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Sucrepop - Album Sous influence

août 16, 2018 Temps de lecture: ~1 minute

Le rêveur solitaire

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

Dans l’aube qui s’achève, le rêveur solitaire emporté par sa fièvre, dort sans s’en faire. A l’ombre d’un rêve, dans les vapeurs d’éther, bulle de savon qui crève, se réveille en enfer. Dans son sommeil il vole vers elle c’est son sommeil qui la réveille.

Un autre jour se lève pour le rêveur solitaire, un jour de plus sans son Eve, de plus dans son désert. Un soupir soulève son corps sans partenaire, un sourire sur ses lèvres cache un coeur qui se serre. Dans son sommeil il vole vers elle c’est son sommeil qui la réveille.

Wo oh oh oh, Wo oh oh oh, seul sans elle. Wo oh oh oh, Wo oh oh oh, seul sans elle, en deuil d’elle

Il quête sans trêve le rêveur solitaire, la vie d’Eve fut si brêve, ses souvenirs si fiers. En songe il s’élève, vers celle qui lui est chère, mais quand ceux-ci s’achèvent, retombe dans la poussière. Dans son sommeil il vole vers elle, c’est son sommeil qui la réveille.

Wo oh oh oh, Wo oh oh oh, seul sans elle. Wo oh oh oh, Wo oh oh oh, seul sans elle, en deuil d’elle.

La nuit n’attend plus que lui, le rêveur solitaire, et du fond de son lit il rêve d’un cimetière.


Paroles et musique Philippe Perelman
Chant Stéphanie Vaginay


Annie nymphomanie

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

Annie, 13 ans et demi, premier petit ami. Baisers lèvres scellées, ont le goût du péché. Annie, dans son petit lit, a la nuit des rêves interdits, Annie a peur de lui, sa maman lui a toujours dit, sa maman lui a toujours menti.

Annie 16 ans aujourd'hui, se trouve dans un autre lit, Annie avec un ami de sa soeur elle sourit, de sa frayeur, de sa pudeur, et de cette douce langueur et ce jour là, le souvenir, d'avoir voué sa vie au plaisir, l'amour à n'en plus finir.

Billet doux d'une femme infidèle à ses royaux amants sensuels, rendez-vous pour péché charnel, cinq à sept, hôtel habituel, confidentiel.

Annie a des amants qu'elle trompe impunément. Annie a tant d'amants profite de ses 20 ans. Annie nymphomanie ne modère pas son appétit, Annie lit après lit reste toujours inassouvie, chaque soir elle change de mari.

Annie nuit après nuit, orgie après orgie, Annie nymphomanie, des hommes n'a plus envie. Annie qui s'assagit, Annie qui se cherche un mari, non Annie, il te reste aussi, pour satisfaire à ta folie, à goûter aux plaisirs interdits.

Billet doux d'une femme infidèle, à d'éventuelles maîtresses sensuelles, habillez vous sexy mes belles pour nouvelles caresses au pluriel, pour sensations exceptionnelles, pour sensations ascensionnelles, rendez-vous au 7 ème ciel, reconquête du plaisir éternel, confidentiel.

Annie seule dans son lit s’ennuie et se languit Annie seule dans sa vie vieillit en catimini Annie il est bien fini le temps des sucettes à l’anis annie ex reine de la nuit, tous tes amants qui te fuie solitude à l’infini

billet doux d’une femme modèle cherche liaisons occasionnelles rendez vous pour pécher véniel avec amant même infidèle billet doux d’une femme modèle paierait chère pour lune de miel cherche éventuel amant annuel pour combler son désir perpétuel noyer ce feu qui la harcèl


Paroles et musique Philippe Perelman
Chant Corinne Perelman


T'oublier

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

J'veux pas passer mon temps à compter le temps qui m'reste, à r'garder le soleil s'éclipser d'Est en Ouest, j'veux pas passer ma vie mes nuits à t'regretter, j'veux t'oublier.

J'veux pas passer mon temps à répéter que j'te déteste, sortir enfin d'ma chambre ôter des draps tes caresses, les odeurs les souvenirs c'est tout ce qu'il me reste, j'veux t'oublier.

T'oublier, t'effacer, t'oublier, tout gommer, tout solder.

Les compteurs à zéro le passé mis à l'index, les albums de photos au fond d'une forteresse, recoller les morceaux j'y arriverais presque, j'veux t'oublier.

J'veux pas passer mon temps à lancer des SOS quand un amour est mort on n'dit pas de grand messe j'en sortirais plus fort car j'ai eu la faiblesse, de t'aimer.

T'oublier, t'effacer, t'oublier, tout gommer, tout solder. T'oublier, t'effacer, t'oublier, tout gommer, tout solder.

J'ai renvoyé tes lettres parti sans laisser d'adresse, ta voix sur l'répondeur, en boucle et ces mots qui blessent, qu'importe le flacon pourvu que j'ai l'ivresse, de t'oublier.

Cette chanson de Lennon que t'écoutais sans cesse, ce parfum si léger qui flottait sur ta veste, tous ces riens qui m'agressent j'me fais cette promesse, les oublier.


Paroles et musique Philippe Perelman
Chant Pascal


La fille au yeux clairs

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

lle effleure les coeurs d'un doigt plein de douceur, et soudain tout s'éclaire dans ce monde de douleur. Une perle de pluie au milieu du désert, c'est elle que l'on appelle la fille aux yeux clairs.

Elle n'a pas de baguette magique, elle n'a pas d'intentions maléfiques, mais ses yeux clairs ont le chic pour étonner les plus sceptiques. Elle n'a pas de formules magiques, mais cette façon d'être authentique, dans ces yeux clairs est écrite, une loi l'amour est magique.

Elle nous sauve de nous, pardonne nos erreurs, elle est l'âme qui donne à nos vies leurs valeurs. Dans cet univers extraordinaire, C'est notre part de mystère, la fille aux yeux clairs.

Elle n'a pas de baguette magique, elle n'a pas d'intentions maléfiques, mais ses yeux clairs ont le chic pour étonner les plus sceptiques. Elle n'a pas de formules magiques, mais cette façon d'être authentique, dans ces yeux clairs est écrite, une loi l'amour est magique.

Elle efface sans heurt d'un seul regard nos peurs, c'est comme un ange qui veille sur nous, dans le malheur

Elle n'a pas de baguette magique, elle n'a pas d'intentions maléfiques mais ses yeux clairs ont le chic pour étonner les plus sceptiques. Elle n'a pas de formules magiques, mais cette façon d'être authentique, dans ces yeux clairs est écrite, une loi l'amour est magique.


Paroles et musique Philippe Perelman
Chant Marijane


Toxicomanies

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

Etre un adolescent c'est partager son temps entre la cour des grands et celle des enfants. Tout ça c'est pas facile, surtout si t'es fragile, c'est simple d'être en péril, quand tout te semble hostile. Alors pour oublier ou bien pour rigoler tu choisis de planer et oui, de te droguer.

Nous on a décidé, qu'il fallait en parler, un peu pour s'informer, un peu pour s'entraider. On a toujours le choix, on a même le droit, de ne jamais dire oui aux toxicomanies.

Shit, alcool et tabac, médicaments parfois Le dopage ça y va, et la loi dans tout ça ? C'est un drôle de mélange qui casse tous les échanges, finalement c'est étrange, tu vois ça te dérange.

Nous on a décidé, qu'il fallait en parler, un peu pour s'informer, un peu pour s'entraider. On a toujours le choix, on a même le droit, de ne jamais dire oui aux toxicomanies.

Et même si à notre âge, faut avoir une image, pas besoin de trucage, pour montrer ton visage.

Nous on a décidé, qu'il fallait en parler Un peu pour s'informer, un peu pour s'entraider On a toujours le choix on a même le droit De ne jamais dire oui aux toxicomanies.


Auteur Corinne
Musique Philippe Perelman
Interprètes: Dimitri - Marine - Caroline - Emmanuelle - Elsa - Sandra - Nathalie - Nassima - Sabrina - Nagi - Laura - Edeline


Tout est gris

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

Plutôt blanches les nuits, quand nous sommes ensemble, lovés dans un lit, amant et amante. Plutôt blanches nos nuits d'amour violentes, plutôt bleu le ciel, septième et sensuel, quand l'amour passion nous ensorcèle, plutôt bleu notre duo notre duel.

Mais tout devient gris quand tu t'en vas, tout est gris quand t'es plus là, la lumière, sur la terre, s'éteint quand je te perds.

Plutôt rouges les cris, on s'quitte c'est fini, puis sur l'oreiller on se réconcilie. Plutôt rouges nos crises de jalousie, plutôt blues les heures ou l'âme soeur je l'attendais pour calmer mes peines de coeur, plutôt blues cette absence de chaleur.

Mais tout devient gris quand tu t'en vas, tout est gris quand t'es plus là, la lumière, sur la terre, s'éteint quand je te perds. Plutôt noir les soirs de crise de cafard, ou tout nous porte à croire qu'il n'y a plus d'histoire, plutôt noire la lueur dans ton regard. Plutôt blanches les nuits, quand nous sommes ensemble, lovés dans un lit, amant et amante, plutôt blanches nos nuits d'amour violentes.

Mais tout devient gris quand tu t'en vas, tout est gris quand t'es plus là, la lumière, sur la terre, s'éteint quand je te perds.


Paroles et musique Philippe Perelman
Chant Pascal


Toute la ville dort

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

Toute la ville dort, dans le même décor, pas un chat dehors, seul le vent sort, j'ai perdu mon corps, oublié encore, car tel est son sort égaré ou mor.t

Dans les rues, je l'ai attendu, le piège est tendu, émue, je suis au supplice, dans le précipice ou chaque heure se glisse.

Les feuilles mauves qui bruissent, un parfum d'épices, tout brouille la piste, la nuit est en lice. Pour les maléfices, l'horaire est propice, je suis une esquisse, mes yeux me trahissent.

Dans les rues, je l'ai entendu, le piége est tendu, émue, mon corps est novice dans le précipice, il faut qu'il glisse, qu'il glisse.

Des gouttes de pluies claquent sur le parvis, percent mon abri, bercent mon esprit. J'erre dans Paris, ma ville endormie, ne rythme qu'un bruit, l'écho de mon cri.

Dans les rues, on l'a prévenu, mon piège est rompu, foutu, mais le précipice exige un sacrifice, et je glisse, je glisse.

Un nuage bleu passe, écharpe de glace, isole et efface la lune qui flashe. Mon corps me tracasse, ma mémoire se casse, et quoique je fasse, je perds sa trace.


Paroles Laurent Perelman
Musique Philippe Perelman
Chant Corinne Perelman


Un poème par jour

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

Et puisque l'écriture est mon dernier refuge et que les pages blanches sont mes dernières amies, puisque c'est la victime de l'amour que l'on juge, que le temps sépare nos vies.

Je ne peux plus qu'écrire ce que je n'osais dire. Je n'ai plus qu'à tracer ces mots sur du papier, afin qu'un jour peut être, qui sait tu puisses lire, ces phrases qui te sont destinées.

Car j'écrirais chaque jour, un poème d'amour, un poème par jour, pour chaque jour de notre amour.

Au printemps chaque année je jetterais ces soupirs, aux vents avec mission de te les murmurer. Pour que tu les comprennes, je les ferais traduire en mille langages étrangers.

Je ne me lasserais pas d'attendre ton retour, car la patience est le plus bel hymne à l'amour, et ces pages couvertes par l'encre de mon coeur, autant de promesses de bonheur.

Car j'écrirais chaque jour un poème d'amour, un poème par jour, pour chaque jour de notre amour.

Qu'importe si je meurs avant que tu ne reviennes, ces lignes ne pourront jamais être effacées, sans tristesse et sans haine elles te diront la peine que j'ai eu quand tu m'as quitté.


Paroles Laurent Perelman
Musique Philippe Perelman
Chant Stéphanie Vaginay


Des larmes souvent

août 17, 2018 Temps de lecture: 3 minutes

Un peu de joies partagées, un peu de complicité, mais des larmes souvent. Le temps d'un frisson qui passe, l'impression d'emplir l'espace puis les larmes évidemment. Parfois des moments qui nous catapultent au ciel, ce sentiment d'être unique éternel, mais toujours cette sensation, cette étrange impression me ramène au réel.

A ce vide en nous, autour de nous ce vide en nous, qui nous rend fou, ce froid immense qui descend sur nous. Comme un boxeur K.O. debout je tente de tenir le coup, moi qui ne suis plus rien sans vous.

Un peu d'amour heureux, un peu de vie à deux mais les larmes souvent. Un peu de crise de fou rire, de je t'aime à en mourir des larmes le reste du temps. Parfois des instants de puissance sublime à frôler l'essence divine mais toujours cette sensation, cette étrange impression me ramène à l'anonyme.

A ce vide en nous, autour de nous ce vide en nous, qui nous rend fou, ce froid immense qui descend sur nous. Comme un boxeur K.O. debout je tente de tenir le coup moi qui ne suis plus rien sans vous

Rien pour vous oo oo (bis) rien sans vous, que ces perles d'eau sur mes joues.

Un peu de bleu sur les yeux, un peu de rêve sur les lèvres, des larmes de temps en temps. Un peu de solitude, un zeste d'habitude, des larmes le plus souvent. Parfois des moments d'extases magiques à en dépasser nos propres limites, mais toujours cette sensation, cette étrange impression, me ramène à nous très vite.

A ce vide en nous, autour de nous ce vide en nous, qui nous rend fou, ce froid immense qui descend sur nous. comme un boxeur K.O. debout je tente de tenir le coup moi qui ne suis plus rien sans vous.

Rien pour vous oo oo (bis) rien sans vous, que ces perles d'eau sur mes joues.

Un peu de sud sur la peau, de mirage, d'Eldorado, puis les larmes évidemment. Un peu de sollicitude, un brin d'incertitude les larmes ce n'est pas suffisant contre

ce vide en nous, autour de nous ce vide en nous, qui nous rend fou ce froid immense qui descend sur nous, comme un boxeur K.O. debout je tente de tenir le coup moi qui ne suis plus rien sans vous.

Rien pour vous oo oo (bis) rien sans vous, que ces perles d'eau sur mes joues.


Paroles et musique Philippe Perelman
Chant Luc Robert


Une longue route

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

C'est une longue longue et dure route que tu suis sans trop savoir pourquoi. C'est une longue longue et dure route Un appel au plus profond de toi. Tu ne te poses pas de question, qui répondrais de toutes façons. Le regard fixé sur l'horizon loin de ta vie de ta maison.

C'est une longue longue et dure route tu ne sais pas ou elle s'arrêtera. C'est une longue longue et dure route et quand tu regardes derrière toi, des vallées de larmes qui te noient, des images des sons d'autrefois, comme un cri d'alarme qui te broie ces milliers ces millions de pas.

Toi qui es d'ailleurs, d'ailleurs, d'ailleurs. Toi qui es d'ailleurs, d'ailleurs, d'ailleurs, La force qui est en toi partage la.

C'est une longue longue et dure route sais tu seulement ce qui te pousse la-bas. Sur cette longue longue et dure route, l'instinct, la faim, la foi, Dieu sait quoi. tu marches, marches, marches tout droit, comme si tu n'avais pas le choix obéissant petit soldat, qui ne sait pas pourquoi mais se bat.

Toi qui es d'ailleurs, d'ailleurs, d'ailleurs. Toi qui es d'ailleurs, d'ailleurs, d'ailleurs. La force qui est en toi protège la.


Paroles et musique Philippe Perelman
Chant Régis Delbroucq


Bus the bone (instrumental)

août 17, 2018 Temps de lecture: ~1 minute

Composé et interprèté par Richard Levy (guitares) & Philippe Perelman (le reste)


Mes démons

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

Miroir, mes démons maudits de nouveau m'ont dit d'attendre, tapie, ensevelie blottie dans mon lit, d'attendre que l'angoisse furie, m'emprisonne ici d'ici, où tout est mensonge, noirceur et folie.

Miroir,la reine mon ennemie de nouveau m'a dit, de prendre mes jambes à mon cou, de fuir loin d'ici. De prendre mon destin en mains de m'en aller loin, Des peurs que toujours je combats, pour sortir de l'horreur.

Je me bats contre les démons qui polluent ma vie Les démons de cette noire angoisse jamais assouvie Un jour non, un autre jour, un autre jour oui, comment serais-je aujourd'hui face à ma vie face aux démons qui m'épient

Miroir,visage déformé rongé par la nuit, Narines pincées, blanchies, gorge rétrécie, Miroir, que me renvoies-tu de toutes mes folies ? L'image d'un bonheur enfuit pourrissant ma vie.

Je me bats contre les démons qui polluent ma vie, Les démons de cette noire angoisse jamais assouvie. Un jour non, un autre jour, un autre jour oui, comment serais-je aujourd'hui face à ma vie ? face aux démons qui m'épient.

Miroir, que me renvoies-tu de toutes mes folies ? L'image d'un bonheur enfuit pourrissant ma vie.

Je me bats contre les démons qui polluent ma vie, Les démons de cette noire angoisse jamais assouvie. Un jour non, un autre jour, un autre jour oui, comment serais-je aujourd'hui face à ma vie ? face aux démons qui m'épient.


Paroles et chant Nathalie Giudicelli
Musique Philippe Perelman


À Propos

Des chansons composées par votre serviteur, qui en signe parfois les textes, un titre par mois depuis 1999 jusqu'en 2013, enregistrées avec des personnes de passages, croisées sur le net, bref, du travail d'amateur, au sens 1er du terme.