète et noire magie qui m'allie à lui c'est mon alibi, la chanteuse a une vie privée d'ennui.
Auteur compositeur; Philippe Perelman Chant : Isabelle
Lovée au creux de son nid la bête est encore endormie réveilles la Une main doucement l’étreint une caresse de satin réveille toi Lentement l’animal se redresse réponse à celle qui l’agresse prend garde à toi
La charmeuse de serpent son savoir faire venu du fond des temps face à l’animal rouge sang duel à l’issue évidente
Sa tête oscille doucement au gré du rythme envoûtant qui est la proie ? la flûte irrésistiblement l’happe hypnotiquement abandonne toi La charmeuse de serpent son savoir faire venu du fond des temps face à l’animal rouge sang duel à l’issue évidente Alors crache crache crache ton venin ta morsure au suc divin alors crache crache crache ton venin la petite mort qui s’en vient
le goût salé de la victoire baiser du vaincu à Cesar Reine de Saba
Un drôle de combat qui prend fin toi la victime moi l'assassin et vice versa
La charmeuse de serpent son savoir faire venu du fond des temps face à l’animal rouge sang duel à l’issue évidente
Du 7eme ciel au nirvana qui du fakir de la geisha a pris le pas. Un drôle de combat qui prend fin toi la victime moi l'assassin et vice versa.
Auteur-Compositeur: Philippe Perelman Chant Stéphanie
Fuir toujours s'enfuir toujours courir aucune foi en l'avenir et pour seule certitude que ça va mal finir et aucune solution pour m'en sortir
Fuir, toujours s'enfuir toujours courir sachant comment ça va finir devant un fusil dans une mire sans rien voir venir et mon corps dans la poussière face contre terre dehors une dernière fois dans la lumière
Je sais, ce que je suis je l'ai cherché j'ai tué, pillé, brûlé, volé dans les journaux à la télé, on me dit sans pitié Et maintenant l'ennemie publique est traquée comme une bête féroce et enragée l'ennemie publique est fatiguée
Ma jeunesse n'est pas une excuse je sais oui tous ces crimes dont on m'accuse je les ai commis et si je ne m'abuse j'ai toujours souhaité en arriver là
Plutôt que d'accepter en silence j'ai préféré faire parler la violence pour briser votre sale indifférence j'ai toujours souhaité en arriver là
Et pourtant, ce soir, au fond de moi tous ces cris, ce sang, ca rime à quoi ? Si c'était ma voie, elle mène à quoi ?
Ma vie m'a parue si courte si chienne les causes qui m'ont donné tant de peines si futiles si vaines
ou donc ai-je trouvé tant de haine ? ennemie publique mon sort est scellé oh ho ennemie publique cas désespéré oh oh ennemie publique en train de crever
Auteur compositeur: Philippe Perelman Chant Corinne Perelman Guitares: Slobo
Un jour, c'est sur, je me lasserais d'attendre de compter les moutons au ciel de notre chambre toi le lac endormi moi les gouttes de pluie qui frappent à ta surface sans jamais briser la glace
Un jour, c'est sur, je me laisserais surprendre dans les bras d'une blonde qui aura su comprendre à ses braises plus qu'à tes cendres je réchaufferrais mes décembres Je leverais l'embargo autour de ma libido
goodbye faut que j'm'en ailles goodbye faut que j'me taille
Un jour, c'est sur, de la carte du tendre je f'rais des confettis juste histoire de t'apprendre à ce lit ou il gèle à pierre fendre foutre le feu sans plus attendre et que brûles l'ennui et que brûles mes nuits
goodbye faut que j'm'en ailles goodbye faut que j'me taille Rendez-vous second cercle dans l'enfer de Dante Rendons-nous second cercle ensemble
Un jour, c'est sur je finirais par rendre les armes et tu crieras à qui veut bien l'entendre trahison, mais à tout prendre il ne faut pas s'y méprendre il n'y a que des enfants pour croire qu'une belle dort 100 ans
goodbye faut que j'm'en ailles goodbye faut que j'me taille goodbye sous d'autres sky goodbye j'te dis bye-bye
Un jour, c'est sur, je me lasserais d'attendre
Auteur compositeur Philippe Perelman Chant et guitares Luc Gaignard
Prend ma main, ferme les yeux en chemin pense à nous deux
la route est si longue, 1000 lieues et l'orage qui gronde 1000 feux
laisse passer toutes les secondes écoute les tomber dans la ronde
Pose tes mains, là sur mes seins soit certain le reste est vain
il m'a paru si long le chemin si souvent fait faux bond le destin
et à choisir, puisque il faut choisir autant laisser à d'autres le pire
Il pleut dehors, nous sommes si bien Restons couché ce matin nous rattraperons le monde demain ou en juin 2020
Fragile bulle au temps compté funambule au fil cassé je voudrais figer le temps je voudrais fixer l'instant
et qu'un Vesuve en éruption nous pompéïse à sa façon
Il pleut dehors, nous sommes si bien Restons couché ce matin nous rattraperons le monde demain ou en juin 2020.
Auteur compositeur Philippe Perelman Chant Nathalie Giudicelli
rois petits tours et puis s'en vont
Passent les jours, l'eau sous les ponts
Les gens qu'on aime, quand ils s'en vont
Laissent tant de peine tant de questions.
Auteur compositeur Philippe Perelman
A simple love song One that i've made on my own Just my way to stay around even when you're gone
A simple love song One that you can sing along one you can rely upon when you feel alone
It says I love you and I know some said it better It says I need you But i'm not a gifted writer It asks what about you ? I wrote this simple song for you
A simple love song Like a Paul Mc Cartney's song with simple words I can't be wrong that's all i've found
A simple love song cause when all is said and done This music whisper you're the one and says to everyone
It says I love you and I know some said it better It says I need you But i'm not a gifted writer It asks what about you ? I wrote this simple song for you
who says I want you and I know some said it better who says I love you I know i'm not a gifted writer I hope you love me too that's why I wrote this song for nous.
Auteur compositeur Philippe Perelman Guitares Luc Gaignard Chant Sylvie Roman
Le temps n'y change rien l'argent n'y change rien je ne peux trouver un meilleur plan l'atmosphère est si lourde en y pensant
les drogues n'y changent rien la vie n'y change rien même l'amour n'y change rien aucune influence ne n'atteint
de quelque chose j'ai besoin pour te faire changer d'un rien et je cherche, cherche en vain et je cherche toujours plus loin de quelque chose j'ai besoin pour te faire changer d'un rien et je cherche, cherche en vain et je cherche toujours plus loin
l'alcool n'y change rien même Dieu n'y change rien a croire que rien ne sert à rien et tu t'enfonces et moi je n'y peux rien
de quelque chose j'ai besoin pour te faire changer d'un rien et je cherche, cherche en vain et je cherche toujours plus loin de quelque chose j'ai besoin pour te faire changer d'un rien et je cherche, cherche en vain et je cherche toujours plus loin
La mort n'y change rien et ce rouge à peine carmin sous ton corps trace comme des dessins Comme des idéogrammes du destin
de quelque chose j'avais besoin pour te faire changer d'un rien j'ai cherché, cherché en vain j'ai cherché toujours plus loin de quelque chose j'avais besoin pour te faire changer d'un rien j'ai cherché, cherché en vain tu as eu le mot de la fin
Auteurs Erick Bigorne/Philippe Perelman Compositeur Philippe Perelman Chant Minorev
Ca ressemble a une route, dont on n'voit pas la fin, dès l'aube se mettre en route, il est long le chemin. Ca ressemble aux voyages aux siècles des grands marins Un océan de courage, l'inconnu pour voisin
ca n'ressemble à rien
Ca ressemble à l'espace, l'immensité sans fin ca ressemble à un spasme, un instant puis plus rien ca ressemble a l'automne, ou domine le brun un été de décembre, un lac gélé en juin
ca n'ressemble à rien
Mais quelle importance la vie s'écoule dans les deux sens elle penche la balance la vie s'écoule dans tous les sens tu peux tourner ça comme tu veux philosopher tant que tu peux
ca ressemble à tout ce que nous aurions pu devenir si nous l'avions voulu, si nous avions su choisir ca ressemble à ce sable qui glisse de nos mains qui jamais ne remonte, qui jamais ne revient
ca n'ressemble à rien
Mais quelle importance la vie s'écoule dans les deux sens elle penche la balance la vie s'écoule dans tous les sens tu peux tourner ça comme tu veux philosopher tant que tu peux
Ca ressemble à ces étoiles, dont la lumière parvient jusqu'à nos yeux profanes, longtemps après leur fin Ca ressemble à la mort, l'idée qu'on s'en fait du moins un mauvais coup du sort ou la délivrance enfin
ca n'ressemble à rien
Mais quelle importance la vie s'écoule dans les deux sens elle penche la balance la vie s'écoulesans qu'on y pense tu peux tourner ça comme tu veux philosopher tant que tu peux
Mais quelle importance la vie s'écoule dans les deux sens elle penche la balance la vie s'écoule dans tous les sens tu peux tourner ça comme tu veux philosopher tant que tu peux.
Auteur Compositeur: Philippe Perelman Chant Marijane Guitare solo: Benoît Boulet
Cette musique, petite fille du rock britannique cette musique et son complexe d'Oedipe problématique Tellement longtemps que l'on s'enivre de Liverpool, aujourd'hui à Paris je me défoule même si ça sonne plus soul en version originale moi j'la joue pop version bopper en larmes
Si cette musique, sonne un peu trop clean pour être jouée par des rebelles si cette musique ne sacrifie pas sur l'autel des décibels et si mon look n'est pas un look de punk et si ce rythme n'est pas un rythme de funk Je suis rocker de coeur et flash sur la Rickenbaker around the clock ou around the bunker
Jamais assez sauvage pour être rock dommage j'aurais bien aimé être considéré jamais assez sauvage toujours un peu trop sage étiquette variété pop c'est la porte d'à côté.
Cette musique, n'est qu'un dérèglement de votre sens mélodique non cette musique, ne vient pas des Etats Désunis d'Amérique. Si pour être crédible il faut venir de London alors désolé je ne chante que pour le fun mais dans l'espoir de squatter jours et nuits la bande FM bye bye everybody we love you quand même.
Jamais assez sauvage pour être rock dommage j'aurais bien aimé être considéré jamais assez sauvage toujours un peu trop sage étiquette variété pop c'est la porte d'à côté.
Jamais assez sauvage pour être rock dommage j'aurais bien aimé être considéré jamais assez sauvage toujours un peu trop sage étiquette variété pop c'est la porte d'à côté.
Paroles et musique Philippe Perelman Chant Laura Perelman