Echo dans la nuit, d'une nostalgie qui s'était assoupie, au rythme lent d'une mélancolie. Sentiments indécis, sensation d'éveil aux bruits, retour à la vie, demain c'est aujourd'hui.
Le miroir réfléchi, une image endormie, un visage flétri par une nuit de rêverie. De la douche comme une pluie, coule une eau qui rafraîchit, qui délave la nuit, goutte à goutte sa vie s'enfuit.
C'est la course infernale, les secondes qui cavalent, le temps qui les avale, et nous qui les suivont tant bien que mal. On attend le signal, le départ est brutal, on s'défonce, on s'fait mal, mais nous suivons de plus en plus mal.
Echo dans la vie, d'une symphonie qui soudain ressurgit et luit au fond de son oubli. Souvenirs embrumés de lui, l'esprit envouté par lui, le temps va si vite ainsi, que reste t-il de sa fantaisie ?
C'est la course infernale, les secondes qui cavalent, le temps qui les avale, et nous qui les suivont tant bien que mal. On attend le signal, le départ est brutal, on s'défonce, on s'fait mal, mais nous suivons de plus en plus mal.
Une journée de finie, rien vu, rien compris, rien fait mais tout détruit, qui s'évanouit dans la nuit, qui s'épanouit dans la nuit, qui resplendit à minuit, et Cécile s'endort ... tout est tranquille jusqu'à l'aurore.
Paroles et musique Philippe Perelman Chant Isabelle