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Sucrepop - Album Candy Party

août 16, 2018 Temps de lecture: ~1 minute

Merci

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

En mémoire de Didier et Sandy

Arrive toujours, ce triste moment, il nous faut nous quitter. Comme la nuit, inexorablement, le rideau va tomber. Les lumières vont se rallumer, le spectacle est terminé, la salle doucement va se vider. Chacun de son côté va s 'en aller.

Arrive toujours, ce triste moment, les artistes viennent saluer. Chaque nuit, immanquablement, avant de se retirer. Le silence va reprendre ses droits, il va régner. Le rêve un temps aura gagné, c'est un peu notre métier de le distribuer.

Nous sommes venus vous dire merci, merci d'être venu jusqu'ici, avant de partir, quelque chose à vous dire du fond du cœur merci pour ce plaisir.

Avant de vous laisser, une dernière fois, vous regarder. Garder l'espace d'une soirée, l'idée qu'on s'est aimé. Notre route va continuer, nos chemins se recroiser, car revenir, faut y compter, on ne peut pas oublier, on vous doit tout ce que l'on est.

Nous sommes venus vous dire merci, merci d'être venu jusqu'ici, avant de partir, quelque chose à vous dire du fond du cœur merci pour ce plaisir.

Nous sommes venus vous dire merci, merci pour toute cette énergie et pour tous ces sourires ces cris qui nous font vivre allument au fond de nous un feu qui nous rend ivre.

Il est venu, finalement le moment d's'en aller. Et pour nous sur la pointe des pieds, de s'éclipser. Mais de ces heures, passées ensemble, nous allons garder un sentiment d'amour intense, nous allons planer heureux, comblés.

Nous sommes venus vous dire merci, merci d'être venu jusqu'ici, avant de partir, quelque chose à vous dire du fond du cœur merci pour ce plaisir.

Nous sommes venus vous dire merci, merci pour toute cette énergie et pour tous ces sourires ces cris qui nous font vivre allument au fond de nous un feu qui nous rend ivre.

Nous sommes venus vous dire merci. Nous sommes venus vous dire merci. Nous sommes venus vous dire... Merci.


Paroles, musique et Philippe Perelman
- Choeurs: Didier


Une journée banale

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

Une journée banale, sans vie sans soleil, sans plus ni moins que l'ennui de la veille à attendre seule dans un semi-sommeil le lendemain rêvant monts et merveilles.

Mais comment faire pour lui dire que je l'aime ? Briser ce silence et ces espérances vaines, éclairer les heures et mon coeur si terne, connaître la couleur du sang dans ses veines.

Et une journée encore d'une vie sans soleil, sans plus du lendemain ni moins que la veille, à me morfondre seule, d'un ennui sans pareil, passer des nuits si longues, sans lui et sans sommeil.

Mais pourquoi me taire quand je suis face à lui, et l'espace d'un instant oublier toutes ces nuits. Mais quand viendra le jour ou je lui crierais je t'aime ? Ou je n'aurais plus peur de lui ni de moi-même.

Mais à quoi sert donc de vouloir rompre les chaînes qui me font prisonnière de lui et de mes peines ? Incapable d'exprimer ni l'amour ni la haine, qui m'enlève la force de lui crier je t'aime ! Je t'aime ! Je t'aime ! Je t'aime !

Et une dernière journée sans vie et sans lui, sans plus ni moins qu'un si cruel ennui, et ne penser qu'à lui pour une dernière nuit, et demain c'est fini, et demain je l'oublie, et ne penser qu'à lui pour une dernière nuit, et demain c'est fini, et demain je l'oublie.


Auteur Erick Bigorne
Compositeur Philippe Perelman
Interprète Isabelle
Guitares: J-Seb (UBDMO)


En t'attendant

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

Toi regardes moi, puis regardes toi. vois-tu ce que je vois ? tant de temps perdu, tant de malentendus, tant d'espoirs déçus, trop de tu m'aimes ? lancés au hasard, trop de je t'aime traînent dans ma mémoire.

Toi qui que tu sois, toi qui ne sais pas ce que j'attends de toi, ou que te guident tes pas, dans mon agenda, à la fin d'un mois, nous avons rendez-vous toi et moi, pour un coup de foudre, coup d'émoi.

Mais en attendant, moi je vis ma vie tout bas au ralenti, j'ai peur de l'oubli. Moi en t'attendant, j'écoute se diluer ma vie passivement, désespérément.

Toi ou que tu sois , si tu m'entends parfois , chanter l'amour ou sa loi. C'est que dans sa chaleur, je cherche à vaincre la peur toujours tapie au fond de mon coeur. Seule la passion peut nous sauver du doute, seule la passion peut nous montrer la route.

Je ne suis rien sans toi, je suis en manque de toi, mon il était une fois. Chaque heure qui passe nous blesse, sans heurt, sans maladresse, la solitude est une sale faiblesse. Il y a des jours ou je m'sens pas bien. Est-ce que quelqu'un m'entend ? J'suis pas bien

Mais en attendant, moi je vis ma vie tout bas au ralenti, j'ai peur de l'oubli. Moi en t'attendant, j'écoute se diluer ma vie passivement, désespérément.

D'aussi loin que tu sois, fais vite dépêche toi, je m'étiole sans toi. Tout ce temps perdu, que nous ne rattraperons plus toutes ces nuits à me pleurer dessus. Des tonnes de je t'aime dans le noir n'attendent que toi pour y voir.

Mais en attendant, moi je vis ma vie tout bas au ralenti, j'ai peur de l'oubli. Moi en t'attendant, j'écoute se diluer ma vie passivement, désespérément.


Paroles et musique Philippe Perelman
Interprète: Corinne Perelman
Guitares: Benoît Boulet


Pardon

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

Pardon d'aimer être aimé plus qu'aimer, de n'avoir pas toujours osé oser. Pardon pour toutes ces larmes que j'ai fait couler sans toujours prendre le temps de les essuyer.

Pardon pour mes mensonges pour mes vérités, pour toutes leurs blessures, tendres ou cruelles plaies. D'avoir laissé partir, parfois d'être resté, pardon à tous ceux que j'ai laissé tomber.

Pardon pour mes réussites, pardon pour mes ratés, pour tout ce que je n'ai pas eu le temps d'essayer. Pardon pour mes silences trop faciles trop dorés. Pardon pour mes absences le vide qu'elles ont laissé.

Qu'on me pardonne ou non, après tout, je m'en fous au fond, la vie qui fut la mienne était belle. Dans la pierre sous mon nom , que l'on grave pour simple oraison, la vie qui fut la sienne était belle.

Pardon pour ces rendez vous ou je ne suis pas allé, ainsi que pour tous ceux que je n'ai pas donné. Pardon de n'être que l'ombre de mes rêves, trop nombreux et trop grands pour une vie si brêve.

Pardon aux oubliés sous les voiles du passé, aux amours d'un jour aux plaisirs partagés. J'ai brûlé mon temps pour ne pas le voir couler. Je n'ai pensé qu'à moi mais qui y aurait pensé

Qu'on me pardonne ou non, après tout, je m'en fous au fond, la vie qui fut la mienne était belle. Dans la pierre sous mon nom , que l'on grave pour simple oraison, la vie qui fut la sienne était belle.


Paroles et musique Philippe Perelman
Interprète: Stella Kelly
Guitares: J-Seb (UBDMO) et Benoît Boulet


Boulevard des rêves brisés

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

Sur le boulevard des rêves brisés gisent les cadavres de tes projets ruinés et les espoirs qui ont jonché toutes ces années passées.

Sur le boulevard de tes rêves brisés gisent tes amours enflammés, consummés, tes désirs fous, à pas de loup, s'en sont allés devant la réalité.

Depuis que t'es môme tu espères, la vie qu'tu t'souhaites, elle est lumière. C'est pas seulement parce que t'as pas la manière que cette vie là est à des années-lumières.

Pour traverser le boulevard des rêves brisés, pavé des corps de ceux qui t'ont précédé, tu ne dois pas t'arrêter, regarder, mais continuer, même sans savoir ou aller.

Depuis que t'es môme tu espères, la vie qu'tu t'souhaites, elle est lumière. C'est pas seulement parce que t'as pas la manière que cette vie là est à des années-lumières.

Quoique tu fasses, ou que tu ailles, c’est l’impasse. Au bout du compte, la mort te terrasse. Le boulevard des rêves brisés est prolongé par l'avenue des suicidés.

Depuis que t'es môme tu espères, la vie qu'tu t'souhaites, elle est lumière. C'est pas seulement parce que t'as pas la manière que cette vie là est à des années-lumières.


Paroles et musique Philippe Perelman
Interprète: Ayhnic
Guitares: Benoît Boulet


Restes !

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

Ca fait deux jours qu't'es pas rentrée, j'ai dans l'idée qu'ça va durer. Le téléphone qui refuse de sonner, ça doit ressembler à ça l'éternité.

Une seule chose dans ma tête, faut qu'tu restes. Une seule chose dans ma tête, faut qu'tu restes, restes, oh restes.

Je n'sais même pas ou t'es allée. Sur le buffet gisent tes clefs. J'suis pas sorti, j'ai pas bougé, j'veux plus sortir sans toi à mes côtés.

Une seule chose dans ma tête, faut qu'tu restes. Une seule chose dans ma tête, faut qu'tu restes, restes, oh restes.

J'veux qu'tu restes, qu'ce jeu cesse, pas qu'tu m' laisses, j'veux qu'tu restes !

J'la déteste cette faiblesse qui me blesse. J'veux qu'tu restes !

J'veux qu'tu restes, ou j'y reste. Faut qu'tu restes, j'te déteste.

Fais que cesse cette détresse qui m'oppresse. J'veux qu'tu restes !

Comme dans ces vieux feuilletons télé, histoire d'amour bête à pleurer. C'est si facile de tout quitter, mm mm, si compliqué de s'expliquer.

Une seule chose dans ma tête, faut qu'tu restes. Une seule chose dans ma tête, faut qu'tu restes, restes, oh restes.

J'veux qu'tu restes, qu'ce jeu cesse, pas qu'tu m' laisses, j'veux qu'tu restes !

J'la déteste cette faiblesse qui me blesse. J'veux qu'tu restes !

J'veux qu'tu restes, ou j'y reste. Faut qu'tu restes, j'te déteste.

Fais que cesse cette détresse qui m'oppresse. J'veux qu'tu restes !


Paroles et musique Philippe Perelman
Interprète: Jean-Luc Sylvestro
Guitares: Benoît Boulet


Week-end à Lisbonne

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

D'octobre, fuir le vent, la pluie, le gris, fuir d'ici, et comme ces oiseaux voler plein sud en espérant qu'il f'ra chaud.

Se poser tranquille au bord du Tage, au petit Brésil, se la jouer facile, laisser douc'ment se réchauffer nos idylles.

Au soleil d'automne, ballade un week-end à Lisbonne. Je vous laisse tout Paris, tout Rome, cadeau de Londres et Barcelone, ballade un week-end à Lisbonne.

Flâner le long des rues piétonnes de Rua Augusta, se laisser bercer au rythme doux des tramways de Lisboa.

Dîner au Dokas au son des guitares, bossa bossa nova. Rentrer vers Lapas, s'y perdre un peu, retour à l'hôtel palace.

Où je m'abandonne ballade un week-end à Lisbonne, je vous laisse tout Paris, tout Rome, cadeau de Londres et Barcelone, ballade un week-end à Lisbonne.

Distante do Brasil, Meu lugar é a Paris, minha vida está aqui, meu amor do Brasil.

Tao longe do Brasil, Meu lugar é a Paris, minha vida está aqui, meu amor do Brasil.

Du haut de la plus haute tour du château Sao Jorge, sourire à l'idée d'y promener le cadet de mes soucis.

Sous l'soleil d'automne, ballade un week-end à Lisbonne, je vous laisse tout Paris, tout Rome, cadeau de Londres et Barcelone, ballade un week-end à Lisbonne.

Too toodoo tootootoodoo too too toodoodoo too toodoo tootootoodoo doodoo


Paroles et musique Philippe Perelman
Interprète: Helena Joris
Guitares: Benoît Boulet


Les âmes blanches

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

Blanches, blanches les âmes blanches, dansent en silence, sur les rythmes étranges, d'un sorcier commanche.

Blanches, blanches comme l'innocence, comme les ailes des anges, comme le sont les avalanches, les âmes en pénitence.

Elles sont blanches, blanches comme la souffrance, ces âmes qui dansent, ces âmes qui se déhanchent sur une triste de danse.

Blanches, blanches comme la peur des demains, comme une lueur s'éteint. Blanches comme la voix du chagrin, blanche est la mort qui s'en vient.

Elle est blanche, blanche comme la souffrance et ces âmes blanches qui dansent, ces âmes qui dansent se déhanchent, sur une triste de danse.

Blanches comme une lumière qui dérange, blanches et froides comme la vengeance, une plaie à l'arme blanche, elles sont blanches

Blanches comme une lumière qui dérange, blanches et froides comme la vengeance, une plaie à l'arme blanche, elles sont blanches

Blanches ! Blanches ! Blanches ! Blanches !

Blanche, blanche, cette âme blanche, qui danse en silence, sur des rythmes étranges, mon âme blanche.


Paroles et musique Philippe Perelman
Interprète: Stéphanie
Guitares: Benoît Boulet


Quelqu'un

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

Dans ces couloirs où nous marchions, main dans la main tout comme ils font, j'me suis r'tournée, tu étais parti, j't'ai appellée des jours et des nuits. J'ai demandé à ceux qui couraient s'ils t'avaient vu, m'ont rien répondu.

Quelqu'un, quelqu'un, j'ai besoin de quelqu'un. De toi ou d'un autre, j'm'en fous mais j'veux quelqu'un. Quelqu'un, quelqu'un, j'ai besoin de quelqu'un, drôle de couple qu'une femme et son parfum

Partout sur les murs des graffitis, des cœurs gravés, j'm'identifie. Moi j'suis tout' seule et je me dis que je n'peux pas rester ainsi. Il faut que j'me trouve une âme sœur, à moi l'amour ça m'fait pas peur.

Quelqu'un, quelqu'un, j'ai besoin de quelqu'un. de lui ou d'un autre, dormir seule c'est malsain. Quelqu'un, quelqu'un, j'ai besoin de quelqu'un, voire de quelqu'une, faut pas être puritain.

J'ai fini par tomber folle de mon ombre. La seule vue de sa silhouette me faisait fondre. On s'quittait plus de la journée, c'était mon amour de l'été, mais avec un nuage de passage, elle m'a trompée sur une plage. J'ai essayé de la plaquer mais j'n'ai pas pu alors j'ai craqué. Maint'nant j'suis dans un hôpital, toujours toute seule j'me sens si mal

Quelqu'un, quelqu'un, j'ai besoin de quelqu'un. Même dans sa tombe, un œil veillait Caïn. Quelqu'un, quelqu'un, j'ai besoin de quelqu'un. N'importe qui, masculin féminin.

Aujourd'hui sous le soleil des néons, sous les draps de ma chambre, dans mon cocon, je m'aime toute seule faute de choix, je m'aime toute seule je n'aime que moi. C'est pas le pied faut bien s'l'avouer, ça irait mieux si j'étais deux. D'après l'méd'cin traitant confiant, ça n'devrait plus tarder maint'nant, dédoublement d'la personnalité, schizophrénie très accentuée.

Enfin de quelqu'un je n'aurais plus besoin, je serais l'autre, ca va être divin. Quelqu'un, quelqu'un moi qui cherchais en vain, à être vôtre je m'avais sous la main, je m'avais sous la main, je m'avais sous la main, je m'avais sous la main


Paroles et musique Philippe Perelman
Chant Laura Perelman
Guitares Benoît Boulet


Les métastases de l'amour

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

Les métastases de l'amour, c'est une métaphore j'avoue qu'elle n'est pas du meilleur goût mais il ronge tout autour.

Les métastases de l'amour, c'est une métaphore j'avoue qu'elle n'est pas du meilleur goût mais il ronge tout autour.

Et tout commence par un regard, une silhouette qui sort du brouillard, un feu dans les reins se déclare, le mal étrange est dans la place.

Les métastases de l'amour, c'est une métaphore j'avoue qu'elle n'est pas du meilleur goût mais il ronge tout autour.

Les métastases de l'amour, c'est une métaphore j'avoue qu'elle n'est pas du meilleur goût mais il ronge tout autour.

L'infection ne cesse de s'étendre, c'est le coeur qui se laisse prendre, la tête tombe sans plus attendre, le corps et l'âme demandent grâce.

C'est l'abandon, de toutes raisons, la reddition sans conditions, oh oh oh oh

Les métastases de l'amour, c'est une métaphore j'avoue qu'elle n'est pas du meilleur goût mais il ronge tout autour.

Les métastases de l'amour, c'est une métaphore j'avoue qu'elle n'est pas du meilleur goût mais il ronge tout autour.


Paroles Laurent Perelman
Musique et chant Philippe Perelman
Choeurs: Sophie


Tout m'fait peur

août 17, 2018 Temps de lecture: ~1 minute

D'illusions perdues en compromissions, de rebellions vaincues en contradictions, j'entends le monde hurler dans un coin du salon, je me sens menacé, impression d'oppression.

D'agressions répétées contre mon cocon, en amours cabossés par maintes tentations, le monde est à ma porte, attention effraction, que le diable l'emporte, j'ai bâti ma prison, dépression.

Tout m'fait peur j'pleure des heures muré en mon for intérieur j'pleure des heures

Tout m'fait peur j'pleure des heures muré en mon for intérieur j'pleure des heures

je n'sors plus de chez moi on me montre du doigt, les autres sont sur ma trace, moi qui suis la proie. Je sens monter la haine, je suffoque déjà, enfermé en moi même, je ne vous ouvrirais pas, paranoïa.

Tout m'fait peur j'pleure des heures muré en mon for intérieur j'pleure des heures

Tout m'fait peur j'pleure des heures muré en mon for intérieur j'pleure des heures

ad lib ...


Paroles et musique Philippe Perelman
Chant Axel
Guitares Benoît Boulet


Drôle d'amour

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

Drôle d'amour que l'amour dont je t'entoure, étrange vie que la notre aujourd'hui, tant de mois passés à se chercher, pour les rares fois ou nous nous sommes trouvés.

Drôle d'amour que l'amour dont je t'entoure étrange lit ou deux étrangers se fuient tant d'années passées à vouloir s'aimer n'ont fait qu'aggraver, qu'accentuer le fossé

Tu m'aimes, problèmes, on s'entraîne sur un drôle de chemin. Tu m'aimes, mais moi je t'haines, on s'enchaîne à notre destin

Drôle de couple pour un drôle de ménage, bien sur les rails menant droit au mariage, est-ce dernier qui nous à fait capoter ? On a dérapé bien avant l'arrivée.

Ton feu est rouge quand le mien est au vert, tu me coupes la route quand tu vois que j'accélère. Notre page d'amour est pleine de rature c'est pas le même vent qui souffle dans nos voilures

Tu m'aimes, problèmes on s'entraîne sur un drôle de chemin. Tu m'aimes, mais moi je t'haines, on s'enchaîne à notre destin.

Tu m'aimes, problèmes, on s'entraîne sur un drôle de chemin. Tu m'aimes, mais moi je t'haines, on s'enchaîne à notre destin.

Drôle d'amour que l'amour dont je t'entoure étrange mort, changement de décors, pas de divorce, tu l'avais juré, un petit accident est si vite arrivé.

Tu m'aimes, problèmes, on s'entraîne sur un drôle de chemin. Tu m'aimes, mais moi je t'haines, on s'enchaîne à notre destin.


Paroles et musique Philippe Perelman
Chant Corriya
Guitares: Benoît Boulet


No outono

août 17, 2018 Temps de lecture: 2 minutes

Une adaptation en portugais de Week-end à Lisbonne

Do auto Ir alem do horizonte, pra fugir Como um beija-flor Voar pro Sul pra encontrar o calor

Repousar tranquila Beira da praia, ondas do mar Recordar, sonhar Nessa beleza, qu' invadi o olhar

Férias de verao Sentir na pele essa energia Deixo a voces Paris Roma Outono frio, na semana Sentir na pele essa energia

Andar, Do Pelorinho, à praça da sé Se deixar levar, vida doce, doce vida local

Na beira do cais Son de guitarra, bossa bossa nova Direçao Lapa Andar um pouco de volta pra casa

Onde eu me abandono Depois de um banho de energia Deixo a voces Paris Roma Outono frio na semana Estar de volta na Bahia

Distante do Brasil Meu destino é, Paris Emoçoes vividas aqui Meu amor do Brasil

Tao longe do Brasil Meu destino é, Paris Emoçoes vividas aqui Meu amor do Brasil

Do auto Do mais alto ponto de Salvador Tentar esquercer Caminhos triste, caminhos sem fim

Ferias de verao Sentir na pele essa energia Deixo a voces Paris Roma Outono frio na semana Sentir na pele essa energia

Too toodoo tootootoodoo too too toodoodoo too toodoo tootootoodoo


Adaptation brésilienne et chant: Helena Joris
Paroles et musique Philippe Perelman
Guitares: Benoît Boulet


À Propos

Des chansons composées par votre serviteur, qui en signe parfois les textes, un titre par mois depuis 1999 jusqu'en 2013, enregistrées avec des personnes de passages, croisées sur le net, bref, du travail d'amateur, au sens 1er du terme.